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  • L’Identité // Pierre Guenancia, Paul Audi, Judith Revel, Marie Garrau, Raphael Zagury-Orly
    CONVERSATIONRaphael Zagury-Orly, philosophe, membre fondateur, Avec : Pierre Guenancia, PhilosophePaul Audi, PhilosopheJudith Revel, Philosophe Marie Garrau, PhilosopheComme sur certains flacons de substances chimiques, sur le mot «Identité» est collée une étiquette: «Attention danger – Manier avec précaution». Jamais en effet une notion n’a été aussi apte à enflammer soudainement les esprits et provoquer non des prises-de-bec mais de véritables affrontements. Pourtant elle ne semble pas, de prime abord, toxique. L’identité, c’est tout ce qui rend une entité définissable et reconnaissable, au sens où elle possède un ensemble de qualités ou de caractéristiques qui la distingue d’autres entités. En d’autres termes, l’identité est ce qui rend deux choses une seule chose, «identiques» donc, ou bien les rend différentes. Dans les sciences sociales ou ethno-anthropologiques, le concept d’identité se relie, d’une part, à la façon dont un individu se considère et se construit lui-même en tant que membre de tel ou tel groupe social, nation, classe, religion, ethnie, genre, profession, etc., et, d’autre part, à la manière dont les normes qui régissent ces groupes lui permettent de se penser, se situer, se lier aux autres, aux groupes auxquels il appartient, et, par des voies parfois plus tortueuses, aux groupes «extérieurs», perçus comme altérité. Alors pourquoi est-il si sulfureux? Eh bien parce qu’on le saisit selon des modalités politiques différentes, des idéologies ou des «conceptions du monde» différentes.(...)En algèbre, notamment, elle sera l’égalité entre deux expressions qui se révèle valide quelles que soient les valeurs prises par les variables qui y apparaissent, par exemple: (x + y)2 = x 2 + y 2 + 2xy. En psychologie, l’identité est une des caractéristiques formelles du Moi, qui sent sa propre mêmeté et sa continuité dans le temps comme centre du champ de sa conscience, autrement dit le sens et la conscience de soi comme entité distincte et continue (qui peuvent se perdre dans certains troubles psychiatriques). Et ainsi de suite… L’identité est devenue une notion brûlante lorsqu’en sciences sociales on a commencé à parler d’identité collective, devant, entre autres, la réémergence de conflits ethniques dans maintes sociétés occidentales, entre les années 60 et 70, et l’apparition sur la scène sociale de mouvements dont la base était moins la classe sociale, comme le pronait le marxisme, que par exemple des différences générationnelles ou sexuelles, et qui exigeaient d’autres approches à la fois des logiques de l’action commune et des nouveaux liens d’appartenance. Les premières oppositions apparaissent alors: dans un camp, on entend l’identité collective comme quelque chose d’immuable, de «naturel», d’éternel, que l’on solidifie par l’édification de mythes et de symboles communs, des rites de célébration et des commémorations, de l’autre on la conçoit comme élaboration culturelle, contingente, comme construction historique, sujette au changement, à la «ré-formulation». Or, si l’identité renvoie à une «completude», à une «pureté» interne, elle impliquera le retrait, la protection, la méfiance, les frontières et les murs, l’éloignement et la mise à l’écart de toute altérité, de toute différence, la célébration du soi et la malédiction de tous les autres, les « ennemis », vécus comme menace mortifère, et dont l’intégration désintégrerait la communauté d’identiques. Mais si l’identité n’est ni «naturelle», ni substantielle, mais relationnelle, si elle a une matrice allogène, si elle est faite d’apports, d’intégrations, d’inclusions, de contributions souvent imprévisibles, d’hybridations, alors elle laissera le groupe, la communauté et la société toujours ouvertes, accueillantes, dynamisées par la présence des uns et des autres, aussi différents soient-ils.Robert Maggiori Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:47:27
  • La zizanie – Dialogues, clivages et conflits // Sylvaine Bulle, Hélène L’Heuillet, Rudy Reichstadt, Raphael Zagury-Orly
