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  • Budget de la Sécurité sociale : à votre santé ! | Chaque voix compte - 29/10/2025
    À LA UNE / Budget de la Sécurité sociale : à votre santé !Dans l’objectif de réduire le déficit français, le gouvernement de Sébastien Lecornu envisage de doubler l’ensemble des franchises médicales, de restreindre les durées maximales des arrêts maladie, ainsi que de supprimer les exonérations d’impôt pour les affections longue durée (ALD). Alors que les dépenses de santé augmentaient de 4,8 % par an depuis 2019, l’exécutif ambitionne de réduire ces dépenses avec un plafond à +1,6 %. À tout cela s’ajoute la question de la suspension de la réforme des retraites, que Sébastien Lecornu veut compenser par une contribution des mutuelles à hauteur de 2,25 % et une sous-indexation des pensions de retraites. Dès l’ouverture des débats lundi 27 octobre en commission des affaires sociales, les députés ont rejeté cette surtaxe. Ce texte suscite l’indignation da la plupart des professionnels de santé : « Le Projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2026 marque un tournant alarmant pour l’équilibre du système de santé français », fustige dans un communiqué le Conseil national de l’Ordre des médecins. L’UFSE-CGT a d’ores et déjà déposé un préavis de grève sur la période du 1er novembre au 31 décembre 2025. Quel impact aura le PLFSS sur l’accès aux soins de Français ?Invités :- Nathalie Coutinet, économiste de la santé en poste à l'université Sorbonne Paris Nord- Daniel Bideau, Président de l’UFC-Que Choisir Clermont-Ferrand, animateur du réseau santé - Jean-Paul Hamon, Médecin généraliste, Président d'honneur de la Fédération des Médecins de France« Les off de Lou » : La bataille de Paris tourne à la guerre interne par Lou Fritel « Quelle histoire ! » : Gabriel Zucman, l’étoile filante ? par Laurent Guimier LA QUESTION QUI FÂCHE / Faut-il oublier la taxe Zucman ? Gabriel Zucman multiplie les apparitions médiatiques et son nom continue de résonner dans les couloirs de l’Assemblée nationale. Le Parti socialiste faisait de la taxe pensée par l’économiste de l’Ecole normale supérieure (ENS) une des mesures essentielles pour ne pas censurer le gouvernement Lecornu II. L’exécutif ayant déjà rejeté cette taxe visant à imposer de 2% les patrimoines dépassant les 100 millions d’euros, le PS a sorti une version 2.0. En espérant convaincre le socle commun, les socialistes défendent désormais une taxe de 3% sur les patrimoines de plus de 10 millions d’euros, mais sans toucher aux entreprises familiales ou « innovantes ». Une version allégée qui rapporterait 5 à 7 milliards d’euros, contre 15 à 25 milliards pour la taxe originelle. Selon Politico, un ministre affirmait mardi 28 octobre que « le bloc central ne votera jamais un truc confiscatoire et anticonstitutionnel ». « Zucman c’est non. Ni light, ni hard, ni rien du tout », martelait le même jour Marine Le Pen au palais Bourbon. Dans ce contexte, l’impôt imaginé par Gabriel Zucman n’est-il pas mort-né ?Invités :- Damien Maudet, député « La France Insoumise » de Haute-Vienne - Estelle Mercier, députée socialiste de Meurthe-et-Moselle - Daniel Labaronne, député « Ensemble pour la République » d’Indre-et-Loire « Chaque Voix compte », votre rendez-vous quotidien qui prend le pouls de la société : un débat, animé par Adeline François, en prise directe avec l'actualité politique, parlementaire, sociale ou économique.Un carrefour d'opinions où ministres, députés, élus locaux, experts et personnalités de la société civile font entendre leur voix. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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  • Budget : l’Assemblée à la barre | Chaque voix compte - 28/10/2025
