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Playlist Culture G : les podcasts pour apprendre chaque jour

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Playlist Culture G : les podcasts pour apprendre chaque jour
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  • Choses à Savoir - Culture générale - Quels sont nos biais les plus fréquents ?
    Pourquoi tombons-nous si facilement dans les pièges du quotidien ? Pas ceux que tendent les escrocs, non ceux que tend notre propre cerveau. Derrière chaque décision, chaque intuition, se cachent de petites distorsions invisibles — des biais cognitifs. Ils ne sont pas des erreurs en soi, mais des raccourcis mentaux, hérités de notre évolution, qui nous permettent d’aller vite… parfois trop vite.Le premier, c’est le biais d’optimisme. Il nous pousse à croire que tout ira bien, que les accidents n’arrivent qu’aux autres. C’est ce qui fait qu’on roule un peu trop vite, qu’on oublie d’économiser “parce qu’on a encore le temps”, ou qu’on pense qu’on ne se fera jamais avoir. Ce biais est profondément humain : il protège notre moral, mais fragilise notre lucidité.Vient ensuite le biais d’autorité. Depuis l’enfance, on nous apprend à obéir aux figures d’autorité : parents, professeurs, institutions. Résultat, lorsqu’une information vient d’une source perçue comme légitime, notre esprit critique s’endort. On croit un médecin, un expert, un uniforme — même quand ils se trompent. Ce biais explique pourquoi tant de décisions collectives reposent sur la confiance plus que sur la réflexion.Le troisième, c’est le biais de rareté. Notre cerveau préhistorique le connaît bien : ce qui est rare est précieux. Devant une offre limitée ou un objet “qu’il ne faut pas rater”, notre instinct de survie s’active. On agit vite, on achète, on s’engage — de peur de manquer. La rareté, qu’elle soit réelle ou fabriquée, déclenche une émotion plus forte que la raison.Le biais de réciprocité, lui, naît de notre nature sociale. Quand quelqu’un nous rend service, on veut rendre la pareille. C’est un ciment des relations humaines, mais aussi une faille : un simple geste, un cadeau, une attention, et nous voilà enclins à dire “oui” plus facilement. Notre gratitude devient une brèche dans notre jugement.Cinquième mécanisme : le biais de familiarité. Plus une chose nous est familière, plus elle nous semble sûre. C’est ce qui nous fait choisir une marque qu’on a déjà vue, une personne dont le visage nous rappelle quelqu’un, ou une idée déjà entendue. La répétition crée la confiance, même sans raison.Mais face à des menaces toujours plus sophistiquées, la vigilance humaine ne suffit plus toujours. C'est pourquoi Avast propose des outils pour PC, Mac et smartphones qui peuvent vous aider. Son antivirus gratuit et sa protection contre les escroqueries analysent minutieusement le contenu en ligne afin de détecter les escroqueries cachées. Basé sur l'intelligence artificielle et disponible 24 heures sur 24h/24, l'assistant Avast alimenté par l'IA peut vous indiquer si un message semble frauduleux ou si un site web est dangereux en langage naturel et vous donner des conseils pour rester en sécurité. En rendant cette expertise accessible à tous, Avast redonne aux utilisateurs le contrôle de leur sécurité numérique et transforme la vigilance en un réflexe collectif. A télécharger depuis depuis Google Play et l’App Store d’Apple ou en cliquant directement sur le lien suivant: https://www.avast.com/fr-fr/lp-free-av?full_trSrc=mmm_ava_tst_008_470_g&utm_source=codesource&utm_medium=referral&utm_campaign=mid-funnel_mmm_ava_tst_008_470_g&utm_content=mid_audio#mac Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    3:50
  • Choses à Savoir SANTE - Pourquoi notre cerveau croit encore aux superstitions ?
