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TOKIO radio, Brouillon de culture ⚡️Explorez l'inattendu.Plongez dans la spontanéité.Celle de l'art, du beau et des mots.Nos invités se livrent comme jamais dan...

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  • #12 Jean-Marc Barr « Experience »
    L’un des derniers romantiques du cinéma.En 1988, Le Grand Bleu fait de Jean-Marc Barr une icône instantanée, un mythe, à 28 ans.Son regard perdu dans l’infini,Sa beauté transcendante,et son lien presque mystique avec l’océan marquent à jamais le public.À Hollywood, on le courtise, mais lui prend une autre voie, loin du star-system. Jean-Marc Barr emprunte les chemins de traverse, nage à contre-courant et vit son cinéma.Avec Lars von Trier, il tourne Europa, puis s’embarque dans l’aventure Dogma 95, un mouvement cinématographique révolutionnaire qui bouleverse le cinéma indépendant. Il réalise son premier long-métrage, Lovers, avec l’actrice Élodie Bouchez, caméra à la main.Ce mouvement a forcé les réalisateurs à réinventer leur manière de raconter une histoire, en se débarrassant des artifices hollywoodiens, pour revenir à l’essence du cinéma : l’émotion pure.Ce qui frappe chez lui, c’est cette quête de liberté inconditionnelle. Il refuse les facilités du métier, préférant des rôles exigeants, un cinéma brut, une recherche artistique sans compromis.Dans un monde où le cynisme l’emporte souvent, Jean-Marc Barr incarne encore une forme de romantisme. Pas au sens mièvre du terme, mais dans cette capacité à croire en la beauté, en l’art comme espace de vérité et de liberté.Écouter Jean-Marc Barr, c’est plonger dans un autre temps.
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    39:10
  • #11 Jean-Marc Barr « Hors cadre »
    Il y a des artistes que l’on reconnaît à leur visage, d’autres à leur voix, certains encore à une posture, une façon d’occuper l’espace. Jean-Marc Barr, lui, se distingue par son esprit. Un souffle de liberté qui traverse chacun de ses choix, qu’ils soient artistiques, personnels ou existentiels. Si vous croyez encore que la célébrité impose des compromis, il suffit d’observer son parcours pour comprendre qu’il incarne tout l’inverse : un refus du conformisme, une quête de vérité, une nécessité d’être soi – coûte que coûte.Il est impossible d’évoquer Jean-Marc Barr sans penser à Le Grand Bleu. Le film culte de Luc Besson l’a propulsé sur le devant de la scène, gravant à jamais son visage dans la mémoire collective. Pourtant, si d’autres auraient pu s’installer confortablement dans la lumière, il a choisi une autre route. Là où certains voient une carrière toute tracée, lui perçoit une cage dorée. Son esprit de liberté l’a poussé à refuser les rôles formatés, les productions sans âme, et à s’orienter vers un cinéma plus exigeant, plus intime.Le cinéma de Jean-Marc Barr est un territoire d’exploration. Il travaille avec des réalisateurs audacieux comme Lars von Trier, devenant un fidèle compagnon de route du Dogme 95. Europa, Breaking the Waves, Dancer in the Dark : des œuvres radicales qui témoignent d’une prise de risque permanente. Il ne joue pas, il habite ses rôles, s’effaçant derrière des personnages tourmentés, marginaux, écorchés. Son choix d’alternance entre cinéma d’auteur et production plus grand public prouve qu’il n’a jamais renié ses idéaux. Il ne se laisse pas enfermer dans une case, car il refuse l’idée même du moule.Jean-Marc Barr est le plus Européen des Américains, il oscille entre plusieurs cultures, plusieurs langues, et c’est peut-être cette hybridité qui nourrit son insatiable besoin de mouvement. Il est aussi réalisateur, scénariste, photographe, explorant sans cesse de nouveaux médiums pour exprimer sa vision. Dans sa filmographie, comme dans sa vie, il y a cette constante : une indépendance farouche. Il se tient loin des mondanités, des calculs stratégiques, des postures factices. Là où beaucoup cherchent à plaire, lui cherche à être.Dans Lovers, film qu’il a lui-même réalisé, il explore la sensualité avec une liberté totale, sans artifice ni tabou. Cette approche du corps comme un langage, comme un territoire d’expression, rappelle que la vraie liberté, c’est d’assumer qui l’on est, dans toute sa vulnérabilité. Ce regard sans fard, il l’applique aussi à son engagement : parler quand il le faut, se taire quand c’est nécessaire, mais toujours avec une forme d’honnêteté qui fait écho à son jeu d’acteur.Dans un monde où l’uniformisation menace l’authenticité, Jean-Marc Barr demeure une figure précieuse, un repère. Il nous rappelle qu’il est encore possible de choisir une autre voie, de privilégier l’essence à l’apparence, de refuser les compromis stériles. Sa carrière est un manifeste : celui d’un homme qui n’a jamais cessé de suivre son propre courant, envers et contre tout.Jean-Marc Barr ne joue pas à être libre. Il l’est.
