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  • Les JO des robots humanoïdes organisés en Chine ?
    Après avoir couru un semi-marathon ou disputé un match de foot, les robots passent à l’étape supérieure. La semaine prochaine, Shanghai va accueillir la toute première édition des World Humanoid Robot Games. Un événement inédit qui rassemblera plus de 500 robots issus de 127 entreprises, venus se mesurer dans une série d’épreuves sportives et artistiques. Au programme : football, basketball, tennis de table, combat libre… mais aussi danse en groupe et démonstrations techniques simulant des situations réelles. L’objectif ? Évaluer la mobilité, la réactivité et la coordination de ces machines, tout en offrant un spectacle digne des compétitions humaines.La télévision publique chinoise a déjà donné un aperçu : des robots dribblant un ballon, esquivant des coups sur un ring ou exécutant des gestes précis inspirés de sportifs professionnels. Les compétitions se dérouleront dans plusieurs enceintes de la ville, spécialement aménagées pour accueillir les épreuves et des zones d’exposition. Les participants viennent de tous horizons : start-up, géants de la tech, universités et laboratoires de recherche. Mais derrière le show, il y a un enjeu économique majeur. L’industrie chinoise des humanoïdes est en pleine accélération, portée par des investisseurs de poids comme Tencent ou Alibaba. Certaines entreprises se préparent déjà à entrer en bourse, profitant d’un atout clé : une production locale intégrée, capable de fournir à la fois les composants mécaniques et électroniques. Résultat : des coûts plus bas et des prix agressifs.Exemple marquant : Unitree a récemment lancé un humanoïde à environ 6 000 dollars. Un tarif qui ouvre le marché à des secteurs jusque-là exclus de ce type de technologie. L’objectif des fabricants est clair : rendre ces robots polyvalents, capables de passer de tâches simples à des missions plus complexes. Les Jeux de Shanghai serviront ainsi de vitrine mondiale, montrant non seulement la prouesse technologique, mais aussi le potentiel commercial de ces machines… qui n’ont pas fini de nous courir après. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:08
  • NVIDIA et AMD vont payer les USA pour chaque puce vendue en Chine ?
    Les relations commerciales entre Washington et Pékin sont déjà assez tendues… et quand il s’agit de high-tech, la partie se corse encore. Ces dernières années, les États-Unis ont multiplié les restrictions sur l’exportation de matériel vers la Chine, au point d’interdire presque totalement à NVIDIA de vendre ses puces H20 à son grand rival asiatique.Eh bien, surprise : cette interdiction va tomber… grâce à un accord pour le moins inédit. Selon le Financial Times, NVIDIA et AMD viennent d’obtenir des licences d’exportation vers la Chine. Mais attention : rien n’est gratuit. En échange, les deux géants américains de la tech verseront à Washington 15 % des revenus générés par la vente de leurs puces – les H20 pour NVIDIA, les MI308 pour AMD – sur le marché chinois.Pour l’instant, personne ne sait exactement comment cette manne financière sera utilisée. Ce qui est sûr, c’est que c’est une première dans l’histoire économique américaine : jamais une licence d’export n’avait été conditionnée au reversement direct d’une partie des recettes d’une entreprise au gouvernement. Un deal qui rappelle l’approche transactionnelle popularisée sous l’ère Trump : les règles du commerce peuvent s’assouplir… si un accord avantageux est trouvé.Mais ce feu vert pourrait être de courte durée. À Washington, les opposants sont nombreux. Une vingtaine d’experts en sécurité viennent de signer une lettre au secrétaire au Commerce, Howard Lutnick, pour exiger que ces puces ne soient pas vendues en Chine, estimant qu’elles pourraient booster dangereusement les capacités d’intelligence artificielle de Pékin. Autrement dit, cette ouverture pourrait bien être un simple sursis, dans un match États-Unis–Chine où technologie et géopolitique s’emmêlent toujours plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:58
  • Pourquoi GPT-5 fait enrager les utilisateurs ?
