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  • 🔊 “Animal !?” Une exposition de chefs-d’oeuvre au Fonds Hélène & Édouard Leclerc pour la Culture, Landerneau du 14 juin au 2 novembre 2025
    “Animal !?” Une exposition de chefs-d’oeuvreau Fonds Hélène & Édouard Leclerc pour la Culture, Landerneaudu 14 juin au 2 novembre 2025Entretien avecChristian Alandete,directeur scientifique à la galerie Mennour et commissaire de l’exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 1er juillet 2025, durée 17’28,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/07/10/3634_animal_fonds-helene-edouard-leclerc/Communiqué de presseCommissaire de l’exposition : Christian Alandete, directeur scientifique à la galerie MennourL’exposition thématique et collective Animal!?, conçue par Christian Alandete, commissaire, propose une approche transversale et transhistorique de la place de l’animal dans les représentations artistiques. Probablement l’un des premiers sujets de l’histoire de l’art, l’animal apparaît dès l’art pariétal et traverse les siècles jusqu’à nos jours avec la même importance.La peinture animalière a été un sujet d’excellence de l’art académique. Au tournant du XXe siècle, l’animal devient le vecteur des avant-gardes successives. D’autres artistes y verront des sujets d’étude de nature à révolutionner l’expérience esthétique en s’intéressant – comme les surréalistes – aux espèces hybrides et aux spécimens du règne animal jusque-là rangés dans la catégorie des monstres. À travers ces nouveaux sujets d’observation, c’est aussi l’évolution d’une société plus humaniste qui transparaît, animée par une remise en question complète de la place de l’humain et de celle de l’animal au sein de la communauté du vivant.L’étude de l’animalité à travers les siècles a contribué à hiérarchiser, cataloguer, distinguer l’humain. De la physiognomonie à l’anthropomorphisme, les artistes ont contribué par leurs oeuvres à donner à voir l’autre de l’humain sous un angle différent et à pointer au-delà des différences ce qui nous rassemble.« Les références populaires qui recourent aux figures animales ne manquent pas. On les retrouve au coeur de nos expressions les plus usuelles toujours dans un jeu, un rapport, de comparaison, d’identification ou de distinction entre l’homme et l’animal. Elles parlent d’eux et de nous, d’eux à travers nous, de nous à travers eux. Mais qui de l’homme ou de l’animal singe l’autre ? C’est tout l’objet de l’incroyable enquête qui se déroule cet été au Fonds Hélène & Édouard Leclerc à travers l’exposition ! » Michel-Edouard LeclercCatalogue de l’exposition aux Éditions FHEL sous la direction scientifique de Christian AlandeteAuteurs (textes inédits) : Michel-Édouard Leclerc / Christian Alandete / Marie-Pierre Bathany / Laurence Bertrand-Dorléac / Martin Bethenod / Mylène Ferrand / Kaoutar Harchi / Nadeije Laneyrie-Dagen / Ovidie / Estelle Zhong-Mengual Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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  • 🔊 “Paul Poiret” La mode est une fête au MAD, musée des Arts Décoratifs, Paris du 25 juin 2025 au 11 janvier 2026
    “Paul Poiret” La mode est une fêteau MAD, musée des Arts Décoratifs, Parisdu 25 juin 2025 au 11 janvier 2026Entretien avec Marie-Pierre Ribère, attachée de conservation, collections mode et textile et co-commissaire de l’exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 24 juin 2025, durée 38’26,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/07/03/3632_paul-poiret_musee-des-arts-decoratifs/Communiqué de presseCommissaire :Marie-Sophie Carron de la Carrière, conservatrice en chef du patrimoine en charge des collections mode et textile 1800-1946Assistée de Marie-Pierre Ribère, attachée de conservation, collections mode et textile#Expo_PoiretLe musée des Arts décoratifs présente sa première grande monographie dédiée à Paul Poiret (1879-1944), figure