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  • Comment OpenAI veut tuer Siri ?
    La guerre des assistants vocaux est entrée dans une nouvelle phase. Apple tente tant bien que mal de moderniser Siri, pendant qu’OpenAI, de son côté, déploie une stratégie ambitieuse pour imposer ChatGPT comme l’assistant numérique de référence, y compris… sur les iPhones.C’est un document interne d’OpenAI, intitulé « ChatGPT: H1 2025 Strategy », qui a levé le voile sur cette offensive. Révélé dans le cadre de l’enquête antitrust contre Google, ce plan stratégique décrit la création d’un "super-assistant" : une intelligence artificielle ultra-polyvalente, capable aussi bien de gérer les petites corvées du quotidien que de vous assister sur des tâches complexes comme le codage, la planification de voyages ou la prise de rendez-vous avec un avocat. Avec sa mémoire évolutive, sa capacité à se souvenir de vos préférences, et ses interactions avec des plateformes tierces via son module Operator, ChatGPT vise à devenir un compagnon numérique personnalisé, présent sur le web, les applications, par email, téléphone et même au sein de services comme… Siri.Car oui, ChatGPT est déjà intégré dans iOS 18, sous forme d’un soutien ponctuel à Siri. Mais pour OpenAI, ce n’est qu’un début. L’entreprise veut que les utilisateurs puissent le choisir comme assistant par défaut, que ce soit sur iOS, Android ou Windows. Un appel direct à Apple, Google et Microsoft, que l’on accuse ici de verrouiller l’accès aux assistants concurrents. Et ce n’est pas tout : OpenAI réclame également que les moteurs de recherche ouvrent leurs index à tous les assistants IA, pour garantir une véritable concurrence.Pendant ce temps, Apple semble en plein questionnement. La refonte de Siri est en cours, avec une équipe réorganisée et un nouveau projet interne baptisé « Knowledge ». Mais malgré des avancées notables, la firme à la pomme peine à rattraper le retard. Un signe révélateur : OpenAI vient d’acquérir une startup dirigée par un ancien designer d’Apple, renforçant encore l’ergonomie et l’intégration de ChatGPT. L’avenir nous dira si Siri parviendra à résister… ou s’il devra bientôt céder sa place. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:12
  • Photoshop arrive sur Android en gratuit ?
    C’est une arrivée que beaucoup attendaient : Photoshop est désormais disponible sur Android. Après un premier lancement sur iOS en février, Adobe déploie enfin sa célèbre application de retouche sur le Play Store. Et bonne nouvelle : elle est gratuite pendant toute la phase de bêta. Mais attention, pas question ici de transposer l’usine à gaz de la version desktop. L’idée, c’est plutôt de proposer une version allégée mais puissante, pensée pour une utilisation tactile. Un outil de création nomade, capable d’aller bien au-delà des applis de retouche simplifiées qu’on connaît trop bien.Les calques sont là, les masques aussi, ainsi que tous les indispensables : outils de sélection, fusion, réglages avancés. Les utilisateurs retrouvent le pinceau de correction, le tampon de duplication, ou encore la sélection par pression — baptisée « Tap Select » — qui permet de remplacer en un geste un élément de l’image. Le tout, dans une interface adaptée aux écrans de smartphone. Mais ce qui change vraiment la donne, c’est l’intelligence artificielle embarquée. Le moteur Firefly d’Adobe permet un remplissage génératif, autrement dit : ajouter ou modifier une image à partir d’un simple texte. Une chaise ici, un nuage là, et voilà. De quoi créer sans perdre de temps dans les menus.Enfin, Photoshop sur Android s’accompagne d’un accès à des ressources gratuites issues d’Adobe Stock, pour enrichir ses projets en mobilité. L’application nécessite Android 11 minimum et 6 Go de RAM (8 recommandés). Et Adobe promet déjà des mises à jour régulières, nourries par les retours des utilisateurs. En bref, Photoshop sur Android, ce n’est plus un rêve, c’est une version solide, prometteuse, et surtout accessible dès maintenant… tant que la bêta est ouverte. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:09
  • ExtensionPedia : référence pour vérifier la sécurité des extensions de navigateur ?