    C’était censé être une révolution. Avec GPT-5, OpenAI voulait confirmer sa place de leader mondial de l’intelligence artificielle. Un modèle dernier cri, intégré gratuitement à ChatGPT, censé séduire aussi bien les curieux que les abonnés. Mais la transition a viré à la tempête… et la communauté gronde. Au cœur de la colère : la disparition brutale des anciens modèles, y compris le très apprécié GPT-4o. Du jour au lendemain, sans avertissement, GPT-5 est devenu l’unique option. Pour de nombreux abonnés, leurs habitudes et leurs méthodes de travail ont été balayées. Et le choc est double : au-delà de la contrainte, beaucoup jugent GPT-5 moins performant.Surnommé par certains « zombie beige et corporatiste », GPT-5 est accusé de donner des réponses plus courtes, moins précises, et parfois moins logiques. Un comble pour une mise à jour qui, pour beaucoup, ressemble davantage à un déclassement qu’à un progrès. Comme si cela ne suffisait pas, la présentation officielle a tourné au fiasco. Des graphiques de performance erronés ont été projetés, déclenchant moqueries et critiques. Sam Altman, PDG d’OpenAI, a dû reconnaître un « méga ratage » et présenter ses excuses publiques.Face à la fronde, OpenAI a dû réagir. Retour partiel en arrière : GPT-4o sera réintégré… mais uniquement pour les abonnés ChatGPT Plus à 20 dollars par mois. « Nous avons clairement sous-estimé l’importance que certaines fonctionnalités de GPT-4o avaient pour de nombreux utilisateurs », a admis Altman, tout en maintenant que GPT-5 restait supérieur sur la plupart des points. Combien de temps GPT-4o restera accessible ? Mystère. Le PDG prévient : « Nous observerons l’usage afin de déterminer combien de temps proposer les anciens modèles. » En attendant, cette affaire rappelle qu’en technologie, l’innovation n’est pas seulement une question de puissance… mais aussi de confiance entre une entreprise et sa communauté. Et sur ce terrain, OpenAI a visiblement encore du travail. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:07
  • Microsoft peut cloner des voix à la perfection ?
    C’est une petite révolution dans le monde de la synthèse vocale. Microsoft vient de lever le voile sur DragonV2.1, la nouvelle version de son moteur vocal intégré à Azure AI Speech. Et les promesses sont ambitieuses : des voix plus naturelles, plus justes… et plus difficiles à distinguer de la réalité. Là où il fallait auparavant plusieurs minutes de données vocales pour créer un clone convaincant, DragonV2.1 se contente désormais de quelques secondes seulement. Le tout, dans plus de 100 langues. De quoi faire frémir les studios de doublage et ravir les développeurs d’assistants vocaux ou de chatbots.Par rapport à la précédente version, DragonV1, les améliorations sont nettes. Le nouveau modèle affiche une réduction de 12,8 % du taux d’erreur de mot, et corrige les défauts de prononciation, notamment sur les noms propres. Microsoft promet une prosodie plus fluide, plus stable, plus humaine. Mais ce qui impressionne, c’est le niveau de personnalisation : accents, intonations, lexiques spécifiques, tout peut être modulé grâce aux balises SSML. Des profils vocaux comme Andrew, Ava ou Brian permettent même de tester rapidement les capacités du modèle.Bien sûr, avec une telle fidélité vocale, le spectre du deepfake plane. Microsoft en est pleinement conscient. Pour prévenir tout usage malveillant, l’entreprise impose des garde-fous stricts : consentement obligatoire, déclaration explicite d’un contenu synthétique, interdiction d’imitation trompeuse, et surtout, ajout automatique d’un filigrane audio. Ce filigrane invisible serait détectable dans 99,7 % des cas, selon l’entreprise. Suffisant pour rassurer ? Rien n’est moins sûr. Mais une chose est claire : avec DragonV2.1, les voix synthétiques viennent de franchir un cap. Entre progrès technologique et enjeu éthique, la voix de demain sera peut-être déjà celle d’une machine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:56
  • Les ondes wifi permettent de nous pister physiquement ?
    Et si votre réseau Wi-Fi servait à autre chose qu’à regarder des vidéos ou envoyer des mails ? La technologie sans fil pourrait bien devenir un outil de détection et de surveillance redoutable… C’est en tout cas ce que révèle une étude surprenante menée par des chercheurs de l’université La Sapienza, à Rome.Leur invention s’appelle WhoFI. Son principe ? Identifier une personne grâce à la manière dont son corps interagit avec les ondes Wi-Fi. Chaque individu produirait, sans le savoir, une sorte d’empreinte électromagnétique unique. Une fois cette signature enregistrée, le système serait ensuite capable de la reconnaître en temps réel, sans capteur, sans caméra, sans puce : juste en observant les rebonds du signal Wi-Fi dans l’environnement.Une technologie qui va bien au-delà des expérimentations passées. Car si des tentatives similaires ont déjà été menées, les résultats étaient encore trop imprécis. En 2020, un système du même genre n’affichait qu’un taux de reconnaissance de 75%. Avec WhoFI, on monte à 95,5%. Une précision qui pourrait tout changer.Imaginez un lieu public où il devient possible de localiser et suivre une personne, même dans le noir, derrière un mur, sans aucune caméra. Pour les chercheurs, on tient là un outil de surveillance d’une efficacité redoutable. Et même si, pour l’instant, le système reste cantonné au laboratoire, il y a fort à parier que les services de renseignement y jettent déjà un œil très intéressé. Reste une question centrale : jusqu’où sommes-nous prêts à aller au nom de la sécurité ? Car si le Wi-Fi peut vous reconnaître… il pourrait bien, un jour, ne plus jamais vous lâcher. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:09

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Generated: 8/15/2025 - 8:34:43 AM