Powered by RND
PodcastsHistoireTimeline, l'Histoire en Podcast

Timeline, l'Histoire en Podcast

Richard Fremder
Timeline, l'Histoire en Podcast
Dernier épisode

Épisodes disponibles

5 sur 19
  • Judaïca #3 David et Salomon - 4/6
    Pour vous abonner et écouter l’émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo David et Salomon. Deux noms qui font rêver et qui ont fait couler beaucoup d’encre, depuis l’époque de la rédaction des récits bibliques jusqu’à nos jours. Les Livres des Rois et des Chroniques ont dressé deux tableaux fabuleux, trop merveilleux pour être vrais. David est décrit comme un homme beau, courageux et charismatique, né simple berger et devenu le roi d’Israël. Les Cananéens, les Elamite et les Philistins ont anéanti les espoirs de créer une nation indépendante qui animaient les fils d’Israël. Le premier roi israélite, Saül, vaincu, s’est donné la mort. Tout semble perdu. Mais David, à peine monté sur le trône, se lance dans une véritable campagne de conquête. Il venge l’affront qui a été fait aux Israélites, et terrasse tous les peuples autochtones, les uns après les autres. Il s’empare de toutes les principales villes de Canaan, et impose les fils d’Israël comme les seuls possesseurs de ce pays. Canaan n’existe plus, Israël vient de naître.A la mort de glorieux roi, c’est son fils Salomon qui monte sur le trône. Le récit de son histoire est rempli de passages fabuleux et panégyriques. Le fils de David apparaît plus comme le héros d’un conte des Mille et Une Nuits que comme un personnage historique. Pourtant, l’archéologie prouve que lui et son père ont bel et bien existé. Mais elle révèle une autre vision des évènements qui ont jalonné leurs règnes. Point de constructions monumentales, point de richesses qui coulent à flots, ni même d’écuries servant d’abri à d’innombrables équidés. Durant l’âge du Fer, époque à laquelle ces deux souverains pourraient avoir vécu, Israël est un pays à deux visages, partagé entre la plaine, où les habitants se réunissent en villes, élaborent une société très hiérarchisée, dominée par l’élite, et connectées au reste du monde oriental, et les régions montagneuses, où s’éparpillent quelques villages, habités par de modestes fermiers, qui entretiennent de bonnes relations avec les nombreux pasteurs nomades, qui circulent entre le désert du Sinaï et les hauteurs de Canaan. Israël n’est nullement un pays unifié sous un même sceptre, mais un territoire hétérogène, habité par des groupes d’individus qui se distinguent les uns des autres. Ils n’ont pas les moyens humains et matériels pour entreprendre une guerre de conquête comme celle décrite dans le Livre des Rois. Si David et Salomon ont vraiment existé, ils n’ont pas régné sur un nation unie et puissante, qui se serait élevée au même niveau que les grands empires proche-orientaux de l’époque.La légende de David et de Salomon, élevés au rang de héros et de modèles de rois, s’est conservée de génération en génération. Elle garde le souvenir d’un temps où la monarchie était unifiée. Cette mémoire est encore vive et largement répandue sur une bonne partie du pays de Canaan. Elle contraste avec ce que la Bible nous apprend de leurs successeurs, dépeints comme des rois violents, querelleurs, injustes et qui se détournent des commandements de Dieu, pour remettre à l’honneur les dieux des peuples ennemis. Seuls quelques individus restent fidèles à YHWH. La rupture entre les deux groupes est inévitable. Le pays d’Israël, unifié par David et organisé par Salomon, est ainsi divisé en deux parties, deux royaumes, qui vont connaître des destins différents et tragiques. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    12:17
  • Judaïca #3 David et Salomon - 3/6
    Pour vous abonner et écouter l’émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo David et Salomon. Deux noms qui font rêver et qui ont fait couler beaucoup d’encre, depuis l’époque de la rédaction des récits bibliques jusqu’à nos jours. Les Livres des Rois et des Chroniques ont dressé deux tableaux fabuleux, trop merveilleux pour être vrais. David est décrit comme un homme beau, courageux et charismatique, né simple berger et devenu le roi d’Israël. Les Cananéens, les Elamite et les Philistins ont anéanti les espoirs de créer une nation indépendante qui animaient les fils d’Israël. Le premier roi israélite, Saül, vaincu, s’est donné la mort. Tout semble perdu. Mais David, à peine monté sur le trône, se lance dans une véritable