    CONVERSATIONRaphael Zagury-Orly, philosophe, membre fondateur, Avec : Sylvaine Bulle, sociologue, Hélène L’Heuillet, philosophe et psychanalyste et Rudy Reichstadt, politologue, écrivain et journaliste.Le mot zizanie, y compris dans sa sonorité, a quelque chose de léger, d’enfantin, de drolatique: on ne l’attend pas lorsqu’on songe à la gravité des conflits qui agitent le monde d’aujourd’hui, aux crises, aux contestations violentes, aux meurtrières rivalités de clans, aux actes de barbarie, aux attaques terroristes, aux arasements de villes, aux bombardements et à la guerre de tranchée… Il évoque plutôt la bisbille, la brouille, la querelle. Les céréaliers ne l’entendent pas ainsi, car le nom est celui d’une plante – une graminée, du genre lolium, «enivrante» (Lolium temulentum) et envahissante comme le raygrass ou l’ivraie – qui a le pouvoir d’infester les champs de blé et, jadis, de ruiner les récoltes. Elle est un diable au fond, qui veut priver les bonnes gens de leur pain. Le paysan sème de bons grains dans son champ, mais un bougre, son ennemi, durant la nuit, y plante la zizanie. La grain mûrit, mais la mauvaise herbe aussi: comment arracher l’une sans déraciner l’autre? Il faut les laisser pousser ensemble: à la moisson seulement on arrachera la zizanie, la liera en gerbes, la brulera, et en emplira le grenier du bon blé. C’est cette parabole évangélique (Mathieu, 13, 24-30) qui va rendre la zizanie/ivraie célèbre, si on peut dire – en faire l’emblème du mal, si mêlé au bien qu’il en rend difficile la connaissance et l’exercice.Aujourd’hui ce n’est pas dans les champs de blé qu’est semée la zizanie, mais – sous forme de pommes de discorde, de motifs d’affrontements, de tensions, de dissensions, d’invectives haineuses… – dans le corps social et dans l’esprit du plus grand nombre. Aussi ne s’agira-t-il pas d’analyser les causes et les conséquences des conflits armés qui ensanglantent le monde, et l’Europe en particulier, mais de réfléchir à cette lèpre particulière qui a empoisonné les rapports entre les personnes, rendu les sociétés qu’on disait «liquides» plus dures, nerveuses, colériques, prêtes à exploser, transformé le dialogue social en bruit continu, en cacophonie où seuls se distinguent les sons les plus aigus, les vociférations, les mots d’ordre les plus radicaux et simplistes, les appels les plus haineux, les arguments les plus absurdes, les anathèmes, les expressions de croyances et d’avis les plus invraisemblables… (...) Qu’est un dialogue en effet, sinon la tentative de pousser la pensée, par reprises successives, à aller au plus près du réel, et donc d’approcher une vérité à travers (dia) la confrontation raisonnée, raisonnable, rationnelle des idées ou des théories – et établir un accord, une concorde? Or, si la vérité est «optionnelle», si le sophisme la vaut, si l’erreur, la fredaine, la bévue l’équivalent, si la fausse nouvelle est plus efficace et «impactante» que la vraie, tout pourra être ramené à un «avis», toute science sera opinion, toute statistique un «montage», tout raisonnement une entourloupe, tout accord un calcul, tout consensus un piège – bref, rien ne sera déligitimable, aucune propagande, aucune pression, aucune méthode d’«influence», aucun tour de passe-passe, aucune mystification, aucune âneries, aucun coup – abus de faiblesse, coups de poing et coups de batte – aucune prévarication, aucune violence, aucun harcèlement. A tel point que nul ne sait plus «quoi penser», qu’on n’ose plus «intervenir dans la conversation», craignant les tombereaux d’injures qui vont arriver quels que soient les propos tenus, qu’on se retire, muet, dans une sorte de désarroi – la maladie qui apparaît lorsqu’on ne sait plus «faire société».Robert Maggiori© Les Rencontres Philosophiques de Monaco Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:43:46
  • Amour, désir et sexualité // Emma Becker, Fabienne Brugère, Samuel Dock, Robert Maggiori
    CONVERSATIONPrésentée par Robert Maggiori, philosophe, membre fondateurAvec : Emma Becker, écrivaineFabienne Brugère, philosophe et critique d'artSamuel Dock, psychologue clinicien et écrivainUn amour-passion, intense et brûlant, croissant de jour en jour, un désir toujours renouvelé, qui se retire un temps et revient plus puissant comme vague à marée montante, une sexualité épanouie, débridée et sans tabous, porteuse assidue de plaisirs et de jouissances inouïes… Associés, il rendraient tout le reste inessentiel, feraient de la vie un long fleuve joyeux. Mais le sont-ils vraiment? Il est rare que l’amour soit sans désir, mais il peut être sans sexualité, il est philia, il est agapé, il est caritas et ne s’engage pas forcément sur le chemin que lui ouvre eros. Le désir – dont on sait que l’origine signifie «cesser de contempler les astres», c’est-à-dire prendre acte de l’absence – meut l’amour et pousse au sexe, mais tout aussi bien au voyage, au travail, au sport, à la lecture, à la bonne chère et au bon vin, au travail même, comme à l’envie de ne rien faire. Quant à la sexualité, elle peut être sans amour, et même, mécanique, routinière, automatique, sans désir. Mais il est difficile de le reconnaître: tu ne m’aimes plus, dit-on – pour dire «tu n’as plus envie de moi», ou l’inverse, comme si aimer, désirer et jouir étaient synonymes. Le désir a tellement d’objets – tous manqués, sinon le désir cesserait de désirer – qu’il en devient tyrannique. L’amour tellement de formes