Powered by RND
PodcastsÉducationPlaylist Culture G : les podcasts pour apprendre chaque jour

Playlist Culture G : les podcasts pour apprendre chaque jour

Acast France
Playlist Culture G : les podcasts pour apprendre chaque jour
Dernier épisode

Épisodes disponibles

5 sur 574
  • Nota Bene - EN BREF - D'où vient le numéro de sécu ?
    Mes chers camarades, bien le bonjour !Tout est Histoire au final, même votre carte Vitale ! Enfin, plus précisément votre numéro de sécu. Mais du coup, qu’est-ce qui se cache derrière ces chiffres sur notre bien aimée carte verte et jaune ?Je vous raconte ça, alors bonne écoute !🎧 Mixage : Pierre Champion Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
    --------  
    1:23
  • Choses à Savoir SANTE - L'ASMR est-elle vraiment efficace contre l'anxiété ?
    L’ASMR, ces chuchotements, frottements doux ou tapotements qui déclenchent des sensations de picotements chez certaines personnes, est souvent présenté comme un antidote naturel contre l’anxiété. Mais que dit réellement la science ?D’abord, plusieurs études ont montré que l’ASMR provoque une véritable réponse physiologique de relaxation, du moins chez les personnes qui y sont sensibles. Dans une étude menée par Giulia Poerio et ses collègues, les participants « réceptifs » à l’ASMR présentaient une baisse mesurable de leur fréquence cardiaque pendant l’écoute, accompagnée d’une augmentation de la conductance cutanée. Cette combinaison paradoxale – détente avec une légère activation – correspond à un état calme, similaire à celui obtenu lors de certaines techniques de relaxation.D’autres travaux utilisant l’électroencéphalogramme ont observé une modification de l’activité cérébrale lors de l’ASMR. L’exposition aux stimuli semble augmenter les émotions positives, réduire l’humeur négative et induire un état de détente similaire à la méditation légère. Plusieurs participants rapportent également une sensation de chaleur, de bien-être et une diminution quasi immédiate du stress.Concernant spécifiquement l’anxiété, les études disponibles montrent une tendance cohérente : chez les personnes sensibles, l’ASMR réduit l’anxiété à court terme. Dans des expériences pré/post écoute, les participants déclarent une baisse de l’anxiété d’état, une amélioration de l’humeur et une meilleure capacité de concentration. Certaines recherches menées auprès d’étudiants ou de personnes souffrant d’insomnie indiquent que l’ASMR peut aussi aider à apaiser l’hyperactivation émotionnelle, notamment en fin de journée.Ces effets ont donné lieu à l’idée que l’ASMR peut servir de “coping tool”, un outil d’adaptation utile pour diminuer ponctuellement les tensions internes. Le mécanisme est probablement lié à l’activation du système nerveux parasympathique, responsable du ralentissement cardiaque et de la sensation de calme.Cependant, important : tout le monde n’est pas sensible à l’ASMR. Seule une partie de la population ressent ces picotements et les effets relaxants qui les accompagnent. Par ailleurs, la plupart des études étudient des effets immédiats, sur quelques minutes ou quelques jours. On manque encore de données solides sur son efficacité dans les troubles anxieux sévères ou sur le long terme.En résumé, l’ASMR semble réellement efficace pour diminuer l’anxiété ponctuelle chez les personnes réceptives, en déclenchant un état de relaxation physiologique et émotionnelle. C’est un complément utile, mais ce n’est pas un traitement de fond : il apaise, mais ne remplace pas les approches thérapeutiques validées comme la TCC ou certains traitements médicaux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
    --------  
    2:18
  • Choses à Savoir - Culture générale - Faut-il vraiment mettre un bonnet car “la chaleur s'échappe par la tête” ?
    Depuis des décennies, on répète qu’en hiver, « la chaleur s’échappe par la tête ». L’idée paraît intuitive : quand on sort sans bonnet, le froid semble immédiatement plus mordant. Pourtant, cette croyance repose sur une interprétation erronée d’expériences menées au milieu du XXᵉ siècle. Des volontaires avaient été exposés à des conditions très froides en portant des combinaisons isolantes… mais laissant la tête totalement découverte. Les pertes thermiques relevées semblaient donc importantes au niveau du crâne, ce qui a conduit à une conclusion trompeuse : la tête serait une zone critique par laquelle s’échapperait l’essentiel de la chaleur du corps.Le problème est que ces expériences ne respectaient pas un principe fondamental de la physiologie thermique : la chaleur s’échappe proportionnellement à la surface exposée. Si l’on isole parfaitement 90 % du corps, la seule partie restée à l’air libre paraît mécaniquement responsable de la majorité de la déperdition, même si elle ne possède aucune propriété spéciale. En réalité, une tête humaine représente une surface assez faible : environ 7 à 9 % de la surface corporelle totale. Si elle est découverte tandis que le reste est bien couvert, elle dissipera donc une proportion similaire de chaleur, pas davantage.La sensation de froid, elle, est amplifiée par d’autres facteurs physiologiques précis. Le visage et le cuir chevelu contiennent un réseau dense de thermorécepteurs et de vaisseaux sanguins superficiels. Le refroidissement y est donc perçu plus