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    39:07
  • #10 Boris Pierre, créateur de TOKIO radio ⚡️
    « Qui est vraiment Boris Pierre ? Depuis le début de TOKIO radio, il questionne, il écoute, il explore. Mais cette fois, les rôles s’inversent. Guy Birenbaum mène l’entretien. Un échange sincère, sans filtre.Une conversation pour mieux comprendre la voix derrière TOKIO radio. »
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    42:22
  • #9 Charles Comiti, Réalisateur engagé
    Charles Comiti, Réalisateur intransigeant : filmer l’Ukraine sous les bombesRéaliser des documentaires en zone de guerre est un métier aussi exigeant que périlleux. Pour Charles Comiti, ce n’est pas seulement un métier : c’est une vocation, un engagement profond pour raconter ce que d’autres préfèrent ignorer. Depuis les premiers jours de l’invasion russe en Ukraine, ce réalisateur arpente les ruines, les tranchées et les lignes de front pour saisir l’âme d’un peuple en résistance.De Kharkiv à Bakhmout, il filme les regards, les gestes et les choix impossibles d’une jeunesse prise au piège. Une collégienne gratte les cordes d’une guitare, assise sur un monceau de ruines, défiant l’effondrement. Un couple danse sur une place vide, comme pour s’accrocher à une normalité perdue. Un jeune homme évacue sa rage en frappant une porte : « On a le choix entre l’amour et la guerre, et on choisit la guerre ! » Certains s’engagent, d’autres fuient la conscription. Tous témoignent d’un combat quotidien entre l’aspiration à la vie et la brutalité de la guerre.Malgré les difficultés financières – le manque de sponsors, la rareté des commandes et une industrie frileuse face aux sujets sensibles – Charles poursuit son travail avec une intégrité inébranlable. Refusant tout compromis, il capte la vérité au plus près, donnant une voix à ceux que la guerre tente de réduire au silence.Dans un monde où le métier de journaliste et de réalisateur documentaire est de plus en plus remis en question, Charles Comiti incarne l’exigence et la vérité. Indomptable et intransigeant, il est l’un de ces rares observateurs qui osent encore aller au bout de leur engagement, quoi qu’il en coûte.
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    30:08
  • #8 Antoine de Galbert, un homme rare.
    Connaissez-vous Antoine de Galbert, l’homme qui réinvente notre rapport à l’art ?Visionnaire, collectionneur et mécène, Antoine de Galbert ne se contente pas de suivre les sentiers balisés de la création.Il les détourne, les recompose et les transcende. Cet ancien galeriste, fondateur de La Maison Rouge à Paris, a marqué durablement le paysage de l’art contemporain en offrant un espace où identité, mémoire et marginalité se rencontrent et dialoguent.Sa collection, débutée dans les années 1980, échappe aux codes habituels. « Je collectionne avec mes tripes », aime-t-il dire, révélant une approche instinctive et passionnée. Ses choix ne répondent ni aux modes ni aux spéculations du marché. Ils traduisent une quête : celle de l’inattendu, du brut, du viscéral.La Maison Rouge, ouverte en 2004, fut bien plus qu’un lieu d’exposition. Elle incarnait un laboratoire d’idées, un espace d’expérimentation où l’art se faisait rébellion et introspection. Aujourd’hui, l’engagement d’Antoine de Galbert demeure intact. Son soutien aux projets artistiques est porté par une vision unique et profondément humaine.Mais au-delà de ses initiatives, Antoine de Galbert intrigue. Qui est cet homme qui fait de l’art une quête existentielle, une manière de bouleverser nos certitudes tout en reliant les âmes ?Sa démarche, empreinte d’audace et de poésie, invite chacun à explorer les marges où naissent les plus grandes inspirations.Et si vous preniez le temps de découvrir cet homme qui refuse de se laisser enfermer dans les cadres habituels ?À travers son histoire, c’est une autre façon de voir le monde qui s’offre à vous. Une vision, peut-être, qui changera la vôtre.
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    45:31

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TOKIO radio, Brouillon de culture ⚡️Explorez l'inattendu.Plongez dans la spontanéité.Celle de l'art, du beau et des mots.Nos invités se livrent comme jamais dans des discussions de fin de soirée et offrent généreusement leur vision du monde. Dans l'intimité de notre studio écoutez la culture vue par les artistes, comme si vous y étiez. Soyez, vous aussi, nos invités privilégiés. TOKIO Radio est un podcast proposé par Boris PIERRE, fondateur du festival Réflexivité(s) Manifestation photographique.Suivez moi sur Instagram tokio.radioAbonnez-vous 🤩Laissez un avis sur Apple Podcast https://podcasts.apple.com/fr/podcast/tokio-radio/id1751679915Mentionnez-nous sur les réseaux sociaux Mixage et production exécutive : Revolver Studio et Dim Sum Entertainment 
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