
Le cyberharcèlement
12/2/2025 | 4 min
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode de LEX.IA, votre podcast lexique numérique, 100% créé par de l’Intelligence Artificielle Générative et 100% validé par des humains. Aujourd’hui, nous allons parler d’un sujet malheureusement trop d'actualité dans nos vies connectées : le cyberharcèlement. Le cyberharcèlement se définit comme une forme de harcèlement utilisant les technologies de l'information et de la communication pour humilier, menacer, ou tourmenter une personne ou un groupe de personnes. Contrairement au harcèlement traditionnel, il peut survenir à toute heure du jour et de la nuit, et atteindre une audience mondiale en un instant. Ce qui distingue le cyberharcèlement d’un simple désaccord ou conflit, c’est la répétition des actes, leur caractère ciblé et l’intention claire de nuire. De plus, le cyberharcèlement est amplifié par les spécificités du numérique : l’anonymat et la diffusion massive et instantanée des contenus. Les formes de cyberharcèlement sont multiples. Nous voyons quelques exemples dans ce podcast. Les conséquences qui découlent du cyberharcèlement peuvent être dévastatrices, graves et de longue durée.Qui sont les victimes de cyberharcèlement ? Tout le monde peut en être victime, mais les adolescents sont particulièrement vulnérables. Alors comment se protéger et réagir face au cyberharcèlement ? Tout d'abord, protégez vos informations personnelles : Évitez de partager des données sensibles, comme votre adresse ou votre numéro de téléphone, sur les réseaux sociaux, et utilisez les options de confidentialité pour limiter l'accès à vos profils. Ne répondez pas aux harceleurs, cela pourrait les encourager. Conservez plutôt des preuves comme des captures d'écran ou des enregistrements. Ensuite bloquez et signalez : la plupart des plateformes disposent d'outils pour bloquer les utilisateurs et signaler les contenus abusifs. Et ne restez pas seul(e) : parlez-en à un adulte ou un professionnel : si vous êtes victime, il est crucial d’en parler pour recevoir du soutien. En termes de législation, de nombreux pays disposent de lois pour punir les auteurs de cyberharcèlement. Les plateformes en ligne ont également une responsabilité et doivent mettre en place des mesures efficaces pour protéger leurs utilisateurs. En France, vous pouvez signaler un cyberharcèlement via la plateforme PHAROS accessible à l'adresse internet-signalement.gouv.fr, le site dédié à signaler les comportements illégaux en ligne et via le numéro d’urgence 3018, qui offre une assistance rapide et gratuite. De nombreuses autres initiatives existent, par exemple avec le bouton "SOS" dans PRONOTE pour alerter la bonne personne au sein de l'établissement : le référent harcèlement. Le cyberharcèlement est donc un problème grave qui nécessite une vigilance constante et une sensibilisation accrue. Il est essentiel de comprendre ses formes, ses conséquences, et les moyens de s'en protéger. En tant qu'internautes, nous avons tous un rôle à jouer. Soyons vigilants, respectueux et solidaires. Merci d’avoir écouté cet épisode de Lex.IA. À bientôt !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le numérique responsable
05/12/2024 | 3 min
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode de LEX.IA, votre podcast lexique numérique, 100% créé par de l’Intelligence Artificielle Générative et 100% validé par des humains. Aujourd'hui, nous allons explorer un concept essentiel dans notre monde de plus en plus digitalisé : le numérique responsable. Qu'est-ce que cela signifie exactement et pourquoi est-ce si important ? Restez avec nous pour le découvrir ! Le numérique responsable, c'est l'ensemble des pratiques visant à réduire l'impact environnemental et sociétal des outils numériques tout au long de leur cycle de vie, c’est-à-dire depuis leur conception jusqu’à la fin de vie en passant par leur fabrication et leur utilisation. Les bonnes pratiques de numérique responsable permettent aussi de lutter contre la fracture numérique, de promouvoir l’accessibilité et de garantir une gouvernance éthique et transparente. Le numérique responsable répond à plusieurs enjeux cruciaux de notre monde contemporain : Premier enjeu, la réduction de l'empreinte écologique. Selon l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie , l'empreinte carbone du numérique représente environ 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre. L’écoconception implique de concevoir des technologies moins énergivores, d'optimiser l'utilisation des ressources et de favoriser le recyclage des équipements électroniques. Second enjeu, l'inclusion sociale et l'accessibilité numérique. Le numérique responsable vise à rendre les technologies accessibles à tous, y compris aux personnes en situation de handicap et aux populations défavorisées. Cela passe notamment par des interfaces utilisateur inclusives et des programmes de formation pour réduire la fracture numérique. Le troisième enjeu majeur, c'est