rapidement et plus intensément. De plus, le cerveau doit être maintenu à une température extrêmement stable ; lorsqu’il détecte un refroidissement local, la vasoconstriction périphérique s’accentue, accentuant encore l’impression de froid général.Alors, le bonnet est-il inutile ? Pas du tout. Couvrir la tête réduit bel et bien les pertes thermiques, mais uniquement parce qu’on protège une zone qui, sinon, resterait exposée. Dans un environnement très froid, protéger cette région améliore le confort thermique global et limite la chute de température cutanée. Cependant, si on sort sans bonnet mais avec une veste mal fermée ou des gants trop fins, les pertes seront bien plus importantes par ces zones que par la tête.En résumé, la tête n’est pas une cheminée naturelle. Elle perd de la chaleur exactement comme le reste du corps : ni plus, ni moins. Le bonnet reste utile, non parce que la tête serait une porte de sortie privilégiée pour la chaleur, mais simplement parce qu’en hiver, c’est souvent elle qu’on oublie de couvrir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
    --------  
    2:09
  • Choses à Savoir CERVEAU - Quelles sont les conséquences cognitives des réseaux sociauxs sur les 9-13 ans ?
    Une nouvelle étude du JAMA s’est penchée sur une question de plus en plus pressante : que se passe-t-il dans le cerveau des enfants de 9 à 13 ans lorsque leur usage des réseaux sociaux augmente fortement entre l’enfance et le début de l’adolescence ? Pour y répondre, les chercheurs ont suivi 6 500 enfants américains pendant deux ans et ont mesuré l’évolution de leurs performances cognitives : lecture à voix haute, vocabulaire, mémoire. Le résultat est clair : l’augmentation du temps passé sur les réseaux sociaux est associée à une baisse mesurable de ces compétences.Premier enseignement : la lecture et le vocabulaire sont les premiers domaines touchés. Les enfants dont l’usage des réseaux sociaux a augmenté modérément ou fortement sur deux ans obtiennent des scores plus faibles aux tests de lecture orale et de vocabulaire, comparés à ceux qui en font un usage faible ou stable. La différence n’est pas spectaculaire, mais réelle : moins de fluidité, des difficultés à lire rapidement ou à mobiliser certains mots. Ce sont des écarts subtils qui peuvent, au fil du temps, se traduire par un apprentissage plus lent ou un léger décrochage en classe.Deuxième conséquence cognitive : la mémoire. L’étude montre une baisse des performances aux tests de mémoire chez les utilisateurs dont le temps d’écran social augmente régulièrement. Les chercheurs suggèrent plusieurs explications possibles : le multitâche permanent, la succession rapide de stimuli, ou encore la fragmentation de l’attention due aux notifications constantes. Ces mécanismes peuvent réduire la capacité à encoder et à retenir l’information.Troisième point : ce n’est pas seulement le niveau d’usage qui compte, mais la trajectoire. Les enfants qui restent « faibles utilisateurs » conservent de meilleurs scores cognitifs, tandis que ceux dont l’usage augmente d’année en année voient leurs performances décliner. En d’autres termes, un enfant qui commence à scroller chaque jour à 10 ans n’a pas le même profil cognitif deux ans plus tard qu’un enfant qui utilise les réseaux uniquement de manière ponctuelle.L’étude souligne toutefois des nuances importantes. Les effets observés sont modestes : tous les scores restent dans la moyenne normale. Rien n’indique que les réseaux sociaux « abîment » le cerveau, mais ils semblent exercer une influence cumulative sur certaines compétences scolaires. Les données ne permettent pas non plus d’affirmer un lien de causalité directe : d’autres facteurs entrent en jeu, comme la qualité du sommeil, l’environnement familial, le temps passé à lire ou les conditions scolaires.En résumé, l’étude du JAMA révèle que l’usage croissant des réseaux sociaux entre 9 et 13 ans est associé à des baisses subtiles mais constantes en lecture, vocabulaire et mémoire. De quoi rappeler qu’un usage encadré, équilibré et sans dérive progressive reste essentiel à cet âge clé du développement cognitif. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
    --------  
    2:23
  • Wild, le podcast animalier - L'Alpaga : doux, propre et macho !
    Macho l'alpaga ?? Mais non, rassure toi ! C'est juste que là d'où il est originaire, l'Amérique du sud, le mâle se dit macho...L'alpaga est un cousin proche du lama...en beaucoup plus doux ! C'est grâce à sa laine, qui est très épaisse. C'est un animal super sympa, qui adore les câlins et respecte bien son chef. Nous sommes partis sur ses traces à Montclar dans les Hautes Alpes chez Claire qui a un élevage d'alpagas, "Au doux Mélèze". Toi aussi tu peux aller lui rendre visite, si tu pars en vacances à la montagne et Claire te montrera ses magnifiques alpagas ! Pour cet épisode nous étions accompagnés par une classe de CP de l'école de Montclar. Mets une grosse polaire-car ici il fait toujours froid!- et pars avec nous pour découvrir ce super animal !Un podcast d'Ambre Gaudet avec Tristan de la Fléchère.Mis en son et mixé par Morgane PeyrotRetrouvez tous nos podcasts sur maisondupodcast.frUnique Heritage Media / La Maison du Podcast Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
    --------  
    14:46

