Developer Experience

Si vous avez travaillé dans la tech au moment où le Big Data était en pleine hype, vous vous souvenez sûrement de cette période où tout le monde voulait "faire du Hadoop" ou monter des clusters Spark.Aujourd’hui, les choses ont changé.Comme le dit Stéphanie Bergamo, "On n'en parle plus beaucoup parce que tout le monde n’en a pas besoin. Mais ce n’est pas tombé en désuétude pour autant !".Le Big Data reste un pilier essentiel pour les entreprises qui manipulent des volumes massifs de données transactionnelles. Cependant, ce type de technologie doit répondre à un besoin précis, sans quoi elle devient un poids inutile en termes de complexité et de coûts.Stéphanie nous partage aujourd'hui son expérience de transition vers des architectures Big Data, ses apprentissages sur la volumétrie et le calcul distribué, et pourquoi elle préconise aujourd’hui une approche pragmatique pour les entreprises qui n’ont pas ces besoins spécifiques.Elle nous partage également son parcours et raconte comment elle a relevé ces défis techniques tout en se confrontant à ses propres doutes. Elle avoue : "Les premiers mois, je me disais : ils vont bien se rendre compte que je suis pas légitime." Mais elle a persévéré, posé (d'innombrables) questions et appris sur le tas.Dans nos échanges, on a également parlé de :➡️ Ses techniques pour apprendre à coder en production avec peu d’expérience préalable ;➡️ Les erreurs et succès qui ont marqué son passage au Big Data ;➡️ Comment elle a construit un environnement d’apprentissage stimulant grâce à son équipe.Si vous avez envie de progresser dans des environnements techniques exigeants, cet épisode est pour vous !PS : Cet épisode vous a plu ? Laissez-lui une note, c'est important pour la visibilité du podcast ! 😉Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

“Dans beaucoup de boîtes, il y a le mythe du CTO qui est le plus fort et connaît tout.” Vraiment ? 👀Il est tentant et confortable d’imaginer le CTO comme l'expert ultime, celui qui connaît tout sur tout et qui a des années d'expérience derrière lui - alors imaginez la pression pour quelqu'un qui se retrouve à ce poste en début de carrière...La réalité est bien différente.Devenir CTO, surtout en début de parcours, c'est souvent faire face à des doutes ou à des difficultés, voire au syndrome de l'imposteur. À vouloir tout maîtriser, on freine son équipe en imposant ses propres limites de connaissance ; à vouloir être partout, on empêche les autres de s’exprimer pleinement.Aurore Malherbes, co-fondatrice de Padok et aujourd'hui CTO chez Fairly Made, a une idée sur la question puisqu'elle a été propulsée au rôle de CTO après seulement 2 ans d'expérience.Elle aussi a dû jongler avec ce sentiment d'illégitimité tout en portant le poids des attentes placées en elle. Au lieu de se laisser freiner par ses lacunes techniques, elle a fait de ce défi une force en recrutant des talents expérimentés autour d'elle. Son mantra ? "Si tu ne te fais pas confiance, fais confiance aux gens qui te font confiance."Cette approche l’a amenée à créer une équipe solide et complémentaire, et à prouver que la légitimité ne vient pas uniquement des compétences, mais aussi de l’audace et de la capacité à s’entourer.Dans cet épisode parsemé de conseils, on a notamment discuté de :➡️ Transformer ses faiblesses en opportunités de croissance ;➡️ Recruter des profils plus seniors pour combler les lacunes et bâtir une équipe compétente ;➡️ Son framework ROSE pour améliorer la qualité de l’infrastructure de façon tangible ;➡️ L’art de dédramatiser l’échec pour avancer sans peur.Aurore a aussi parlé de :- "The Five Dysfunctions of a Team" de Patrick Lencioni, un ouvrage qu’elle recommande pour comprendre comment construire et maintenir une équipe efficace.- "Getting Naked" également de Patrick Lencioni, centré sur la posture à adopter dans une équipe ou dans des relations professionnelles, notamment en conseil ou en vente.