la gouvernance éthique. Il s'agit de garantir la transparence dans l'utilisation des données et des algorithmes d’intelligence artificielle, de respecter la vie privée des utilisateurs et de promouvoir des pratiques commerciales équitables. Par exemple en Europe, le RGPD, Règlement Général sur la Protection des Données, impose des règles strictes sur la collecte et le traitement des données personnelles. Pour aller plus loin, sachez que plusieurs référentiels proposent des bonnes pratiques d'écoconception et d'accessibilité, comme le Référentiel Général d'Écoconception de Services Numériques et le Référentiel Général d'Amélioration de l'Accessibilité. En plus de ces référentiels, plusieurs lois encadrent le numérique responsable en France afin de lutter contre le gaspillage, favoriser l’économie circulaire et réduire l’empreinte environnementale du numérique. Ce sont ces lois qui prévoient notamment l'affichage d'un indice de réparabilité sur certains produits électroniques ou bien encore l'obligation pour les fournisseurs d'accès internet d'informer leurs clients sur leur consommation de données et les émissions de gaz à effet de serre correspondantes. Le numérique responsable est donc une approche globale qui vise à rendre nos usages numériques plus durables et éthiques. C'est un enjeu majeur pour concilier la transition numérique avec les impératifs écologiques et sociaux de notre époque. En adoptant ces pratiques, chacun peut contribuer à un numérique plus respectueux de notre planète et de notre société.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le SecNumCloud
14/11/2024 | 3 min
Bienvenue dans ce nouvel épisode de LEX.IA, le podcast lexique numérique 100% créé par l’Intelligence Artificielle Générative et 100% validé par des humains. Aujourd’hui, nous allons parler du référentiel SecNumCloud, un label crucial dans le domaine de la cybersécurité en France. SecNumCloud est le visa de sécurité mie en place par l’ANSSI, Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information, qui s’adresse aux fournisseurs de services cloud et qui répond à un besoin croissant de sécurisation des données. Le respect des exigences du référentiel SecNumCloud garantit la protection des données des clients contre les cyber menaces et les lois extraterritoriales. L’objectif principal de SecNumCloud est donc d’identifier et de promouvoir une offre de services cloud de confiance, en mettant l’accent sur la sécurité et la fiabilité. Ce label est particulièrement important pour les entités publiques, les opérateurs d’importance vitale (OIV) et les opérateurs de services essentiels (OSE) qui manipulent des données sensibles et stratégiques. L’obtention de cette qualification SecNumCloud présente plusieurs avantages : - Pour les prestataires, elle démontre leur expertise et leur engagement envers la sécurité, ouvrant potentiellement la porte à l’adoption de leurs services par des entités gouvernementales. De plus, cette certification facilite la conformité à d'autres réglementations telles que le RGPD. - Pour les clients, elle permet d’identifier facilement les fournisseurs offrant un niveau de sécurité optimal et conforme aux référentiels établis par l’ANSSI et signifie une plus grande confiance dans la sécurité de leurs données sensibles. Le processus de qualification SecNumCloud, élaboré en 2016 et révisé régulièrement, est extrêmement rigoureux. Pour l'obtenir, les prestataires doivent non seulement respecter des bonnes pratiques, répondre à un haut niveau d'exigences tant du point de vue technique, qu’opérationnel ou juridique, mais aussi fournir une documentation détaillée de leurs processus et systèmes. En cas d'obtention de cette qualification et pour pouvoir la conserver, leurs systèmes sont ensuite ré-évalués régulièrement par les auditeurs de l’ANSSI. En conclusion, le SecNumCloud joue un rôle crucial dans la régulation de l’activité du cloud computing en France. En imposant des standards élevés de sécurité et de conformité, il contribue à renforcer la confiance dans les services cloud, à promouvoir la souveraineté numérique française et aide les entreprises à se conformer aux réglementations. Merci d’avoir écouté cet épisode de Lex.IA. Si vous l'avez apprécié, n'hésitez pas à vous abonner à notre podcast, à nous le dire en commentaire, et à mettre un like, un pouce ou un cœur selon la plateforme sur laquelle vous nous écoutez ou vous nous regardez. À bientôt !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le prompt design
11/10/2024 | 2 min