Plus de podcasts Éducation

À propos de Playlist Culture G : les podcasts pour apprendre chaque jour

Écoutez votre curiosité avec la Playlist podcast parfaite de Culture Générale Plongez dans un océan de nouvelles connaissances avec notre sélection des meilleurs épisodes de podcasts de culture générale. Chaque jour, découvrez quelque chose de nouveau et d'enrichissant, que ce soit sur l’histoire, les sciences, les arts ou les mystères de notre monde. Que vous soyez en quête de la connaissance suprême ou que vous aimiez simplement apprendre de nouvelles anecdotes pour briller en société, cette playlist est faite pour vous. Tous les épisodes sont animés par des podcasteur·ices passionné·es et talentueu·ses qui rendent chaque sujet accessible et captivant. Suivez donc les chemins de votre curiosité et embarquez pour un voyage quotidien à travers les merveilles du monde et du savoir humain. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Site web du podcast

Écoutez Playlist Culture G : les podcasts pour apprendre chaque jour, Change ma vie : Outils pour l'esprit ou d'autres podcasts du monde entier - avec l'app de radio.fr

Obtenez l’app radio.fr
 gratuite

  • Ajout de radios et podcasts en favoris
  • Diffusion via Wi-Fi ou Bluetooth
  • Carplay & Android Auto compatibles
  • Et encore plus de fonctionnalités

Playlist Culture G : les podcasts pour apprendre chaque jour: Podcasts du groupe

Applications
Réseaux sociaux
v8.0.6 | © 2007-2025 radio.de GmbH
Generated: 12/3/2025 - 7:04:52 PM