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  • Apple veut améliorer la migration vers Android ?
    C’est un petit pas pour les développeurs, mais un grand pas pour l’écosystème mobile. Apple vient de lever le voile sur AppMigrationKit, un tout nouveau framework pensé pour simplifier le transfert de données entre iOS et Android. Autrement dit, un outil qui permettra — enfin — de changer de camp sans tout perdre. Une révolution discrète, mais symbolique, dans la stratégie d’ouverture du géant californien.Actuellement en version bêta, AppMigrationKit devrait faire son apparition officielle avec iOS et iPadOS 26.1. Il permettra aux développeurs d’intégrer, directement dans leurs applications, un système de transfert des données locales, des réglages personnalisés et même des sauvegardes de jeux. Un utilisateur migrant vers un appareil Android — ou inversement — pourra donc emporter ses informations sans passer par les nuages du cloud ni perdre ses préférences. Le fonctionnement repose sur un protocole baptisé AppMigrationExtension. Chaque développeur pourra définir si son application autorise l’importation, l’exportation ou les deux. Lorsqu’un utilisateur lancera la migration, toutes les apps compatibles seront automatiquement incluses dans le paquet de transfert. Attention toutefois : ce kit n’a rien à voir avec les synchronisations habituelles entre appareils Apple. Il est exclusivement conçu pour les échanges entre plateformes Apple et non-Apple, principalement Android.AppMigrationKit ne couvre pas non plus les données hébergées sur des serveurs distants, et ne permet qu’un transfert ponctuel, lors d’un changement d’appareil. En revanche, rien n’empêche les développeurs de proposer ensuite une synchronisation cloud pour retrouver leurs contenus en ligne. Ce nouveau framework s’accompagne d’une future option visible dans les réglages : “Transfert vers Android”, déjà repérée dans les versions bêta d’iOS 26.1. L’écran d’accueil précisera quelles données peuvent ou non être migrées. Selon 9to5Mac, Google plancherait déjà sur un outil miroir baptisé “Transfert vers iPhone”, centré sur le passage d’eSIM et de fichiers utilisateur. Tout porte à croire que cette ouverture d’Apple n’est pas totalement spontanée. Elle s’inscrit dans la continuité des pressions européennes pour mettre fin à son fameux jardin clos. Un tournant historique, à suivre de très près. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:13
  • Connaissez-vous l’histoire de Sam Sung, employé chez Apple ?
    C’est une histoire à peine croyable, celle d’un jeune Écossais qui a vu sa vie bouleversée… par une simple carte de visite. Tout commence à Vancouver, dans un Apple Store tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Parmi les vendeurs, un certain Sam Sung — oui, comme le grand rival sud-coréen de la marque à la pomme. Un jour, un client amusé publie sa carte de visite sur Reddit : « Sam Sung – Specialist, Apple Store ». En quelques heures, la photo devient virale. Le monde entier s’esclaffe devant ce hasard parfait.Mais pour le principal intéressé, la blague tourne vite à l’angoisse. « Je recevais des dizaines d’appels, mon téléphone n’arrêtait pas de sonner. J’ai cru qu’un membre de ma famille était mort », raconte celui qui se fait aujourd’hui appeler Sam Struan. À l’époque, il ne connaît même pas Reddit et pense d’abord à une arnaque. Quand il comprend l’ampleur du buzz, c’est trop tard : les journalistes assiègent la boutique, les curieux appellent pour savoir si “Sam Sung travaille vraiment chez Apple”. L’entreprise, embarrassée, le met temporairement à l’écart et lui retire ses cartes de visite.« J’étais terrifié à l’idée de perdre mon emploi », se souvient-il. Le jeune vendeur finit par quitter Apple en 2013 pour se reconvertir dans le recrutement. Un an plus tard, il décide de tourner l’ironie à son avantage : il met sa fameuse carte de visite et son uniforme aux enchères. L’objet s’arrache pour 2 500 dollars, reversés à une association caritative, Children’s Wish. « C’est le seul bon souvenir que je garde de cette histoire », confie-t-il aujourd’hui.Mais la blague lui collera longtemps à la peau. Lassé d’être “l’employé d’Apple qui s’appelle comme Samsung”, il change officiellement de nom, adoptant Struan, celui d’un village écossais. Une décennie plus tard, il vit loin du tumulte, même si ses proches s’amusent encore à l’appeler “Sam Sung”. Et il en rit enfin : « J’aurais dû juste en sourire et profiter du moment. » Une petite leçon de notre époque : sur Internet, un simple nom peut suffire à faire… le buzz mondial. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:10
  • Une puce et des lunettes pour redonner la vue aux aveugles ?