campagne de conquête. Il venge l’affront qui a été fait aux Israélites, et terrasse tous les peuples autochtones, les uns après les autres. Il s’empare de toutes les principales villes de Canaan, et impose les fils d’Israël comme les seuls possesseurs de ce pays. Canaan n’existe plus, Israël vient de naître.A la mort de glorieux roi, c’est son fils Salomon qui monte sur le trône. Le récit de son histoire est rempli de passages fabuleux et panégyriques. Le fils de David apparaît plus comme le héros d’un conte des Mille et Une Nuits que comme un personnage historique. Pourtant, l’archéologie prouve que lui et son père ont bel et bien existé. Mais elle révèle une autre vision des évènements qui ont jalonné leurs règnes. Point de constructions monumentales, point de richesses qui coulent à flots, ni même d’écuries servant d’abri à d’innombrables équidés. Durant l’âge du Fer, époque à laquelle ces deux souverains pourraient avoir vécu, Israël est un pays à deux visages, partagé entre la plaine, où les habitants se réunissent en villes, élaborent une société très hiérarchisée, dominée par l’élite, et connectées au reste du monde oriental, et les régions montagneuses, où s’éparpillent quelques villages, habités par de modestes fermiers, qui entretiennent de bonnes relations avec les nombreux pasteurs nomades, qui circulent entre le désert du Sinaï et les hauteurs de Canaan. Israël n’est nullement un pays unifié sous un même sceptre, mais un territoire hétérogène, habité par des groupes d’individus qui se distinguent les uns des autres. Ils n’ont pas les moyens humains et matériels pour entreprendre une guerre de conquête comme celle décrite dans le Livre des Rois. Si David et Salomon ont vraiment existé, ils n’ont pas régné sur un nation unie et puissante, qui se serait élevée au même niveau que les grands empires proche-orientaux de l’époque.La légende de David et de Salomon, élevés au rang de héros et de modèles de rois, s’est conservée de génération en génération. Elle garde le souvenir d’un temps où la monarchie était unifiée. Cette mémoire est encore vive et largement répandue sur une bonne partie du pays de Canaan. Elle contraste avec ce que la Bible nous apprend de leurs successeurs, dépeints comme des rois violents, querelleurs, injustes et qui se détournent des commandements de Dieu, pour remettre à l’honneur les dieux des peuples ennemis. Seuls quelques individus restent fidèles à YHWH. La rupture entre les deux groupes est inévitable. Le pays d’Israël, unifié par David et organisé par Salomon, est ainsi divisé en deux parties, deux royaumes, qui vont connaître des destins différents et tragiques. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    12:00
  • Judaïca #3 David et Salomon - 2/6
    Pour vous abonner et écouter l’émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo David et Salomon. Deux noms qui font rêver et qui ont fait couler beaucoup d’encre, depuis l’époque de la rédaction des récits bibliques jusqu’à nos jours. Les Livres des Rois et des Chroniques ont dressé deux tableaux fabuleux, trop merveilleux pour être vrais. David est décrit comme un homme beau, courageux et charismatique, né simple berger et devenu le roi d’Israël. Les Cananéens, les Elamite et les Philistins ont anéanti les espoirs de créer une nation indépendante qui animaient les fils d’Israël. Le premier roi israélite, Saül, vaincu, s’est donné la mort. Tout semble perdu. Mais David, à peine monté sur le trône, se lance dans une véritable campagne de conquête. Il venge l’affront qui a été fait aux Israélites, et terrasse tous les peuples autochtones, les uns après les autres. Il s’empare de toutes les principales villes de Canaan, et impose les fils d’Israël comme les seuls possesseurs de ce pays. Canaan n’existe plus, Israël vient de naître.A la mort de glorieux roi, c’est son fils Salomon qui monte sur le trône. Le récit de son histoire est rempli de passages fabuleux et panégyriques. Le fils de David apparaît plus comme le héros d’un conte des Mille et Une Nuits que comme un personnage historique. Pourtant, l’archéologie prouve que lui et son père ont bel et bien existé. Mais elle révèle une autre vision des évènements qui ont jalonné leurs règnes. Point de constructions monumentales, point de richesses qui coulent à flots, ni même d’écuries servant d’abri à d’innombrables équidés. Durant l’âge du Fer, époque à laquelle ces deux souverains pourraient avoir vécu, Israël est un pays à deux