    On les installe souvent en un clic, sans trop y penser. Les extensions pour Chrome, Firefox ou Edge sont devenues des outils du quotidien. Mais derrière leur promesse de nous simplifier la vie, certaines cachent des pratiques douteuses : collecte abusive de données, arnaques à l’affiliation, voire logiciels malveillants. C’est pour faire la lumière sur ces risques que la société de cybersécurité LayerX vient de lancer un tout nouveau site : ExtensionPedia. Un nom qui claque et une ambition claire : devenir le Wikipédia des extensions.Dans une publication récente, LayerX présente cette plateforme comme une base de données dédiée à l’analyse des risques liés aux extensions de navigateur. On y retrouve les plugins les plus populaires, classés par catégories — intelligence artificielle, gestion de mots de passe, VPN, traduction, productivité... Plus de 200 000 extensions y sont référencées, avec une évaluation basée sur différents critères de sécurité et de confidentialité.ExtensionPedia propose notamment un score de risque global, une analyse des permissions demandées, et une estimation de la réputation de chaque extension. Une initiative louable, surtout face à l’opacité de certaines boutiques officielles. Mais la vraie question reste : les utilisateurs auront-ils le réflexe d’aller vérifier chaque extension avant de l’installer ? Rien n’est moins sûr. Car si l’outil est riche, il est aussi technique — et pourrait décourager les moins initiés. Reste à voir si cette plateforme saura s’imposer dans les habitudes numériques. En attendant, elle est d’ores et déjà accessible gratuitement en ligne. Pour les plus prudents, c’est sans doute un nouvel allié de poids.https://layerxsecurity.com/extensions/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:00
  • Switch 2 : que révèle l’autopsie de la nouvelle console Nintendo ?
    La Nintendo Switch 2 est officiellement disponible depuis début juin en France… Et déjà, certains n’ont pas attendu pour en découvrir les moindres rouages. La chaîne YouTube ProModding a publié une première vidéo de démontage de la console, dévoilant ses entrailles avec un luxe de détails, en attendant le verdict très attendu des experts en réparabilité d’iFixit.Verdict préliminaire ? La Switch 2 semble relativement facile à démonter. Quelques vis bien cachées, des loquets planqués sous les autocollants, et un peu de doigté pour déconnecter les nappes, mais un utilisateur aguerri peut la démonter en 15 minutes. Attention toutefois : l’opération annule la garantie constructeur, et la réparabilité n’évolue pas franchement par rapport à la première Switch.Malgré un démontage avant tout descriptif, le technicien de ProModding partage quelques observations notables. Les nouveaux Joy-Con, par exemple, tiennent mieux que les anciens… tout en conservant un léger jeu. La pâte thermique, elle, semble identique à celle utilisée dans la première génération. En revanche, la béquille arrière inquiète : jugée trop fragile, elle présenterait un « risque élevé de casse », notamment si l’on tente de la déployer d’un seul côté. En bonus, la vidéo dévoile également un gros plan de la nouvelle puce custom signée Nvidia, véritable cœur de la machine. Une plongée rare et rapide dans l’architecture de cette console à peine sortie. Mais pour une vraie évaluation de la réparabilité, il faudra patienter. iFixit devrait publier son analyse complète dans les prochains jours. Rappelons que la Switch première du nom avait vu sa note de réparabilité chuter de 8 à 4 sur 10, pénalisée par les défauts récurrents des Joy-Con. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:07
  • Musk a des plans démentiels pour SpaceX ?
    Elon Musk l’assure : fini les distractions, l’heure est venue de se recentrer pleinement sur ses entreprises, et surtout sur SpaceX. Officiellement en retrait des questions gouvernementales, le milliardaire américain veut accélérer la cadence et faire entrer sa société — déjà valorisée à près de 350 milliards de dollars — dans une nouvelle ère.Première priorité : Starlink, la constellation de satellites internet. Musk promet une montée en puissance spectaculaire avec la fabrication de 5 000 satellites V3 par an, puis 10 000 à terme. Leurs performances seront démultipliées : des vitesses de téléchargement jusqu’à 1 térabit par seconde, soit dix fois plus que les modèles actuels. Mais qui dit puissance dit taille : chaque satellite aura la taille… d’un Boeing 737. Impossible à lancer avec une Falcon 9 : seul Starship, la méga-fusée maison, pourra les mettre en orbite. Et c’est justement sur Starship que se concentrent les efforts. Malgré plusieurs essais infructueux, Musk garde le cap. Il promet une avancée majeure dans les prochains mois : la récupération du second étage du vaisseau, après le succès partiel du booster Super Heavy. Une capacité cruciale pour rendre Starship entièrement réutilisable. Objectif final ? Réutiliser une fusée en seulement une heure, avec un retour d’orbite en 5 à 6 minutes, un ravitaillement express de 30 minutes… et un nouveau décollage dans la foulée.Autre défi technique : le transfert d’ergols en orbite, prévu pour 2026, indispensable pour viser la Lune ou Mars. Car la mission lunaire Artemis, dans laquelle Starship joue le rôle d’alunisseur, est toujours fixée à 2027… pour l’instant. Mais Elon Musk regarde plus loin. Mars reste son obsession. Il prévoit d’y envoyer des milliers de Starship, chargés de matériel, d’infrastructures, et bientôt… d’humains. Le grand plan ? Une production de masse, avec 1 000 Starship par an, et un premier envoi de cinq fusées dès 2026, contenant des robots humanoïdes Optimus, développés par Tesla. Un rêve fou ? Peut-être. Mais si l’on se fie à l’obsession et aux moyens déployés, l’ère spatiale façon Musk est bel et bien lancée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:24

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