    À LA UNE / Budget : l’Assemblée à la barre Du 20 octobre jusqu’au 31 décembre 2025, les députés ont un emploi du temps très chargé pour débattre et voter le prochain budget de l’Etat pour 2026. Après des débats en commission, les discussions ont débuté vendredi 24 octobre dans l’hémicycle, se poursuivant jusque tard dans la nuit. Mardi 4 novembre, ils devront voter sur la partie recettes du budget, un texte déjà rejeté par la Commission des finances dans la nuit du 22 octobre. Rejet du gel du barème de l’impôt sur le revenu, défiscalisation totale des heures supplémentaires ou des pensions alimentaires pour les bénéficiaires, ou encore rejet de la surtaxe des mutuelles : plusieurs points marquants ont déjà été votés par les députés. Mardi 28 octobre, il ne restait plus que quatre jours de séance à l’Assemblée nationale pour examiner les 2 800 amendements restants, sur les plus de 3 700 déposés par les élus. Selon Philippe Gosselin, député LR de la Manche, « dans l’état actuel des débats, ce n’est pas sûr qu’il y ait une majorité pour adopter la première partie ». Si le Rassemblement national continue de fustiger « un accord entre le gouvernement et les socialistes », le parti à la rose menace l’exécutif de censure si ses exigences ne sont pas respectées. Le gouvernement devra-t-il concéder une version allégée de la taxe Zucman pour s’assurer le soutien des socialistes ? Invités :- Benjamin Morel, constitutionnaliste, maître de conférences en droit public à l'université Panthéon-Assas - Henri Sterdyniak, économiste, membre des « économistes atterrés »- Stéphanie Dépierre, journaliste LCP Les chroniques : « Les off de Lou » : Mais que veulent vraiment les socialistes ? par Lou Fritel« Quelle histoire ! » : Marine Tondelier, l’autre Marine par Laurent Guimier LA QUESTION QUI FÂCHE / Faut-il stopper les aides pour les emplois à domicile ? Dans le cadre du nouveau budget de l’Etat pour 2026, les députés cherchent des moyens de faire des économies. Une proposition pouvant sauver 7 milliards d’euros par an a alors été mise sur la table par le député Romain Daubié, du MoDem : « L’amendement [n°1868] vise à recentrer le crédit d’impôt pour l’emploi d’un salarié à domicile sur certaines activités en excluant notamment celle des coachs sportifs », a précisé le député en séance, se basant sur un rapport de la Cour des comptes de mars 2024. Par la voix de Philippe Juvin, Les Républicains s’opposent à cette mesure, rappelant que le crédit d’impôt pour les services à la personne (Cisap) a fait « diminuer considérablement, de 50 à 20 %, la part du travail dissimulé ». Le gouvernement s’est également dit défavorable, préférant « travailler sur les plafonds, sur le taux et sur la mécanique de l’impôt, sans entrer dans le détail des métiers concernés », comme le soulignait Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics. Samedi 25 octobre, les députés ont donc adopté un amendement réduisant le plafond du crédit d’impôt pour les services à la personne, qui passe désormais de 12 000 à 10 000 euros. Pour la gauche, la solution est autre. « On utilise 7 milliards d’euros pour subventionner des emplois privés. C’est un peu paradoxal », pointait ainsi Eric Coquerel. Selon La France Insoumise, il faudrait « transformer ce service au public en service public » en privilégiant l’embauche de fonctionnaires à la place « de gens qui sont peu formés et qui ont peu de droits ». Quel avenir les députés réservent-ils au dispositif Cisap et à l’emploi à domicile ?Invités :- Philippe Lottiaux, député « Rassemblement National » du Var - Emmanuel Mandon, député « Les Démocrates » de la Loire - Danièle Obono, députée « La France Insoumise » de Paris Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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  • Retraites : retour vers le futur ? | Chaque voix compte - 24/10/2025
    À LA UNE / Retraites : retour vers le futur ? Plus de six Français sur dix n’ont plus confiance dans le système actuel des retraites, et 59 % estiment ne pas disposer de ressources suffisantes pour financer 20 à 30 ans de retraite, selon une étude de Yomoni. Le 14 octobre, Sébastien Lecornu annonçait son intention de suspendre la réforme des retraites, avant de détailler le processus dans une lettre rectificative. « Il faudra en compenser le coût », alertait le Premier ministre dans sa déclaration de politique générale devant les députés. Le gouvernement souhaite donc instaurer une taxation des complémentaires d’assurance-maladie et une sous-indexation des pensions de base. Une proposition rejetée à gauche comme à droite. Plus de sept Français sur dix souhaitent un référendum pour réformer les