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ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet

ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes
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  • Doctolib joue enfin la carte de la transparence
    Aujourd'hui, direction la French Tech, avec une annonce importante.La startup française Doctolib à encore réduit ses pertes en 2024 et vise la rentabilité cette année assure Les Echos.Voici ce qu’il faut retenir de la situation de la licorne française en trois points.La carte de la transparencePremier point, Doctolib joue enfin la carte de la transparence en publiant pour la première fois ses résultats financiers.Avec un revenu annuel récurrent de 348 millions d'euros, en hausse de 22,5 % sur un an, l'entreprise parvient à réduire son Ebitda négatif, passant de 87 à un peu moins de 54 millions d'euros.Il faut dire que Doctolib a levé beaucoup d'argent ces dernières années. Son dernier tour de table connu remonte à 2022 et s'élevait à 500 millions d'euros.Mais l'objectif est affiché. La société compte bien devenir rentable cette année. Il s'agirait d'une première depuis sa création en 2013.Le modèle économique reste centré sur les professionnels de santé99 % du chiffre d'affaires provient de la vente de logiciels aux soignants, médecins, kinés, chirurgiens, et seulement 1 % de la promotion de campagnes de santé publique.Alors pourquoi les praticiens achètent autant Doctolib ? Et bien parce que grâce à sa suite logicielle, Doctolib promet de réduire de 50 % le temps administratif des soignants. Et aussi d’augmenter de 20 à 30 % le nombre de rendez-vous possibles.Des chiffres qui permettent à Pierre Vergnes, le directeur financier de Doctolib, de, je cite, « tordre le cou à quelques fantasmes. Certains nous voient déjà comme l'équivalent d'un Gafam ou n'ont jamais compris exactement comment nos revenus sont créés ».Oui, Doctolib ce sont des revenus récurrents d'abonnement logiciel, pas de la publicité.L’innovation reste au cœur de la stratégie de la startupDoctolib investit massivement dans l'intelligence artificielle, avec une équipe de plus de 100 spécialistes, et prévoit de lancer une dizaine d'outils d'IA cette année.Par exemple, la société travaille sur la génération automatique de courriers médicaux ou encore un assistant téléphonique intelligent.En parallèle, la société souhaite aussi devenir un véritable compagnon de santé pour les patients grâce à des contenus personnalisés et vérifiés.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    3:03
  • Huawei lance ses puces d'IA dans un contexte géopolitique très tendu
    Aujourd'hui, on s'intéresse à une annonce stratégique de l'entreprise chinoise Huawei.Elle s'apprête à lancer ses propres alternatives aux cartes graphiques de Nvidia pour alimenter les infrastructures d'IA.Le travail de Huawei est fait sous contrainteD'abord, il faut bien comprendre que le travail de Huawei est fait sous contrainte. De nombreuses entreprises internationales subissent en effet des restrictions imposées par les Etats-Unis contre le marché chinois.Par exemple, le géant de l'infrastructure d'IA Nvidia ne peut pas véritablement vendre ses puces d'IA en Chine. C'est dans ce contexte que Huawei riposte.Dès ce mois de mai, l'entreprise lance ses propres serveurs et cartes équipés du processeur maison Ascend 910C.Cette puce est moins puissante que la puce H100 de Nvidia, donc la commercialisation est interdite en Chine par les Etats-Unis.Mais intégré dans des superclusters de calcul, ces puces sont capables de dépasser les performances des derniers modèles de Nvidia.Mieux, cet été, Huawei prévoit de frapper encore plus fort avec une nouvelle puce, nommée Ascend 920. Et cette puce est censée rivaliser directement avec le célèbre H100 de Nvidia.Des performances impressionnantes. mais une consommation élevéeSecond point, il faut noter que la puce Ascend 910C propose des performances impressionnantes. Mais sa consommation est élevée.Le GPU Ascend 910C atteint une puissance de 780 TeraFLOPS. C’est environ 60 % des capacités d'une puce H100. Mais Huawei compense en multipliant le nombre de processeurs dans ses serveurs AI CloudMatrix 384. Résultat : une vitesse de calcul 1,7 fois supérieure au dernier cluster Nvidia !Petit bémol, la consommation électrique explose, avec 559 kilowatt heure, contre seulement 145 pour Nvidia.Le mystère de la fabricationEnfin, il faut noter que la manière dont Huawei est parvenu à fabriquer cette nouvelle puce est un mystère.En effet, une question intrigue. Comment Huawei parvient-il à produire des puces aussi avancées malgré l'embargo imposé par les américains sur les équipements européens de fabrication de puces, dont le néerlandais ASML.Une enquête révèle que des circuits auraient été fabriqués en secret via l'entreprise TSMC, à Taïwan, à travers un réseau complexe de courtiers et d'intermédiaires. Washington menace même TSMC d'une amende record de 1 milliard de dollars pour avoir indirectement travaillé pour Huawei.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    3:15
  • Qui va croquer Chrome ?