    Après le cerveau, les géants de la tech s’attaquent désormais… à l’œil. Tandis qu’Elon Musk tente de soigner des pathologies neurologiques grâce à Neuralink, un ancien partenaire du milliardaire, Max Hodak, s’est lancé un défi tout aussi ambitieux : redonner la vue aux personnes atteintes de DMLA, la dégénérescence maculaire liée à l’âge, principale cause de cécité dans le monde. Et les premiers résultats sont spectaculaires.Une étude publiée dans le New England Journal of Medicine dévoile les conclusions d’un essai clinique mené sur 38 patients âgés de plus de 60 ans, tous atteints de DMLA avancée aux deux yeux. Chez 32 d’entre eux, l’implant a pu être testé sur une durée d’un an : 26 participants ont retrouvé une vision partielle, soit un taux de réussite de plus de 80 %. L’image perçue reste floue et en noir et blanc, mais elle permet de distinguer les formes et les mouvements — un bond de géant pour des patients auparavant aveugles.L’appareil en question est une minuscule puce de 2 millimètres sur 2, composée de micropanneaux photovoltaïques. Inséré chirurgicalement dans la rétine, il remplace les cellules mortes responsables de la cécité. Associé à des lunettes connectées, l’implant capte les images de l’environnement grâce à un faisceau de lumière infrarouge, puis les transforme en signaux électriques transmis au nerf optique. Le cerveau reconstitue alors une image — une prouesse qui imite le fonctionnement naturel de l’œil humain.Ce dispositif révolutionnaire a été mis au point par Science Corporation, la start-up fondée par Max Hodak après son départ de Neuralink. L’entreprise s’est appuyée sur les travaux de la société française Pixium Vision, pionnière dans les implants rétiniens, dont elle a racheté la technologie en 2024. Un mariage entre biologie et microélectronique qui ouvre la voie à une nouvelle génération de prothèses sensorielles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:05
  • La 6G arrive bientôt en France ?
    C’est un chantier d’une ampleur rare : l’ARCEP, le gendarme des télécoms, vient de lancer une grande consultation nationale pour réorganiser le spectre radioélectrique français. Objectif : préparer l’arrivée de la 6G et redéfinir la répartition des fréquences entre Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free pour la décennie 2030-2040. Un travail d’ingénierie stratégique qui conditionnera notre futur numérique.Chaque opérateur dispose de licences d’exploitation sur des bandes de fréquences, un peu comme des concessions autoroutières. Les bandes dites basses couvrent les zones rurales, les hautes offrent des débits records mais une portée limitée, et les moyennes servent d’équilibre entre les deux. Problème : toutes ces licences expirent entre 2030 et 2035, au moment même où la 6G sortira des laboratoires.Dans un document de 39 pages, l’ARCEP interroge les opérateurs : à quels usages répondra la 6G ? À quel horizon ? Quels besoins en couverture, en puissance ou en mutualisation ? Le régulateur évoque une transition progressive, depuis la 5G « Standalone » actuelle vers une 5G « Advanced », avant le grand saut vers la 6G, plus intelligente et connectée aux satellites. L’un des grands enjeux, c’est la bande des 6 GHz, identifiée fin 2023 comme le futur axe autoroutier du trafic mobile. Un territoire convoité aussi par le Wi-Fi, et qui fait déjà l’objet d’âpres négociations à Bruxelles. L’ARCEP veut défendre la position française avant une décision européenne prévue en 2027.La facture, elle, s’annonce salée. En 2024, les investissements des opérateurs ont déjà atteint 12,4 milliards d’euros. Faut-il privilégier de nouvelles enchères ou des obligations de couverture ? La question reste ouverte. Dernier sujet clé : la connectivité satellite directe, qui permettrait de se connecter sans antenne terrestre. L’ARCEP veut savoir si les opérateurs français sont prêts à partager leurs fréquences avec ces futurs partenaires spatiaux. Les réponses, attendues pour mi-décembre, traceront la carte du mobile français à l’horizon 2040. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:11
  • Wi-Fi 8 : quelles promesses et limites ?
    Alors que le Wi-Fi 7 commence tout juste à s’installer dans nos foyers, l’industrie prépare déjà la suite. Le constructeur TP-Link a annoncé avoir réalisé la première transmission de données en Wi-Fi 8, aussi connu sous le nom technique 802.11bn. Une démonstration effectuée à l’aide d’un prototype développé avec un partenaire resté anonyme, qui marque une étape clé vers le futur standard du sans-fil, attendu d’ici la fin de la décennie.Mais attention : le Wi-Fi 8 ne cherche pas à battre des records de vitesse. Son véritable objectif, c’est la fiabilité. Selon Qualcomm, l’un des acteurs majeurs du projet, ce nouveau standard représente « un pivot fondamental » : il s’agit moins d’augmenter le débit que d’assurer une connexion stable dans des environnements complexes et saturés.Le Wi-Fi 8 fonctionnera sur les mêmes bandes que son prédécesseur — 2,4, 5 et 6 GHz — pour un débit théorique maximal compris entre 46 et 48 Gbit/s. Mais les vraies innovations se cachent ailleurs :-la technologie Enhanced Long Range (ELR) pour améliorer la portée,-Distributed Resource Units (DRU) pour mieux répartir les canaux entre appareils,-et Unequal Modulation (UEQM), capable d’adapter le signal à chaque terminal connecté.Selon Qualcomm, ces avancées permettront de réduire la latence et les pertes de paquets d’environ 25 %, un gain crucial pour le jeu vidéo en ligne, la réalité augmentée, ou encore les applications industrielles. Pour TP-Link, cette première démonstration confirme la stabilité du signal et la fiabilité du « beacon », l’identifiant propre au Wi-Fi 8. Le projet s’inscrit dans l’initiative Ultra High Reliability (UHR) de l’IEEE, qui vise à maintenir une connexion fluide même dans les zones perturbées — stades, usines, campus ou transports. Les premières spécifications sont attendues en 2027, pour une certification officielle mi-2028. Les premiers routeurs suivront sans doute peu après. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:06

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