    Marcher sous une échelle, toucher du bois, éviter le chiffre 13… Même les esprits les plus rationnels se surprennent parfois à céder à la superstition. Pourtant, la science montre que ces croyances ne sont pas de simples résidus culturels : elles s’enracinent profondément dans notre cerveau, dans les circuits mêmes qui gèrent la peur, la causalité et le besoin de contrôle.Les chercheurs en psychologie cognitive expliquent ce phénomène par un biais de détection de schémas. Notre cerveau est une machine à relier les événements entre eux. Il préfère voir une relation de cause à effet, même inexistante, plutôt que de tolérer le hasard. Ce réflexe, hérité de l’évolution, a pu être vital : il valait mieux supposer qu’un bruit dans la forêt annonçait un prédateur, quitte à se tromper, plutôt que de l’ignorer. Ce mécanisme de sur-interprétation persiste aujourd’hui sous des formes anodines : porter un porte-bonheur avant un examen, éviter de « porter malheur » avant un match, etc.Au niveau cérébral, plusieurs zones sont impliquées. L’amygdale, centre des émotions et de la peur, s’active dès qu’un risque ou une incertitude se présente. Le striatum, une région associée à la récompense et à l’apprentissage, entre en jeu lorsque nous associons une action (comme toucher du bois) à un résultat positif (ne pas échouer). Des études en neuro-imagerie, notamment celles menées à l’Université d’Oxford, montrent que ces circuits sont les mêmes que ceux impliqués dans les comportements conditionnés observés chez les animaux.Le psychologue américain B.F. Skinner l’avait déjà démontré dans les années 1940 : en nourrissant des pigeons à intervalles réguliers, il les vit développer des comportements « superstitieux » — battre des ailes ou tourner sur eux-mêmes — croyant que ces gestes déclenchaient la nourriture. L’expérience prouvait que le cerveau cherche spontanément à lier les actions et leurs conséquences, même quand il n’existe aucun lien réel.Les neurosciences modernes confirment aussi que la superstition augmente lorsque nous perdons le contrôle : en situation de stress, d’incertitude ou de peur, le cortex préfrontal — siège de la pensée rationnelle — cède la place aux circuits émotionnels plus anciens. Résultat : nous redevenons instinctifs, et nos croyances reprennent le dessus.Ainsi, croire aux superstitions n’est pas un signe de faiblesse intellectuelle, mais une expression naturelle de notre architecture mentale : un moyen de réduire l’angoisse du hasard et de donner du sens à un monde imprévisible. Même à l’ère scientifique, notre cerveau, lui, reste profondément symbolique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:42
  • Choses à Savoir - Culture générale - Pourquoi Starbucks gagne de l'argent sans rien vendre ?
    Starbucks gagne de l’argent même lorsque ses clients ne boivent pas de café, et cela repose sur deux mécanismes économiques très simples : l’argent non dépensé et l’argent immobilisé.D’abord, Starbucks vend énormément de cartes-cadeaux et de bons prépayés. Les clients y chargent par exemple 25, 50 ou 100 dollars. Dès que cet argent est chargé, Starbucks l’encaisse immédiatement, alors qu’aucun produit n’a encore été servi. C’est une avance de trésorerie : l’entreprise reçoit le paiement bien avant de fournir le café ou la nourriture.Ensuite, il existe un phénomène appelé “breakage”. Il s’agit de la partie des cartes-cadeaux qui ne sera jamais dépensée. Cela peut être une carte perdue, quelques dollars oubliés, un cadeau jamais utilisé ou un solde trop faible pour être récupéré. Dans le cas de Starbucks, on estime qu’environ 10 % des 2 milliards de dollars en circulation sur les cartes ne seront jamais utilisés. Cela représente environ 200 millions de dollars qui deviennent un bénéfice pur. Aucun café n’a été produit, aucune marchandise n’a été vendue, mais l’argent est bel et bien définitivement acquis par l’entreprise.À cela s’ajoute un autre avantage colossal : les intérêts. Tout l’argent chargé sur les cartes et l’application Starbucks reste sur les comptes de l’entreprise jusqu’à ce qu’il soit dépensé. Pendant ce temps, Starbucks peut utiliser ces milliards comme n’importe quelle trésorerie. Elle peut les placer sur des comptes rémunérés, les utiliser pour financer son activité ou réduire ses besoins d’emprunt. Cet argent immobilisé, appelé “float”, rapporte des dizaines de millions de dollars par an en intérêts.C’est exactement le même mécanisme que celui des compagnies aériennes avec leurs miles, de PayPal avec les soldes des comptes, ou d’Amazon avec les cartes prépayées. L’entreprise reçoit l’argent aujourd’hui et n’a pas besoin de fournir immédiatement le service. Certaines sommes ne seront jamais consommées et une partie génère de la valeur financière en attendant d’être utilisées.En résumé, Starbucks bénéficie d’un double avantage :l’argent jamais dépensé, qui devient un profit net,l’argent temporairement stocké, qui apporte des revenus financiers.Cela transforme les cartes-cadeaux et les recharges d’application en une source de revenus extrêmement rentable, parfois même plus lucrative que la vente de café elle-même. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:01
  • Nota Bene - CUISINE - Comment bien manger pendant la guerre ?
