RÉVÉLATION OFF INVESTIGATION : LE REPORTAGE EXPLOSIF SUR LA “S€X CONNECTION” | GPTV
Le 8 novembre 2025 à 12h30, Mike Borowski dévoilait l’envers obscène du show-business français — pédocriminalité, manipulations médiatiques et silence complice des stars — en direct sur Géopolitique Profonde.Le scandale Louvin ou la face noire du divertissement françaisLe vernis doré du show-business craque, révélant une réalité d’une noirceur abyssale. Derrière les paillettes et les rires factices, un monde de domination, de perversion et d’impunité. Le producteur Gérard Louvin, figure de la télévision, symbole d’un système fondé sur le copinage et la corruption morale, est au cœur d’un scandale glaçant. Le reportage d’Off Investigation dévoile des accusations gravissimes : soirées pédocriminelles, enfants attirés depuis les bidonvilles brésiliens, silence complice des animateurs et des institutions. Ce n’est plus une affaire individuelle — c’est la vitrine pourrie d’une élite culturelle déchue, protégée par un État médiatique qui préfère punir ceux qui parlent que ceux qui violent.Les révélations sur Louvin traduisent la faillite morale d’une génération d’architectes du divertissement. Ce système médiatique, qui prétend incarner la légèreté, cache une mécanique d’exploitation humaine où tout s’achète : carrières, réputations, parfois corps. Julien Courbet, cité par des témoins, aurait assisté à l’une de ces soirées, sans jamais dénoncer. Son silence n’est pas un hasard : la carrière vaut plus que la conscience. Ceux qui parlent sont broyés. Le divertissement n’est plus un art : c’est un masque pour le vice, une industrie du mensonge et de la soumission morale.L’élite culturelle comme sanctuaire d’impunitéLa pédocriminalité n’est pas un accident : c’est un rouage du pouvoir des élites culturelles. Ces réseaux s’auto-protègent, s’auto-censurent, se cooptent. Les médias dominants jouent le rôle d’écran de fumée, détournant l’attention pendant que la corruption prospère. La justice, infiltrée par ces réseaux, protège les puissants. Quand un producteur ou animateur est accusé, le système se referme : témoins discrédités, journalistes menacés, affaires classées.Cette mécanique s’inscrit dans la continuité d’un pouvoir médiatique centralisé, serviteur des intérêts économiques et politiques. Le divertissement n’est pas une sphère libre mais un outil de domination sociale. Il façonne les esprits, détourne les masses, impose la morale du vice comme norme. Derrière chaque star adulée : une structure d’exploitation. Quand le voile se lève, c’est tout un monde qui s’effondre — celui où l’on pensait que la télévision n’était qu’un spectacle.La France face à sa corruption moraleCette affaire touche au cœur de la souveraineté culturelle. Si la télévision peut servir de refuge à des réseaux pédocriminels, c’est que l’État a abandonné toute autorité morale. L’élite médiatique, honorée et financée, a transformé la culture en arme contre la vérité. Les artistes ne sont plus des créateurs, mais des relais d’un système de perversion et de silence. Les victimes sont sacrifiées sur l’autel du prestige.Ce scandale révèle une France en décomposition morale. Les figures publiques se protègent, tandis que les citoyens subissent la censure et la peur. Il ne s’agit plus de dénoncer un homme, mais de démanteler une oligarchie culturelle. La révolte doit être intellectuelle, morale et politique. Le combat pour la souveraineté commence par la reconquête de notre éthique.Support the showNe vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.https://geopolitique-profonde.com/