qu’on n’en reconnaît plus aucune, sinon celle qui de toutes est l’invisible sous-bassement, et qui assurément les vicie: l’amour de soi, la philautie, ou pire encore, l’amour non de l’autre mais de l’amour lui-même. La sexualité est tellement ancrée dans les viscères du corps et les zones impénétrables de l’imaginaire et du fantasme qu’elle en devient «intransmissible», pas même capable d’établir un «rapport sexuel», lequel, comme disait Lacan, n’existe pas, puisque les êtres humains demeurent, sur la plan de la jouissance sexuelle, «en exil», sans produire de partage, sans jamais faire Un avec l’Autre, le corps ne pouvant «se jouir» que comme Un sans l’Autre, auto-érotiquement. Aussi vouloir marier amour, désir et sexualité relève-t-il du rêve, de la tentative de construire des châteaux en Espagne avec des briques défectueuses et du ciment friable. Vision catastrophiste, qui est peu ou prou celle de chacun(e), mais qui n’empêche personne de tenter l’aventure, de vouloir aimer (bien que l’amour échappe à la volonté et arrive sans que nul ne l’ait décidé), de continuer à désirer (bien qu’aucun désir ne soit jamais satisfait, sinon il mourrait) et de chercher à jouir (bien que la jouissance sexuelle soit le sceau de l’impossibilité d’être «avec» autrui).Mais on a beau dire que l’amour torture, que le désir enchaîne, que le sexe divise, rien n’y fait: chaque femme, chaque homme sait que les maux qu’il procurent font les chants les plus beaux, que sans amour, sans désir, sans plaisir l’existence serait un sombre tunnel d’où nul ne se sentirait capable de sortir – sauf ceux et celles qui aiment justement, capables de déplacer les montagnes, de creuser la terre à mains nues ou de voler comme les oiseaux.Robert Maggiori© Les Rencontres Philosophiques de Monaco Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:36:05
  • La sécurité // Monique Canto-Sperber, Thierry Balzacq, Laurence Joseph, Raphael Zagury-Orly
    CONVERSATIONPrésentée par Raphael Zagury-Orly, philosophe, membre fondateurAvec : Monique Canto-Sperber, philosopheThierry Balzacq, politologueLaurence Joseph, psychologue et psychanalysteLa sécurité n’a pas l’éclat de la liberté – ni de l’égalité, ni de la fraternité/sororité. Elle semble être une vertu du retrait, de l’abri, quand les autres sont d’ouverture et d’élan. Par sécurité, on peut entendre cette condition qui permet qu’on soit ou se sente protégé des dangers et des risques, ou bien qui donne la possibilité de prévenir, d’éliminer ou de rendre moins graves les dommages, les difficultés, les événements déplaisants, contrariants, fâcheux, néfastes. Dans l’empire romain, Securitas était la déesse garante de la sécurité publique et privée: elle était représentée sur les monnaies entourée de quatre attributs, le trône (hégémonie de Rome), la lance (combat contre les ennemis), la corne (prospérité) et la feuille de palmier (offrande de paix), et appuyée sur une colonne, dans une posture censée symboliser le calme et la «force tranquille». Mais le mot même de securitas est curieux, puisque, composé de sine (sans) et de cura (soin), il semble renvoyer à un sens contraire à celui qu’évoque la sécurité, qui n’est en effet pas entendue comme absence de soin, de prévenance ou d’attention. Aussi, comme le suggère Tacite dans ses Historiae, faudrait-il y voir quelque chose d’ «inhumain» (inhumana securitas), au sens où l’ absence de soin, d’attention, serait en réalité une absence de souci, une coupable indifférence devant le déploiement de la violence (la guerre civile à Rome en 69), sinon une certaine cécité à distinguer le bien du mal ou un carence totale du sens de la responsabilité – facteurs qui, unis, laissent prospérer… l’insécurité et les risques de danger. Bi-face, la securitas «laisse faire» et «soigne», autrement dit cherche à neutraliser tant les éléments de trouble, les exactions et les conflits que l’ «irresponsabilité» qui les rend efficients: c’est ce dernier sens qui a prévalu, et qui a fait que securitas rencontre libertas.(...)Le lien complexe entre liberté et sécurité apparaît dans tout le constitutionnalisme moderne, sous diverses variantes. La première Constitution nord-américaine (Virginie, 1776) garantit la sécurité en vue de quelque chose d’encore plus désirable que la liberté: le bonheur – alors que la Déclaration française des droits de l’homme et du citoyen de 1789 proclame que le but de toute association politique est la préservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme, à savoir la liberté, la propriété, la sécurité et la résistance à l’oppression – ce par rapport à quoi la déclaration thermidorienne de 1795 apparaît davantage de «gauche», qui juge que la sécurité « résulte du concours de tous pour assurer les droits de chacun ». Assurer la sécurité, autrement dit, n’est pas léser la liberté, mais la rendre possible, de façon certes plus malaisée que celle qui permet à l’insécurité de la rendre difficile. Mais quelles limites peuvent être mises entre la sécurité et le «tout-sécuritaire», entre la légitime protection et l’obsession «panoptique» du contrôle qui saisit un Etat à l’advenue de «situations-limites», telles des pandémies ou des attaques terroristes ?Robert Maggiori Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:33:01