incontournable de la haute couture parisienne du début du XXe siècle. Considéré comme le libérateur du corps féminin pour l’avoir décorseté, Paul Poiret a rénové la mode. L’exposition « Paul Poiret. La mode est une fête » est une immersion dans l’univers foisonnant du créateur, de la Belle Époque aux Années folles. Elle explore ses créations dans les domaines de la mode, des arts décoratifs, du parfum, de la fête et de la gastronomie. À travers 550 oeuvres (vêtements, accessoires, beaux-arts et arts décoratifs) l’exposition met en lumière l’influence durable de Paul Poiret et révèle l’étendue de son génie créatif. Un voyage fascinant à la rencontre d’un homme dont l’héritage continue d’inspirer les créateurs de mode contemporains, de Christian Dior en 1948 à Alphonse Maitrepierre en 2024. Le commissariat a été confié à Marie-Sophie Carron de la Carrière, conservatrice en chef du patrimoine, la direction artistique à Anette Lenz et la scénographie au Paf atelier.Né à Paris en 1879, Paul Poiret débute sa carrière comme apprenti dans plusieurs maisons de couture. Il se forme aux côtés de Jacques Doucet dès 1898, puis rejoint en 1901 la maison Worth, alors dirigée par les deux fils du fondateur de la haute couture. Dans ces maisons, Poiret observe et assimile les rudiments du métier de couturier : le contact avec les clientes et le travail en équipe. Ces expériences lui confèrent l’impulsion nécessaire pour établir sa propre maison de couture en 1903. Il y définit une nouvelle esthétique du corps féminin, en mouvement et sans carcan, rompant avec la silhouette en S du début du siècle. Sa ligne, simplifiée, est d’une grande modernité. En témoigne la robe du soir Joséphine, chef-d’œuvre de la collection « manifeste » de 1907, d’inspiration Directoire. La taille est remontée sous la poitrine et maintenue à l’intérieur de la robe par un ruban en gros-grain légèrement baleiné. Poiret utilise des tissus légers et emploie des couleurs vives et acides. Sa palette chromatique fait écho à celle du fauvisme, mouvement pictural du début du XXe siècle qu’il apprécie particulièrement.Il a une clientèle aisée et cultivée, avide de nouveautés et s’entoure d’artistes novateurs avec lesquels il collabore et qu’il collectionne (Paul Iribe, Raoul Dufy, Maurice de Vlaminck ou encore Georges Lepape). Après la Première Guerre mondiale, pendant laquelle il est mobilisé, Poiret retrouve l’inspiration grâce à ses voyages et aux fêtes qu’il organise. Les années 1920 sont marquées par de nombreuses dépenses liées à son train de vie excessif et au développement de ses sociétés (la maison de couture, la maison Martine et les Parfums de Rosine). Il est forcé de vendre sa maison de couture en novembre 1924 et de la quitter définitivement en décembre 1929. [...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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  • 🔊 “Nous autres” Donna Gottschalk et Hélène Giannecchini avec Carla Williams LE BAL, Paris du 20 juin au 16 novembre 2025
    “Nous autres”Donna Gottschalk et Hélène Giannecchini avec Carla WilliamsLE BAL, Parisdu 20 juin au 16 novembre 2025Entretien avecHélène Giannecchini,Docteure en littérature, écrivaine, chercheuse et théoricienne de l’art et co-commissaire de l’exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 24 juin 2025, durée 21’44,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/06/27/3631_nous-autres_le-bal/Communiqué de presseCommissariat :Julie Héraut, Responsable Exposition et Recherche chez LE BALHélène Giannecchini, Docteure en littérature, écrivaine, chercheuse et théoricienne de l’artEn janvier 2023, la photographe américaine Donna Gottschalk et l’écrivaine française Hélène Giannecchini se rencontrent pour la première fois. Bien qu’une quarantaine d’années les séparent, une complicité immédiate s’établit, les archives sont explorées, les paroles recueillies. Profondément touchée par la vie