- "Turn the Ship Around" de David Marquet, qui aborde le leadership dans le contexte militaire, avec des leçons sur l'autonomisation des équipes.Si vous vous demandez comment bâtir votre légitimité en tant que leader technique, cette discussion avec Aurore vous donnera pas mal d’indications.PS : Si cet épisode vous a plu, laissez-lui une note ! 😊Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La qualité, ce n'est pas qu'un buzzword, c'est un standard à définir ensemble 👇Dans une équipe tech, chacun peut avoir sa propre définition de la qualité : pour certains, c’est un code sans bugs ; pour d’autres, c'est un client satisfait. Mais sans une vision commune, difficile de faire converger l’équipe vers un même standard, et en l’absence d’alignement, on s'éparpille et on perd en efficacité.✅ Définir ensemble ce que signifie la qualité, c’est donc garantir un cadre clair où chacun sait vers quoi il doit tendre et, peut-être aussi et surtout, pourquoi.Aurore Malherbes, co-fondatrice de Padok et aujourd'hui CTO chez Fairly Made, en sait quelque chose puisqu’elle a créé un framework basé sur les critères de résilience, d'opérabilité, de sécurité et d'empowerment pour guider chaque projet.Cette méthodologie, qu’ils appellent le framework R.O.S.E, a permis de mesurer la qualité de l’infrastructure de façon tangible, avec des critères concrets que même les non-techs peuvent comprendre. Une approche qui aide l’équipe à "freiner pour mieux accélérer" : poser des bases solides aujourd’hui pour livrer plus rapidement demain.Et puis, on a aussi parlé de :➡️ L’importance de s’aligner sur la définition de la qualité dans une équipe technique ;➡️ Comment un framework qualité peut aider à la fois les développeurs et les managers ;➡️ La mise en place d’objectifs qualité réalistes et mesurables.Vous voulez savoir comment poser un standard de qualité commun dans une équipe tech ? Cet épisode est rempli de conseils pratiques pour réussir cette transition avec finesse et efficacité.PS : Si cet épisode vous a plu, n’hésitez pas à laisser une note ! 😊Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Quand on est freelance, il ne suffit pas d'avoir des compétences techniques solides pour construire une carrière épanouie 👇En réalité, ce n'est qu'une partie de l'équation ; car le véritable défi réside dans la capacité à sélectionner les opportunités qui comptent vraiment - celles qui vont vous permettre d'évoluer, d'atteindre vos objectifs et de vous épanouir.En un mot, il est crucial d'apprendre à évaluer chaque projet avant de s'engager, et ça implique de se poser les bonnes questions : cette mission correspond-elle à mes valeurs ? Est-ce qu'elle va me permettre d'apprendre ou d'améliorer une compétence stratégique ? Est-ce que le client comprend mes attentes et respecte mon expertise ?Stéphane Ruhlmann en sait quelque chose : ce développeur freelance à un parcours aussi diversifié qu'inspirant, puisqu’il a collaboré avec des entreprises comme le Club Med ou Allociné !Stéphane nous partage aujourd’hui son approche pour identifier les opportunités professionnelles qui comptent vraiment et qui permettent d’aligner aspirations personnelles et professionnelles.Au cours de cet échange, nous avons aussi parlé :➡️ De ses techniques d'entretien et de prospection, et de la manière dont elles lui permettent de rester compétitif dans un secteur en constante évolution ;➡️ Du rôle des intermédiaires dans sa carrière, et comment ces acteurs influencent les missions qu'il choisit ;➡️ De la prospection directe, un véritable moteur pour son évolution, tant sur le plan professionnel que personnel ;➡️ Des fluctuations de revenu et de son approche face à l'évolution salariale, un défi incontournable pour tout freelance.Si vous cherchez à affiner votre approche du freelancing et à mieux gérer les hauts et les bas de votre carrière, cet épisode est pour vous.PS : N’hésitez pas à partager cet épisode si vous le trouvez utile 😉Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.