Bienvenue dans Lex.IA, le podcast lexique numérique, 100% créé par de l’Intelligence Artificielle Générative et 100% validé par des humains. Aujourd’hui, nous allons explorer un concept essentiel dans le domaine de l’IA : le “prompt design”. Qu’est-ce que c’est et pourquoi est-ce si important ? C’est ce que nous allons découvrir ensemble. Commençons par définir ce qu’est un “prompt”. Dans le contexte de l’IA, un prompt est une instruction ou une question donnée à un modèle de langage pour générer une réponse. Le “prompt design” fait donc référence à l’art et la science de formuler ces instructions de manière à obtenir les réponses les plus pertinentes et précises possibles. Par exemple, si vous demandez à une IA générative “Raconte-moi une histoire”, le prompt est simple et générique. Mais si vous dites “Raconte-moi une histoire sur un chevalier courageux qui sauve un village”, l'IA a plus de contexte et peut générer une réponse plus détaillée et pertinente. Les prompts vagues ou ambigus peuvent entraîner des réponses imprécises, la clé est donc de fournir suffisamment de détails et de contexte pour que l'IA comprenne exactement ce qui est attendu. En étant clair, précis et en utilisant des exemples, vous pouvez obtenir des réponses plus pertinentes et utiles. Un prompt efficace comprend donc généralement plusieurs éléments indispensables : Une tâche claire à accomplir et une structuration claire des instructionsDes informations contextuelles utiles, avec des mots-clés spécifiques et des exemples pertinentsLes contraintes et formats de réponse souhaitésEn résumé, le “prompt design”, domaine en constante évolution, est une compétence essentielle pour tirer le meilleur parti des modèles de langage et des technologies d'IA générative. En maîtrisant cet art, vous pouvez améliorer considérablement votre interaction avec l'IA. Alors, la prochaine fois que vous interagirez avec une IA, rappelez-vous que tout commence par un bon prompt. Merci d’avoir écouté cet épisode de Lex.IA. Si vous l'avez apprécié, n'hésitez pas à vous abonner à notre podcast, à nous le dire en commentaire, et à mettre un like, un pouce ou un cœur selon la plateforme sur laquelle vous nous écoutez ou vous nous regardez. À bientôt !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les modèles de langage (LLM)
11/9/2024 | 3 min
Bienvenue dans Lex.IA, le podcast lexique numérique, 100% créé par de l’Intelligence Artificielle Générative et 100% validé par des humains. Aujourd'hui, nous allons plonger dans le monde fascinant des modèles de langage, également connus sous l'acronyme LLM, pour "Large Language Models" en anglais. Au cœur de nombreuses avancées récentes en intelligence artificielle, les modèles de langage sont des programmes d'IA conçus pour comprendre, analyser et générer du langage humain. Ils sont entraînés en analysant des milliards de phrases issues de livres, de sites web, et d’autres sources textuelles, ce qui leur permet de capturer les subtilités de la syntaxe et de la sémantique, et même parfois les nuances du langage humain. Le fonctionnement de ces modèles reposent sur une technique appelée apprentissage profond, basée sur des réseaux de neurones artificiels. Lors de cet entraînement, les modèles apprennent à prédire la prochaine séquence de mots en fonction du contexte, ce qui leur permet de générer des phrases cohérentes et pertinentes. Ces réseaux analysent les données textuelles afin de prédire la suite probable d'un texte donné. Autrement dit, ces modèles sont capables de comprendre non seulement des mots individuels, mais aussi des idées plus complexes à travers un texte. Les modèles de langage sont de véritables couteaux suisses du traitement du langage naturel. Ils peuvent effectuer une multitude de tâches, telles que : La génération de texte ;La traduction automatique ;La réponse à des questions ;Le résumé de textes ;L'analyse de sentiments ;Et même l'aide à la programmation !Vous avez probablement déjà interagi avec des modèles de langage sans le savoir. Par exemple, ChatGPT ou Copilot, sont des agents conversationnels basés sur des LLM. Ces modèles sont également utilisés dans les moteurs de recherche, les assistants virtuels, et de nombreuses autres applications du quotidien. Les LLM soulèvent également des questions éthiques et pratiques. Leur utilisation dans la recherche scientifique ou les problématiques de propriété intellectuelle, par exemple, font l'objet de débats. Il est crucial de les utiliser avec discernement et de rester critique face à leurs résultats. Ils peuvent parfois générer des informations incorrectes ou biaisées, appelées Hallucinations, car ils sont entraînés sur des données disponibles en ligne, qui ne sont pas toujours fiables. Un autre point à prendre en compte est leur consommation énergétique : l’entraînement et l’utilisation de ces modèles nécessitent des ressources informatiques très importantes. Leur capacité à comprendre et générer du texte leur permet de transformer de nombreux secteurs, mais leur utilisation doit s'accompagner d'une réflexion éthique et responsable. Merci d’avoir écouté cet épisode de Lex.IA. Si vous l'avez apprécié, n'hésitez pas à vous abonner à notre podcast, à nous le dire en commentaire, et à mettre un like, un pouce ou un cœur selon la plateforme sur laquelle vous nous écoutez ou vous nous regardez. À bientôt !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.



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