et les photographies de Donna, Hélène entreprend de s’en faire l’écho.LE BAL décide alors d’accompagner ce projet à quatre mains avec un dispositif inédit : le récit d’Hélène,conçu telle une balade dans l’espace du BAL, révèle, prolonge et amplifie, au présent, l’œuvre de Donna dont ce sera la première présentation d’ampleur en Europe.En regard, une série d’autoportraits de la photographe et historienne de l’art américaine Carla Williams s’inscrit dans une filiation assumée avec l’oeuvre de Donna et contribue à esquisser une autre histoire de la représentation où l’enjeu n’est pas tant de voir que « d’être vue ».[...]Focus film : I want my people to be remembered – Un film d’Hélène GiannecchiniPrésenté dans l’exposition et réalisé par Hélène Giannecchini, I Want My People to Be Remembered propose une traversée intime et politique des archives personnelles de Donna Gottschalk — photographies, planches-contact, cassettes audio, lettres, journaux. À partir d’entretiens menés par Hélène et de documents inédits, le film retrace le parcours de Donna et de certaines de ses proches. Les voix de Donna, de sa soeur Myla et d’amies comme Jill s’entremêlent, composant un récit choral et fragmentaire, où l’intime rejoint l’histoire collective. Le film restitue une époque – celles d’une génération de femmes queer engagées, précaires et souvent invisibilisées.Publication – Co-édition : Atelier EXB et LE BALPremière monographie consacrée à Donna Gottschalk, « NOUS AUTRES » rassemble une sélection inédite de ses images réalisées entre les années 1960 et 1990. Le parcours de la photographe se déploie en regard du récit complice d’Hélène Giannecchini, la littérature prolongeant le geste photographique. Portraits de proches, scènes de vie militante, lieux du quotidien : l’ouvrage documente une histoire queer, sociale et intime des États-Unis, depuis les toits d’Alphabet City jusqu’aux plages californiennes. L’ensemble est complété par une sélection d’archives ainsi que par des essais inédits de Julie Héraut et Carla Williams. La publication a reçu le soutien à l’édition du Centre national des arts plastiques ainsi que le soutien du Lewis Baltz Research Fund. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    21:44
  • 🔊 “Sara” L’art des papiers déchirés à la BnF François Mitterrand, Paris du 24 juin au 7 septembre 2025
    “Sara” L’art des papiers déchirésà la BnF François Mitterrand, Parisdu 24 juin au 7 septembre 2025Entretien avecCorinne Bouquin,Ghislaine Chagrot,Clarisse Gadala,chargées de collections en littérature de jeunesse, Centre national de la littérature pour la jeunesse, département Littérature et art, BnF et commissaires de l’exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 23 juin 2025, durée 21’33,© FranceFineArt.Communiqué de pressehttps://francefineart.com/2025/06/27/3630_sara_bnf-francois-mitterrand/Commissariat :Corinne Bouquin, Ghislaine Chagrot, Clarisse Gadala chargées de collections en littérature de jeunesse, Centre national de la littérature pour la jeunesse, département Littérature et art, BnFSpécialiste du papier déchiré, l’autrice et illustratrice Sara (1950 – 2023) a signé une oeuvre visuelle forte au fil de la quarantaine d’albums, le plus souvent sans texte, qu’elle a réalisés. En 2022, elle a donné à la Bibliothèque nationale de France un très bel ensemble d’originaux et de documents préparatoires. L’exposition présentée dans la galerie des Donateurs rend hommage à cette grande figure de la littérature pour la jeunesse, en dévoilant une sélection de plus de 80 planches originales et dessins issus de ce don.