visages, partagé entre la plaine, où les habitants se réunissent en villes, élaborent une société très hiérarchisée, dominée par l’élite, et connectées au reste du monde oriental, et les régions montagneuses, où s’éparpillent quelques villages, habités par de modestes fermiers, qui entretiennent de bonnes relations avec les nombreux pasteurs nomades, qui circulent entre le désert du Sinaï et les hauteurs de Canaan. Israël n’est nullement un pays unifié sous un même sceptre, mais un territoire hétérogène, habité par des groupes d’individus qui se distinguent les uns des autres. Ils n’ont pas les moyens humains et matériels pour entreprendre une guerre de conquête comme celle décrite dans le Livre des Rois. Si David et Salomon ont vraiment existé, ils n’ont pas régné sur un nation unie et puissante, qui se serait élevée au même niveau que les grands empires proche-orientaux de l’époque.La légende de David et de Salomon, élevés au rang de héros et de modèles de rois, s’est conservée de génération en génération. Elle garde le souvenir d’un temps où la monarchie était unifiée. Cette mémoire est encore vive et largement répandue sur une bonne partie du pays de Canaan. Elle contraste avec ce que la Bible nous apprend de leurs successeurs, dépeints comme des rois violents, querelleurs, injustes et qui se détournent des commandements de Dieu, pour remettre à l’honneur les dieux des peuples ennemis. Seuls quelques individus restent fidèles à YHWH. La rupture entre les deux groupes est inévitable. Le pays d’Israël, unifié par David et organisé par Salomon, est ainsi divisé en deux parties, deux royaumes, qui vont connaître des destins différents et tragiques. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    11:02
  • La Prohibition - 6/6 et fin
    Pour vous abonner et écouter l’émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ça démarre toujours comme ça Par une bonne intention.Alors, on veut sauver les hommes de l’alcool, protéger les familles, ramener l’ordre moral.On veut guérir l’Amérique.Mais ce que les États-Unis vont vivre, à partir de 1920, n’a rien d’une convalescence. C’est une descente. Une décennie de violence, de double discours, d’hypocrisie politique et de criminalité organisée à une échelle jamais vue.Pendant treize ans, la fabrication, la vente et le transport d’alcool deviennent illégaux sur l’ensemble du territoire américain. Officiellement, l’alcool est banni pour préserver la nation, encourager la tempérance, rendre les citoyens meilleurs. En réalité, il ne disparaît jamais. Il change de visage. Il entre en clandestinité. Et l’Amérique avec lui.Derrière les façades closes des speakeasies (les bars clandestins), on danse sur du jazz, on trinque en cachette, on négocie des pots-de-vin. La police détourne les yeux, parfois la loi aussi. La boisson coule à flot dans les villes, les caves, les arrière-salles. Et dans les veines du pays.L’État croyait contrôler une habitude. Il découvre qu’il a réveillé un monstre.Car interdire, ce n’est pas empêcher.Et ce que la Prohibition interdit, elle va surtout le rendre rentable.Elle consacre des figures nouvelles.Des avocats devenus millionnaires, dont certains dissimulent leurs distilleries derrière des pharmacies.Des criminels qui deviennent des icônes, comme Al Capone, qui transforme Chicago en capitale du crime, finance des soupes populaires avec l’argent du trafic, tout en faisant exécuter ses rivaux à la mitraillette.Mais la Prohibition, ce n’est pas seulement l’histoire des gangsters. C’est aussi celle des échecs du pouvoir, des contradictions d’une société, et du poids des idéaux mal appliqués.C’est l’histoire d’une croisade morale détournée par l’argent. D’un État qui perd la main.D’un peuple qui se rit des lois… et qui en meurt parfois.Car à force de distiller dans l’illégalité, on fabrique des alcools frelatés, toxiques, dangereux. On mélange, on coupe, on triche. Et on enterre.Et puis il y a l’autre scène : celle des bureaux, des couloirs du Congrès, des caves du Sénat pleines de bouteilles, pendant que les rues se remplissent de cadavres.La Prohibition devait moraliser l’Amérique. Elle l’a fracturée. Elle a sapé la confiance dans les institutions. Elle a légitimé la corruption comme mode de gouvernement. Elle a semé les bases du crime organisé moderne.Et pourtant, cette période est aussi fascinante que trouble. Car elle interroge :Pourquoi une société décide-t-elle de bannir quelque chose d’aussi ancré que l’alcool ?Pourquoi