retraites, d’après un sondage Elabe. Emmanuel Macron a évoqué cette idée le 21 octobre, tout en précisant qu’il faudrait d’abord s'accorder sur la manière de le mettre en place. La France doit-elle se diriger vers un système de retraite par points ? Les citoyens présents en plateau posent leurs questions aux députés. Invités :• Jean-Didier Berger, député « Droite Républicaine » des Hauts-de-Seine• Sandrine Runel, députée socialiste du Rhône• Sylvain Maillard, député « Ensemble Pour le République » de Paris• En visioconférence : Gérard Holtz, journaliste Chronique : "Le mot de la semaine" : RETRAITE par Mariette Darrigrand, sémiologue « Chaque Voix compte », votre rendez-vous quotidien qui prend le pouls de la société : un débat, animé par Adeline François, en prise directe avec l'actualité politique, parlementaire, sociale ou économique.Un carrefour d'opinions où ministres, députés, élus locaux, experts et personnalités de la société civile font entendre leur voix. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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  • Budget : de nouveau l’impasse ? | Chaque voix compte - 23/10/2025
    À LA UNE / Budget : de nouveau l’impasse ? Entre lundi 20 et mercredi 22 octobre 2025, et jusqu’à tard dans la nuit, la commission des finances de l’Assemblée nationale a analysé et débattu le projet de loi de finances 2026 ainsi que ses divers amendements. Vendredi 24 octobre, ce sera au tour de l’ensemble des députés de l’hémicycle de se saisir des débats. Pendant ces trois jours, les membres de la commission ont notamment rejeté la taxe Zucman ou l’ISF climatique. En conséquence, 37 députés ont voté contre le projet du gouvernement, rejetant ainsi la partie recettes du budget 2026. Des députés de gauche, socialistes compris, mais aussi d’extrême-droite et des Républicains n’ont pas soutenu le texte défendu par Sébastien Lecornu. « C’est dans l’hémicycle qu’on pourra construire les compromis », promettent les socialistes. Les discussions en commission laissent-elles présager un conflit irrésoluble dans l’hémicycle ?Invités :- Elsa Mondin-Gava, journaliste LCP - Mathieu Plane, économiste, directeur adjoint à l’OFCE- Stéphane Zumsteeg, directeur du département opinion à l'institut de sondage Ipsos- Fanny Guinochet, journaliste économique« Quelle histoire ! » : Astérix, ils sont fous ces politix ! par Laurent Guimier LA QUESTION QUI FÂCHE / Retraites/suspension : qui va payer ? Cent millions d’euros en 2026 et 1,4 milliard en 2027 : dans sa lettre rectificative au projet de budget de la Sécurité sociale, le gouvernement a évalué le coût de la suspension de la réforme des retraites, promise par Sébastien Lecornu. Le 14 octobre, à l’occasion de son discours de politique générale, le Premier ministre annonçait son intention de suspendre la réforme Borne, tout en précisant qu’il faudrait la « compenser avec des mesures d’économies ». Dans la lettre présentée au Conseil des ministres jeudi 23 octobre, le gouvernement envisage d’augmenter le taux de contribution exceptionnelle sur les complémentaires santé, passant ainsi de 2,05 à 2,25 %, pour rapporter 1 milliard d’euros. Le texte demande également un effort supplémentaire de 0,5 % aux retraités, avec une sous-indexation des pensions de 0,9 point en 2027. Ces mesures proposées sont contestées à la fois par le PS et par le RN. Comment éviter que la suspension de la réforme des retraites aggrave la dette de la France ? Invités :- Matthias Renault, député « Rassemblement National » de la Somme - Sophie Taillé-Polian, députée « écologiste et social » du Val-de-Marne- Sylvain Berrios, député apparenté « Horizons et indépendants » du Val-de-Marne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:04:31
  • Polluants éternels : dangers éternels ? | Chaque voix compte - 22/10/2025