    C'est un développement important dans le procès Google qui a lieu en ce moment aux Etats-Unis. La grande question est qui donc va croquer Chrome, le navigateur internet de l'entreprise accusée de position monopolistique.Yahoo, OpenAI et Perplexity sont désormais dans les starting blocks pour racheter le navigateur de bureau et mobile, qui domine le marché.Alors pourquoi cet intérêt soudain pour l'une des technologies les plus dominantes du web ? Voici les trois points à retenir.Des conséquences majeures pour GoogleL'entreprise fait face à un procès antitrust aux États-Unis pour abus de position dominante dans la recherche en ligne.Le ministère de la Justice estime que Google empêche la concurrence en entretenant un monopole. Une des solutions envisagées par les autorités, une solution radicale, serait de forcer Google à vendre Chrome.Bien sûr, cette décision pourrait avoir des conséquences profondes sur l'ensemble du secteur. A commencer par aiguiser les appétits d'OpenAI et de Yahoo.Plusieurs acteurs intéressés par un rachat de ChromeFace à cette possibilité de démantèlement, plusieurs acteurs du secteur se montrent en effet intéressés par un éventuel rachat de Chrome.Yahoo a exprimé son intérêt pour acquérir le navigateur, le qualifiant de "stratégique" pour l'avenir du web. Et si Yahoo met la main sur Chrome, il s'agirait d'une très surprenante revanche. Il y a des années en effet, c'est Yahoo qui dominait le monde de la recherche en ligne, avant de se faire damer le pion par Google.Mais OpenAI, la société derrière ChatGPT, est aussi intéressée. Lors du procès, son directeur des produits, Nick Turley, a confirmé sa volonté d'acquérir Chrome, afin d'intégrer davantage de capacités d'intelligence artificielle à l'expérience de navigation.Si OpenAI s'empare de Chrome, il s'agirait alors d'une véritable passation de pouvoir. Jugez plutôt : la jeune pousse s'emparerait du joyau de Google alors que ce même Google patine depuis des mois dans ses efforts de concurrencer ChatGPT sur l'IA générative.Une véritable bataille à venir pour dominer le webMais le plus important, c'est que ces manœuvres préfigurent d'une véritable bataille à venir pour dominer le web dans les années à venir. Cette affaire n'est pas qu'une simple question financière. Les ambitions derrière ce rachat sont énormes.Perplexity, une autre startup d'IA qui rêve de s'emparer de Chrome, et OpenAI voient le navigateur un vecteur essentiel pour distribuer leurs technologies de recherche à base d'IA.La concurrence pour ce rachat sera rude, surtout que Google n'a pas dit son dernier mot.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    3:07
  • Allez-vous héberger vos données d'entreprise dans les gares RER du Grand Paris Express ?
