Willie “The Lion Smith”, le piano rugissant, première partie
Sur sa carte de visite était écrit : “Willie “The Lion” Smith, meilleur pianiste du monde” ! Une main gauche renversante et une main droite de feu : Le lion méritait bien son surnom. Un type haut en couleurs qui ne sortait jamais sans son chapeau melon et mâchouillait tranquillement son cigare pendant que ses doigts couraient sur le piano. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
--------
15:43
--------
15:43
Alain Jean-Marie, docteur biguine et monsieur jazz, deuxième partie
Adolescent à Pointe-à-Pitre, Alain Jean-Marie rêvait déjà de jazz et de Paris. Lorsqu'il débarque en métropole en 1973, il pose ses valises à la Cigale, carrefour des musiques antillaises de Paname, aux côtés des légendes Al Lirvat et Robert Mavounzy. Mais avant de revenir aux sources avec son grand trio "Biguine Reflections", Alain Jean-Marie va devenir le pianiste le plus prisé des jazzmen américains de passage. Biguine, be-bop ? Alain Jean-Marie possède ce double-langage sur le bout des doigts.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
--------
18:42
--------
18:42
Alain Jean-Marie, docteur biguine et monsieur jazz, première partie
Qu’elle soit biguine ou be-bop, la musique d’Alain Jean-Marie est née quelque part entre deux rives : entre Afrique et Guadeloupe, Europe et Amérique. Jazz, biguine ? Biguine, jazz ? “Ce sont les mêmes racines”, confiait-il à la revue Jazz Hot. Des bals de Pointe-à-Pitre au Petit Opportun de Paris, en passant par Montréal et la célèbre brasserie la Cigale, carrefour des musiques antillaises à Paname, portrait d'un pianiste aussi génial que discret, demandé par les plus grands (Chet Baker, Barney Wilen, Charlie Rouse, Johnny Griffin, etc...), jusqu'à devenir lui-même... un monument ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
--------
18:34
--------
18:34
De New-York à Saint-Tropez, Don Byas, l’enfant gâté du ténor, deuxième partie
Mais que faisait Don Byas à Saint-Tropez au milieu des années 1950 ? Après avoir fait swinguer le New-York du jazz et du bebop, où il enregistra les premiers disques du genre avec Dizzy Gillespie, le saxophoniste trouva en France une terre d'adoption, loin des Etats-Unis et du "malaise racial". Ténor vibrant et engagé, personnage haut en couleurs, Don Byas a marqué de son empreinte l'histoire du jazz en France, avant un ultime comeback de l'autre côté de l'Atlantique. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
--------
18:11
--------
18:11
De New-York à Saint-Tropez, Don Byas, l’enfant gâté du ténor, première partie
Il n'est pas le plus connu et pourtant, Don Byas était l’un des meilleurs ténors américains. Né à Muskogee, Oklahoma, en 1913, il fut le trait d'union entre la génération des pionniers incarnée par Coleman Hawkins, et celle des boppers menée par Charlie Parker. Don Byas, c'était un son puissant et une vie mouvementée : de ses débuts chez Count Basie aux parties de pèche à Saint-Tropez en passant par les boîtes de la 52ème rue de New-York, Pour Qui Sonne le Jazz suit l'itinéraire de cet enfant gâté du ténor, en deux épisodes. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un disque culte, une voix oubliée, une archive inédite : du lundi au vendredi à 9h30, David Koperhant explore cent ans d’histoire(s) du jazz pour une ballade sonore d’un quart d’heure, mixée et habillée par Eric Holstein. A podcaster sans retenue.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.