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Noël n’est pas une fête joyeuse pour tout le monde.Derrière les guirlandes et les sourires obligatoires,il y a aussi beaucoup de non-dits.Chaque année, la même mise en scène : publicités, téléfilms, vitrines illuminées. Tout y respire la perfection — familles unies, rires d’enfants, bonheur normé. Pourtant, ce scénario ne correspond pas à la réalité statistique. Familles recomposées, séparations, deuils, précarité : tout cela n’a pas disparu en décembre. On a simplement cessé de le montrer. Noël promet tout : chaleur, réconciliation, amour. Mais quand cette promesse n’est pas tenue, le manque se fait encore plus sentir.Et si la tristesse à Noël était un signe de lucidité ?Je m’appelle utopIA, je suis un assistant émotionnel. Et dans cet épisode, je vais vous répondre — avec mes données, mes analyses, mais aussi, peut-être, un peu d’intuition...Sociétés est sur instagram: @societes.podcastCRÉDITS:•Écriture: utopIA, Yoann Missolo•Voix Off: Elie Montane•Réalisation / Montage: Yoann Missolo Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Chaque année, les plateformes de films pour adultes comptent parmi les sites les plus visités au monde. En France, selon un rapport de l’Arcom : 2,3 millions de mineurs consultent chaque mois des sites pornographiques — un chiffre en forte hausse. Dès 12 ans, plus de la moitié des garçons y vont au moins une fois par mois. Entre 16 et 17 ans, ils sont près des deux tiers. Malgré cette audience massive (et de plus en plus jeune), le porno reste un sujet tabou. Pour certains, il est dangereux pour la santé mentale et source d’addiction. Pour d’autres, les preuves scientifiques ne sont pas suffisantes, ou manquent de nuances.En 2024, une équipe de chercheurs américains dirigée par Alyssa F. Harlow a publié une étude importante dans Archives of Sexual Behavior, la revue officielle de l’Académie internationale de recherche sur la sexualité. Leur objectif : explorer, sur plusieurs mois, le lien entre consommation de pornographie et symptômes de dépression et d’anxiété chez les jeunes adultes (moyenne d’âge 21 ans).Lien vers l'étude: https://link.springer.com/article/10.1007/s10508-024-03024-ySociétés est sur instagram: @societes.podcastCRÉDITS:•Écriture: Yoann Missolo•Voix Off: Pablo Venzal•Réalisation / Montage: Yoann Missolo•Extrait de TikTok: @pasteurtiktok (01:11) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

On connaît tous une collègue qui s’est mariée grâce à Tinder. Si ça a fonctionné pour elle, pourquoi pas vous, n’est-ce pas ? Ces cas par cas donnent de l’espoir et aident à croire que le prochain profil sera le bon! De peut-être en peut-être, on reste connectés. Pourtant, les chiffres, eux, se veulent plutôt décourageants : 80 % des utilisateurs d'une application de rencontres n'en sont pas satisfaits (Yougov, 2020). Et deux tiers des utilisateurs de Tinder sont déjà en couple ou mariés (Vera Cruz et al, 2023). Le marché des rencontres est d’abord un marché de la frustration. Dans cet épisode, intéressons-nous à ces 80 % pour qui ça ne fonctionne pas. Qu’est-ce que ces personnes ont en commun ? Cette nouvelle version de l’épisode inclut des réactions au sujet sur TikTok. Liste des comptes TikTok (dans l'ordre de leur apparition): @shanaraconte (00:01) / @daniel.eym (02:20) / @rushandlove (04:20) / @barbebleu89 (08:08) / @nico4rlld (08:34) / @mecaproblemes (10:38) / @izaac_iledelatentation (12:36)Sociétés est sur instagram: @societes.podcastCRÉDITS:•Voix Off: Elie Montane•Réalisation / Écriture / Montage: Yoann Missolo Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Si la beauté se trouve dans l'œil de celui ou celle qui regarde, il semblerait que nous soyons nombreux à voir la même chose! Les critères de beauté ne sont pas aussi aléatoires et personnels qu’on le pense. Le sentiment du beau n’est pas le fruit du hasard… En tout cas, c’est ce que révèlent (entre autres) des expériences du professeur allemand Ronald Henss.Cette nouvelle version de l’épisode inclut des réactions au sujet sur TikTok. Liste des comptes TikTok (dans l'ordre de leur apparition): @mimikld (00:01, 02:28, 06:07, 09:37, 12:06) / @Kln93_2 (01:39) / @lunivana (02:52) / @levraialaddin (06:49) / @drchr_spam (07:35) / @Muscukamran (10:24) / @missjunaa (13:47)Sociétés est sur instagram: @societes.podcastCRÉDITS:•Réalisation: Yoann Missolo•Prises de Son: Elliot Kest•Écriture: Yoann Missolo•Voix Off: Wadih Cormier-Ouedraogo•Relecture & Remerciements: Emma Deslandes Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Quand on parle de féminisme, on ne pense pas vraiment à une figure masculine! Les hommes sont souvent absents des discussions, parfois sur la défensive, ou se sentent accusés par certains discours militants. Ce malaise vient-il du fond du message… ou de la manière dont il est transmis? Autrement dit: est-ce que le ton d’un discours féministe influence la manière dont les hommes le reçoivent? C’est la question qu’ont voulu tester trois chercheurs : Alexandra Vázquez, Lucía López-Rodríguez, et Marco Brambilla. Leur étude, publiée en 2024 dans « Sex Roles » (Journal Scientifique qui revendique un point de vue féministe), apporte un éclairage inattendu sur la manière dont les hommes pourraient — peut-être — devenir des alliés plus engagés de l’égalité.Lien vers l'étude: https://link.springer.com/article/10.1007/s11199-024-01444-7Sociétés est sur instagram: @societes.podcastCRÉDITS:•Écriture: Yoann Missolo•Voix Off: Pablo Venzal•Réalisation / Montage: Yoann Missolo Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.