  • La réputation // Margot Déage, Maud Ventura, Gloria Origgi, Robert Maggiori
    CONVERSATIONPrésentée par Robert MaggioriAvec : Margot Déage, SociologueMaud Ventura, Écrivaine Gloria Origgi, philosopheDe même que l’on parle et devient sujet en recevant la langue des autres, de même ce que l’on est et ce que l’on pense dépend, en grande partie – du moins originairement – de ce que les autres pensent et pensent que je suis. Aussi le matamore ou l’olibrius qui affirmerait ne tenir aucun compte de ce qu’autrui pense de lui serait-il peu crédible. Chacun sait qu’un seul mot venant d’un proche, voire d’un inconnu, peut aussi bien redonner courage et vie que blesser mortellement l’âme. De ce que l’on dit (fari) ou pense (putare) de nous, naissent soit la fama (laquelle, avant d’être «gloire» ou «célébrité» est d’abord une nouvelle, souvent incontrôlée, qui se diffuse rapidement et largement), soit la réputation, faite des opinions, des jugements, des façons, positives ou négatives, dont on est «estimé» ou «considéré» par autrui. Il serait hasardeux d’estimer que la réputation relève moins de ce que l’on est que de ce qu’on a fait, publiquement. Répondant assez mal à la volonté, aléatoire et peu susceptible d’être contrôlée, elle ne se réduit cependant pas à une simple «extension» du moi, pas plus que l’habit ne fait le moine. Elle est une forme de présence d’autrui et de la société en moi, dont je ne puis (ni ne veux souvent) me départir et qui, un peu comme un accent dans la façon de parler, m’annonce, me précède («elle arriva pour un concert à Paris précédée d’une réputation sulfureuse…»), me préfigure, me porte… C’est pourquoi, comme à l’honneur autrefois, l’atteinte à la réputation écorche non l’apparence mais la personne elle-même. Certes, on peut rester coi, vivre heureux en vivant caché, mais si l’on a recherché une «visibilité», la renommée ou la célébrité, et qu’on les a gagnées par son travail, ses talents, ses exploits, son art, alors leur amenuisement ou leur volatilisation seront vécues comme une sorte de mutilation, qu’accompagne la souffrance du «retour à l’anonymat». C’était le cas, jadis, de certaines figures du sport ou du spectacle, dont plus personne ne retrouve les noms ni ne sait qu’elles eurent à une époque une immense popularité.La révolution numérique, les réseaux sociaux, la communication instantanée et généralisée ont modifié les choses. La réputation n’est plus attachée à une notoriété acquise par ses œuvres (peu importe leur nature: cinématographiques, architecturales, culinaires, sportives, artistiques, littéraires, graphiques….) mais peut naître en quelques secondes d’un tweet, d’une story, une image ou une vidéo qui «font le tour du monde». Plus encore: elle est liée à la simple «activité», souvent ludique, à laquelle chacun(e) se livre sur les réseaux sociaux et qui, volens nolens, suscitent une e-reputation, tantôt durable, le plus souvent éphémère, mais, du fait qu’à sa formation contribuent de parfaits inconnus, totalement incontrôlable et à la merci de tous. (...) Il suffit d’un message, repris et relayé avec une incompréhensible et ignoble gourmandise – un ragot, un persiflage, une calomnie, une allégation gratuite… – pour ruiner une réputation, ou plutôt l’inverser en «mauvaise réputation», sceau infâme imprimé non sur les «habits» de la victime mais sa peau même. Que s’est-il passé dans la société pour que naisse à si grande échelle le désir de dénigrement, de diffamation. Si « l’ homme est un loup pour l’homme », la guerre, on le sait est de tous contre tous. Mais qu’advient-il s’il se mue en corbeau, postant, la nuit, dans des réseaux asociaux, messages et lettres de délation?Robert Maggiori Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:33:47

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Les Rencontres Philosophiques de Monaco ont l'ambition de créer un "lieu" inédit donnant l'hospitalité aux penseurs français et étrangers qui aujourd'hui la nourrissent de leurs recherches, et accueillant le public le plus large, à qui la philosophie apporte les outils de réflexion nécessaires pour comprendre le monde, la société, les autres et soi-même. Chaque conférence est disponible en podcast avec Philomonaco. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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