    À LA UNE / Polluants éternels : dangers éternels ? Se basant sur plus de deux ans d’études et près de 2 millions de données, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), a publié deux rapports mercredi 22 octobre 2025 sur les « polluants éternels » (PFAS). Ces documents pointent à la fois une contamination généralisée des milieux et de notre alimentation, ainsi que des zones d’ombre liées au manque de documentation sur la présence des PFAS. L’Anses reconnaît en particulier l’insuffisance de données sur l’exposition des travailleurs aux polluants éternels. L’agence a identifié « 142 PFAS pour lesquels des mesures ont été réalisées », explique. « On a mené un travail considérable de traitement des données, mais on est encore très loin du compte », a reconnu Matthieu Schuler, directeur général délégué au pôle scientifique de l’Anses. Pour y remédier, l’organisme préconise notamment d’établir « une stratégie de surveillance pour 247 PFAS » à l’aide d’un « score » pour chacune des molécules étudiées, mais aussi ajouter aux 20 PFAS contrôlés en France dans l’eau du robinet à partir du 1er janvier 2026 cinq molécules, dont l’acide trifluoroacétique ou le TFA. Depuis juillet 2025, au moins 17 communes françaises ont interdit la consommation de l’eau des robinets. Alors que les PFAS sont aujourd’hui omniprésents dans le sang des habitants de plusieurs communes exposées aux eaux polluées, comment la France peut-elle protéger ses citoyens des polluants éternels ? Invités :- Nicolas Thierry, député écologiste de la Gironde- Juliette Duquesne, journaliste pour « Carnet d’alertes », autrice de « Autonomes et solidaires pour le vivant » (éditions Le Bord de l’Eau)- Olivier Andrault, chargé de mission alimentation et agriculture à l’UFC-Que ChoisirChroniques : « Les off de Lou » : les Français et l’écologie, le désamour ? par Lou Fritel « Quelle histoire ! » : Montre de Louis Boyard, une question de timing par Laurent Guimier LA QUESTION QUI FÂCHE / Faut-il taxer les héritages ? Les droits de succession sont « l’une des impositions les moins bien acceptées » par les Français, avançait dans son rapport de septembre 2024 la Cour des comptes. Dans le contexte de la bataille pour le budget, Yaël Braun-Pivet a remis le sujet sur la table, déclenchant une levée de bouclier à droite. La Présidente de l’Assemblée nationale s’appuie sur un rapport publié en 2024 par l’Oxfam affirmant que « dans les 30 prochaines années, 25 milliardaires français transmettront à leurs héritiers plus de 460 milliards d’euros de super-héritages sur lesquels l’État risque de perdre 160 milliards en raison des niches fiscales existantes ». « Vous semble-t-il normal que 0,1 % des héritiers, qui reçoivent environ 13 millions d’euros, soit 180 fois l’héritage médian, ne paient, en moyenne, que 10 % d’impôt sur cette somme ? », interroge Yaël Braun-Pivet. La gauche parlementaire s’est alors saisie de la question, en proposant des amendements pour revenir sur la fiscalité successorale des assurances-vie notamment. Une taxation des « super-héritages » est-elle réalisable en France ?Invités :- Jean-René Cazeneuve, député « Ensemble Pour la République » du Gers - Aurélien Le Coq, député « La France Insoumise » du Nord- Marie-Christine Dalloz, députée « Droite Républicaine » du Jura « Chaque Voix compte », votre rendez-vous quotidien qui prend le pouls de la société : un débat, animé par Adeline François, en prise directe avec l'actualité politique, parlementaire, sociale ou économique.Un carrefour d'opinions où ministres, députés, élus locaux, experts et personnalités de la société civile font entendre leur voix. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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À propos de Chaque voix compte

Grand rendez-vous d'actualité quotidien et citoyen de LCP-Assemblée nationale du mardi au vendredi à 19h30 et 23h30.Parce que chaque voix compte, LCP donne toute sa place à la parole du citoyen. Les téléspectateurs interviennent chaque jour dans l'émission, tournée au coeur du Palais Bourbon.Parce que chaque voix compte, l'émission incarnée par Adeline François, s'ancre dans les préoccupations quotidiennes des Français, tout en gardant l'exigence nécessaire pour décrypter et informer.Experts, témoins et députés de toutes les sensibilités se succèdent sur le plateau en direct, faisant la part belle au débat contradictoire.LCP - Assemblée nationale podcast.Retrouvez-nous sur www.lcp.fr et sur YouTube : https://www.youtube.com/@lcpassembleenationale Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Generated: 10/31/2025 - 9:14:22 AM