« Mes images n’illustrent pas, elles sont le texte. Déchirer du papier, c’est un langage. »Entretien avec J. Kotwica pour La revue des livres pour enfants, avril 2026Alors qu’elle est maquettiste dans la presse dans les années 1970, Sara compose chez elle des tableaux de papiers déchirés avec un art consommé de la mise en page et du cadrage. En 1990, elle fait paraître chez Épigones un premier album sans texte, À travers la ville. Par la suite, fidèle à cette technique du papier déchiré qu’elle manie avec une dextérité considérable et qui lui permet de développer un puissant langage pictural, elle publie entre 1990 et 2018 une quarantaine d’albums chez plus de 16 éditeurs différents. Ses oeuvres ont été récompensées et exposées à de multiples reprises.Le donSara a fait don en 2022 au Centre national de la littérature pour la jeunesse à la BnF de 533 originaux et dessins préparatoires correspondant à 21 de ses albums les plus emblématiques, depuis À travers la ville (1990 ) jusqu’à La Traque (2018). Les études utilisent des techniques mixtes, papiers déchirés, dessins au crayon, au feutre, à l’encre, à la gouache et toutes les planches originales sont réalisées selon la technique des papiers déchirés. Ce don inclut À quai, un petit film de 4 minutes réalisé par Sara et Pierre Volto en 2005, présenté dans l’exposition.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    21:33
  • 🔊 “Wolfgang Tillmans” Rien ne nous y préparait Tout nous y préparait au Centre Pompidou, Paris du 13 juin au 22 septembre 2025
    “Wolfgang Tillmans”Rien ne nous y préparaitTout nous y préparaitau Centre Pompidou, Parisdu 13 juin au 22 septembre 2025Entretien avecOlga Frydryszak-Rétat,Matthias Pfaller,Attachés de conservation au cabinet de la photographie, Musée national d’art moderne − Centre Pompidou et commissaires associés de l’exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 17 juin 2025, durée 25’41,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/06/27/3629_wolfgang-tillmans_centre-pompidou/Communiqué de presse CommissariatFlorian Ebner, Conservateur en chef, cabinet de la photographie, Musée national d’art moderne − Centre PompidouCommissaires associésOlga Frydryszak-Rétat, Matthias Pfaller, Attachés de conservation au cabinet de la photographie, Musée national d’art moderne − Centre PompidouDu 13 juin au 22 septembre 2025, le Centre Pompidou donne carte blanche à l’artiste allemand Wolfgang Tillmans qui imagine un projet inédit pour clôturer la programmation du bâtiment parisien. Il investit les 6000 m2 du niveau 2 de la Bibliothèque publique d’information (Bpi) et y opère une transformation de l’espace qui met en dialogue son oeuvre avec la bibliothèque, envisagée à la fois comme architecture et comme lieu de transmission du savoir.L’exposition retrace près de 40 ans de création artistique et embrasse l’ensemble de la pratique de Tillmans. Elle propose une coupe transversale dans son oeuvre photographique, dont l’accrochage ne suit pas une logique chronologique mais s’élabore en dialogue avec l’architecture du lieu. En parallèle, l’artiste y incorpore vidéos, musique, son, ainsi qu’un vaste corpus d’imprimés et d’objets personnels issus de sa propre collection. Jouant avec l’infrastructure de la bibliothèque, il met en lumière les analogies entre son travail et ce lieu particulier de savoir et de diversité sociale. Plus que jamais, Tillmans intervient dans l’espace – un geste caractéristique de ses projets depuis le milieu des années 1990 – transformant les dispositifs existants et imaginant de nouvelles formes de présentation. L’artiste conçoit ainsi une installation globale, qui réinvente la manière dont la photographie est exposée.[...]Le catalogue de l’expositionWolfgang Tillmans Rien ne nous y préparait – Tout nous y préparait, Sous la direction de Florian Ebner et Olga Frydryszak-Rétat – Édition Centre PompidouPublication – Wolfgang Tillmans Textes. Édition française sous la direction de Matthias Pfaller. Édition anglaise originale sous la direction de Roxana Marcoci et Phil Taylor. Édition Centre Pompidou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    25:41

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Generated: 7/15/2025 - 1:41:37 AM