    Et si vos données et vos serveurs étaient hébergées dans le métro parisien et le RER ?Connect Grand Paris, une filiale de la RATP, la Régie autonome des transports parisiens, lance une nouvelle offre d'hébergement nommée Edge Hosting.Qu'est-ce que cette solution a à offrir ? Voici trois points clés à retenir.65 gares du Grand Paris Express deviennent des datacentersD'abord, la promesse du fournisseur est d'assurer proximité et donc optimisation des performances. Et voici comment.Les salles serveur qui vont accueillir les données des clients sont situées dans 65 gares du Grand Paris Express, c'est à dire les 5 nouvelles lignes de RER qui doivent être construites pour 2030.Par ailleurs, l’« Edge Hosting » repose sur une infrastructure réseau reliée par la fibre optique.De quoi réduire la latence et donc de garantir une meilleure réactivité. Oui parce que le terme Edge fait référence à la notion de mise à proximité des clients de la puissance de calcul.Souveraineté et sécurité des donnéesEnsuite, la RATP promet souveraineté des données et sécurité.L'« Edge Hosting » est 100 % français et conforme aux normes européennes assure l'hébergeur.Au delà de la sécurité physique et de l'hébergement sur le territoire national, ce modèle garantit, dit la RATP, une disponibilité continue, et avec une garantie de rétablissement, on dit GTR, en moins de 4 heures.Flexibilité et sur-mesureEnfin, la promesse est aussi de faire de la flexibilité et du sur-mesure.L’offre s’adapte aux besoins spécifiques des opérateurs Télécom, des PME et ETI, des ESN et des collectivités locales d’Île-de-France, promet la RATP.Côté flexibilité, l'hébergeur promet des des solutions modulables, comme des baies personnalisables et des alimentations flexibles, mais aussi côté réseau des services complémentaires comme la Fibre Optique Noire ou la connectivité Ethernet.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    2:31
  • Quand les agents d'IA poussent les portes des salles de classe
    Ça y est, les agents d'intelligence artificielle entrent dans la salle de classe.Aux Etats-Unis, la société Kira AI vient de lancer une toute nouvelle plateforme d’apprentissage personnalisée pour les élèves du primaire et du secondaire.Alors l'IA va-t-elle devenir un assistant à part entière dans les écoles. Je vous explique tout ceci en trois points.Une plateforme 100 % IAD'abord, l'initiative dont je vous parle est une plateforme 100 % IA, mais conçue spécifiquement pour l’école.Contrairement à d'autres outils qui ajoutent de l’IA sur des systèmes déjà existants, Kira intègre l’intelligence artificielle directement dans chaque étape du parcours éducatif.Planification des cours, gestion administrative, aide à la notation ou encore suivi des progrès des élèves, l'ensemble de la vie pédagogique est pris en compte par la plateforme. Le but est d'accompagner les élèves sur mesure, et de libérer du temps pour les enseignants.Une réponse aux défis des enseignantsCar cette IA se veut avant tout une réponse aux défis des enseignants.Kira promet d’aider les enseignants à éviter l’épuisement professionnel. Comment ? Grâce à des agents capables de corriger automatiquement les devoirs, de vérifier le plagiat, et même de détecter les élèves en difficulté.L’enseignant peut alors intervenir plus rapidement, sans se noyer dans la paperasse. Le résultat espéré est de parvenir à des classes plus équilibrées et donc à des élèves mieux suivis.Cette technologie est déjà à l'essaiEnfin, et c'est peut être le plus intéressant, cette technologie est déjà à l'essai.Kira est déjà utilisée dans certaines écoles du Tennessee, un état des Etats-Unis.Des enseignants en informatique, la première discipline ou la solution a été déployée, affirment y gagner des heures précieuses tout en améliorant les résultats de leurs élèves. Et Kira n’en reste pas là. La plateforme s’ouvre désormais aux matières littéraires et aux sciences humaines.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Découvrir au quotidien les enjeux de la technologie. Le podcast de la rédaction de ZDNet, pour les professionnels à la recherche d'infos pratiques et concrètes pour mieux comprendre le marché IT et telco et son influence sur les métiers.    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Generated: 5/3/2025 - 5:53:16 PM