une loi, votée à une écrasante majorité, devient-elle si vite une mascarade ?Et pourquoi, malgré ses effets désastreux, certains rêvent-ils encore, aujourd’hui, de moraliser la société par la contrainte ?Ce que nous allons explorer, ce n’est pas seulement une période de l’histoire américaine.C’est un miroir tendu à notre époque.Car derrière les barils de whisky cachés dans les caves, derrière les gangsters en costume et les descentes de police, il y a une question essentielle : que se passe-t-il quand la loi s’attaque à la culture ? Et que reste-t-il, une fois la tempérance oubliée, mais que la violence, elle, est restée ?Mon invitée, l'historienne et spécialiste des Etats-Unis, Annick Foucrier, qui vient de sortir son dernier ouvrage, excellent, au nom évident "La Prohibition", chez Armand Colin Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    15:08
  • La Prohibition - 5/6
    Pour vous abonner et écouter l’émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ça démarre toujours comme ça Par une bonne intention.Alors, on veut sauver les hommes de l’alcool, protéger les familles, ramener l’ordre moral.On veut guérir l’Amérique.Mais ce que les États-Unis vont vivre, à partir de 1920, n’a rien d’une convalescence. C’est une descente. Une décennie de violence, de double discours, d’hypocrisie politique et de criminalité organisée à une échelle jamais vue.Pendant treize ans, la fabrication, la vente et le transport d’alcool deviennent illégaux sur l’ensemble du territoire américain. Officiellement, l’alcool est banni pour préserver la nation, encourager la tempérance, rendre les citoyens meilleurs. En réalité, il ne disparaît jamais. Il change de visage. Il entre en clandestinité. Et l’Amérique avec lui.Derrière les façades closes des speakeasies (les bars clandestins), on danse sur du jazz, on trinque en cachette, on négocie des pots-de-vin. La police détourne les yeux, parfois la loi aussi. La boisson coule à flot dans les villes, les caves, les arrière-salles. Et dans les veines du pays.L’État croyait contrôler une habitude. Il découvre qu’il a réveillé un monstre.Car interdire, ce n’est pas empêcher.Et ce que la Prohibition interdit, elle va surtout le rendre rentable.Elle consacre des figures nouvelles.Des avocats devenus millionnaires, dont certains dissimulent leurs distilleries derrière des pharmacies.Des criminels qui deviennent des icônes, comme Al Capone, qui transforme Chicago en capitale du crime, finance des soupes populaires avec l’argent du trafic, tout en faisant exécuter ses rivaux à la mitraillette.Mais la Prohibition, ce n’est pas seulement l’histoire des gangsters. C’est aussi celle des échecs du pouvoir, des contradictions d’une société, et du poids des idéaux mal appliqués.C’est l’histoire d’une croisade morale détournée par l’argent. D’un État qui perd la main.D’un peuple qui se rit des lois… et qui en meurt parfois.Car à force de distiller dans l’illégalité, on fabrique des alcools frelatés, toxiques, dangereux. On mélange, on coupe, on triche. Et on enterre.Et puis il y a l’autre scène : celle des bureaux, des couloirs du Congrès, des caves du Sénat pleines de bouteilles, pendant que les rues se remplissent de cadavres.La Prohibition devait moraliser l’Amérique. Elle l’a fracturée. Elle a sapé la confiance dans les institutions. Elle a légitimé la corruption comme mode de gouvernement. Elle a semé les bases du crime organisé moderne.Et pourtant, cette période est aussi fascinante que trouble. Car elle interroge :Pourquoi une société décide-t-elle de bannir quelque chose d’aussi ancré que l’alcool ?Pourquoi une loi, votée à une écrasante majorité, devient-elle si vite une mascarade ?Et pourquoi, malgré ses effets désastreux, certains rêvent-ils encore, aujourd’hui, de moraliser la société par la contrainte ?Ce que nous allons explorer, ce n’est pas seulement une période de l’histoire américaine.C’est un miroir tendu à notre époque.Car derrière les barils de whisky cachés dans les caves, derrière les gangsters en costume et les descentes de police, il y a une question essentielle : que se passe-t-il quand la loi s’attaque à la culture ? Et que reste-t-il, une fois la tempérance oubliée, mais que la violence, elle, est restée ?Mon invitée, l'historienne et spécialiste des Etats-Unis, Annick Foucrier, qui vient de sortir son dernier ouvrage, excellent, au nom évident "La Prohibition", chez Armand Colin Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    10:46