    Mes chers camarades, bien le bonjour !Ça y est, on arrive au 10e et dernier épisode de la série Cuisine Historique ! Et pour cette fois, on s'attaque à un plat de la Seconde Guerre mondiale : que manger quand le pays est sous occupation, en contexte de restriction ? C'est ce qu'on vous propose de découvrir aujourd'hui avec Fabian, avec les Bitoks à la Russe… Et ne vous y trompez pas, c'est excellent ! Bonne écoute et bon appétit !➤ La série Cuisine Historique a pu être réalisée grâce au soutien du CNC Talent : https://www.cnc.fr/professionnels/aides-et-financements/creation-numerique/fonds-daide-aux-createurs-video-sur-internet-cnc-talent_190814➤ Pour en savoir encore plus sur l'histoire de l'alimentation, suivez les travaux de Fabian :➜ Sur Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100015340651981➜ Sur Instagram : https://www.instagram.com/fabian.mullers/➜ Via le collectif Cuisine Historique : https://www.facebook.com/CollectifCuisineHistorique➜ Et sur le site de La Muse : https://mondemedieval.fr/🎙Présentation : Benjamin Brillaud, Fabian Müllers, Yanis Müllers🎧 Mixage : Studio Pluriel : https://www.studiopluriel.fr/🍽 La recette :- 300 g de viande- Sel- Poivre- Persil- Ciboulette- Yaourt nature- 1 œuf- 30 - 40g de fromage râpé- 100 g de pain de campagne- Huile- Tailler finement le persil et la ciboulette. Hacher le pain en petits morceaux ;- Mélanger la viande, le fromage râpé, les herbes hachées, le yaourt, le pain haché et l'œuf ;- Former des boulettes avec le mélange et les aplatir ;- Faire chauffer de l'huile dans une poêle, et y faire cuire les Bitoks sur les deux faces à feu vif. Les saupoudrer de sel et de poivre.➤➤➤ Pour en savoir plus :- La cuisine d'aujourd'hui, avec ou sans tickets, Jacqueline Hardy, 1941. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    22:38
  • Choses à Savoir SANTE - Quels sont les meilleurs antidépresseurs naturels ?
    La dépression légère à modérée ne nécessite pas toujours un traitement médicamenteux. De nombreuses études montrent que certains remèdes naturels, bien choisis, peuvent agir efficacement sur l’humeur, l’énergie et la motivation. Sans remplacer un suivi médical, ces solutions offrent une alternative douce et scientifiquement validée.Le plus célèbre d’entre eux est sans doute le millepertuis (Hypericum perforatum). Cette plante agit sur la sérotonine, la dopamine et la noradrénaline — trois neurotransmetteurs essentiels à la régulation de l’humeur. Plusieurs méta-analyses ont montré que, pour les dépressions légères à modérées, le millepertuis est aussi efficace que certains antidépresseurs chimiques, tout en provoquant moins d’effets secondaires. Mais prudence : il interagit avec de nombreux médicaments (pilule contraceptive, anticoagulants, etc.) et doit être pris sous supervision médicale.Autre allié puissant : l’exercice physique régulier. Selon une étude publiée dans JAMA Psychiatry, 30 minutes d’activité physique cinq fois par semaine réduisent les symptômes dépressifs presque autant qu’un traitement médicamenteux. Le sport stimule la sécrétion d’endorphines, de dopamine et de BDNF, une protéine qui favorise la régénération des neurones. En clair, bouger modifie la chimie du cerveau de manière durable et positive.L’alimentation joue également un rôle clé. Les régimes riches en oméga-3 (présents dans le saumon, les sardines ou les graines de lin) sont associés à un risque plus faible de dépression. Ces acides gras participent au bon fonctionnement des membranes neuronales. De même, une carence en vitamine D, fréquente en hiver, est liée à une baisse de moral. Un apport suffisant — via le soleil, les œufs ou les suppléments — peut aider à rétablir l’équilibre.Parmi les autres pistes validées par la science : la méditation de pleine conscience, qui réduit les rechutes dépressives de près de 40 % selon une étude de l’Université d’Oxford, et la luminothérapie, particulièrement efficace contre la dépression saisonnière. S’exposer chaque matin à une lumière blanche intense pendant 30 minutes régule la mélatonine et stabilise l’humeur.Enfin, le sommeil reste un pilier souvent négligé : se coucher à heures régulières et éviter les écrans le soir améliore la production naturelle de sérotonine.En somme, les antidépresseurs naturels les plus efficaces — sport, lumière, plantes, alimentation, méditation — agissent tous sur un même levier : restaurer l’équilibre biologique du cerveau, sans effets secondaires lourds. Une preuve que la nature et nos habitudes peuvent, parfois, rivaliser avec la chimie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:08

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Écoutez votre curiosité avec la Playlist podcast parfaite de Culture Générale Plongez dans un océan de nouvelles connaissances avec notre sélection des meilleurs épisodes de podcasts de culture générale. Chaque jour, découvrez quelque chose de nouveau et d'enrichissant, que ce soit sur l’histoire, les sciences, les arts ou les mystères de notre monde. Que vous soyez en quête de la connaissance suprême ou que vous aimiez simplement apprendre de nouvelles anecdotes pour briller en société, cette playlist est faite pour vous. Tous les épisodes sont animés par des podcasteur·ices passionné·es et talentueu·ses qui rendent chaque sujet accessible et captivant. Suivez donc les chemins de votre curiosité et embarquez pour un voyage quotidien à travers les merveilles du monde et du savoir humain. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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