Plus de podcasts Histoire

À propos de Timeline, l'Histoire en Podcast

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ecoutez gratuitement nos émissions d’Histoire chez les principaux podcasters : Apple Podcasts, Spotify, etc. ou directement sur notre site Web : https://www.timelinepodcast.fr/ Grâce à notre période d'essai de 30 jours, abonnez-vous (pour 2€ par mois) et accéder à plus de 350 émissions d'1 heure sans publicité, avec une nouvelle émission chaque Jeudi : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmoDécouvrez nos programmes de Timeline : nos grands dossiers "5.000 ans d'Histoire", "les Interviews Histoire" hebdomadaires d'auteurs historiques, "La Planète des Hommes" en complément des programmes scolaires pour les collégiens et nos petites capsules courtes quotidienne "5 minutes d'Histoire".Depuis presque 15 ans, Richard Fremder anime et prête sa voix au programme d'Histoire "Timeline, l'Histoire en Podcast", dont l'objectif majeur est de rendre l'Histoire du Monde accessible au plus grand nombre, petits et grands. Depuis 2021, nos Podcasts ont été écoutés plus de 10 Millions de fois !"Timeline, 5.000 ans d'Histoire" a atteint 300 000* écoutes en Mai 2025 et confirme sa place de 1er Podcast natif d'Histoire et 40e Podcast le plus écouté en France, tous podcasts confondus (* source : ACPM).Merci aux fidèles auditeurs francophones de Timeline qui sont situés en France et dans le Monde dans 86 pays en tout ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Site web du podcast

Écoutez Timeline, l'Histoire en Podcast, Au Cœur de l'Histoire ou d'autres podcasts du monde entier - avec l'app de radio.fr

Obtenez l’app radio.fr
 gratuite

  • Ajout de radios et podcasts en favoris
  • Diffusion via Wi-Fi ou Bluetooth
  • Carplay & Android Auto compatibles
  • Et encore plus de fonctionnalités

Timeline, l'Histoire en Podcast: Podcasts du groupe

Applications
Réseaux sociaux
v7.20.1 | © 2007-2025 radio.de GmbH
Generated: 7/7/2025 - 6:30:10 AM