Powered by RND
PodcastsArtsLes Sens de la Danse

Les Sens de la Danse

Myriam Sellam
Les Sens de la Danse
Dernier épisode

Épisodes disponibles

5 sur 53
  • Un pas de côté – L’histoire du Ballet de l’Opéra de Paris
    Bienvenue dans Un pas de côté, une capsule des Sens de la Danse imaginée comme un prolongement des épisodes.Chaque dimanche, une voix, une histoire, un parcours intime vous est confié. Mais pour saisir pleinement la richesse de ce qui est dit, il est parfois nécessaire de prendre un peu de recul.C’est ce que propose Un pas de côté : en quelques minutes, replacer un nom, une idée, une esthétique dans son contexte. Pas pour compliquer les choses, mais pour élargir le regard et faire résonner plus fort chaque épisode.Aujourd’hui, faisons ensemble un pas de côté… vers l’histoire du Ballet de l’Opéra de Paris, la plus ancienne compagnie de danse classique encore en activité, et l’une des plus prestigieuses au monde.Une institution fondée en 1661 par Louis XIV, le Roi Soleil, qui voit dans la danse un outil de pouvoir et de discipline. Avec l’Académie royale de danse, treize maîtres à danser fixent les règles et codifient les postures, donnant à cet art une légitimité nouvelle.Quelques décennies plus tard, en 1713, l’Académie royale de musique crée une école. Les fameux « petits rats de l’Opéra », ces enfants formés dès l’âge de 8 ou 9 ans, y reçoivent une éducation rigoureuse qui les prépare à devenir solistes ou membres du corps de ballet. Cette tradition, installée aujourd’hui à Nanterre, perdure encore.Le XIXᵉ siècle marque l’âge d’or du romantisme : La Sylphide en 1832, où une ballerine aérienne incarne un esprit de l’air, ou encore Giselle en 1842, tragédie d’amour et de surnaturel qui devient l’un des sommets du répertoire. Ces œuvres imposent un style poétique et dramatique, mais révèlent aussi la dureté d’une discipline exigeante.Au XXᵉ siècle, des figures comme Serge Lifar ou Rudolf Noureev modernisent et transforment l’institution, entre fidélité aux grands classiques et ouverture à la création contemporaine.Aujourd’hui, le Ballet de l’Opéra de Paris danse encore les grands chefs-d’œuvre – Le Lac des cygnes, Don Quichotte – mais invite aussi Pina Bausch, William Forsythe, Crystal Pite et bien d’autres, témoignant d’un équilibre fragile entre mémoire et innovation.Derrière chaque arabesque, derrière chaque envolée, se cachent plus de trois siècles et demi d’histoire, faite de rois, de fantômes, de maîtres visionnaires et d’artistes passionnés.Et si cette capsule vous raconte ce parcours, c’est parce qu’il résonne avec notre invité : Andrea Sarri, formé à l’Opéra de Paris, héritier de cette tradition, mais aussi danseur d’aujourd’hui qui la réinvente à sa manière.👉 Si vous n’avez pas encore écouté son épisode dans Les Sens de la Danse, c’est le moment. Plongez dans son parcours et sa vision : vous verrez, son récit donne une résonance toute particulière à cette histoire.N’oubliez pas de vous abonner à Les Sens de la Danse sur votre plateforme d’écoute préférée, et de laisser un avis ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ : c’est le meilleur moyen de soutenir ce travail et de continuer à faire vivre ces histoires.Je suis Myriam Sellam, et je vous donne rendez-vous dimanche pour un nouvel épisode.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    5:04
  • Andrea Sarri : du rêve sicilien à ses débuts à l’Opéra de Paris
    Le 5 octobre prochain, Andrea Sarri apparaîtra sur la scène de l’Opéra Garnier dans l’un des rôles les plus mythiques du répertoire romantique : Albrecht dans Giselle.Une étape décisive pour ce danseur d’exception, récemment nommé Premier danseur du Ballet de l’Opéra de Paris.Né à Palerme en 1998, Andrea quitte sa Sicile à seulement dix ans pour intégrer l’École de danse de l’Opéra de Paris. Un arrachement culturel et familial, mais aussi la promesse d’un rêve. Comment un enfant issu d’une culture marquée par la tradition et la virilité a-t-il trouvé sa place dans le temple de la danse classique ?Andrea raconte la discipline quotidienne, les sacrifices, mais aussi les moments de doute et de fatigue. Il se souvient de ces instants rares où la scène efface tout calcul :« T’es juste toi », dit-il, quand il ne reste plus que l’authenticité d’un artiste face au public.Ces confidences dessinent un portrait sincère et touchant d’un danseur qui construit pas à pas sa carrière.Son parcours est jalonné de distinctions : le Prix AROP de la danse, le prix Giovani Talenti Siciliani nel Mondo, le Taobuk Award. Mais Andrea ne s’arrête pas aux récompenses. Il explore aussi le contemporain, passant de Forsythe à Ekman, de Pite à Kylián, prouvant une polyvalence rare : incarner les grands rôles romantiques et se réinventer dans les langages modernes.Cet échange est aussi une réflexion sur le corps : outil, limite, fragilité, mais aussi source de joie. Andrea parle de l’urgence d’une carrière courte, des sacrifices qu’elle implique, et de la puissance transformatrice de la danse. Au-delà de la performance, il interroge ce que signifie grandir, s’affirmer et trouver sa vérité sur scène.Dans cette première partie, nous revenons sur les fondations : son enfance en Sicile, sa formation à Nanterre et ses premiers pas dans la hiérarchie de l’Opéra. Un récit intime et inspirant, qui ouvre la voie à la seconde partie, consacrée aux grands rôles et à la consécration.✨ Bienvenue dans Les Sens de la Danse, le podcast de Myriam Sellam qui explore le pouvoir infini du mouvement — celui qui libère, qui transforme, qui fait renaître.🎧 Abonnez-vous dès maintenant pour découvrir ce récit d’exigence, de dépassement et d’authenticité, et laissez 5 étoiles ⭐ : c’est le meilleur moyen de soutenir le podcast et de ne manquer aucun épisode.Très belle écouteHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    1:17:31
  • Un pas de côté – Lil Buck, la source qui inspire Yann Antonio
    Lil Buck est aujourd’hui reconnu comme l’un des danseurs les plus singuliers de sa génération. Mais derrière son succès international se cache une histoire profondément ancrée dans une ville, un style et une rencontre.Originaire de Memphis, Lil Buck a grandi dans un environnement difficile, marqué par les inégalités sociales mais aussi par une énergie créative hors du commun. Memphis, c’est à la fois la ville du blues, du rock’n’roll et de la soul, avec des figures mythiques comme Elvis Presley, Otis Redding ou Isaac Hayes. Mais c’est aussi une ville où la jeunesse afro-américaine a transformé la rue en scène, donnant naissance au jookin, une danse fluide et acrobatique, faite de glissés de pieds et de pivots de chevilles.Très vite, Lil Buck s’impose comme l’un des plus brillants représentants de ce style. Ce qui fait sa force, c’est sa capacité à garder les racines de cette danse tout en osant l’emmener ailleurs. Et ce « ailleurs » prend une forme inattendue en 2011, lorsqu’une vidéo le montre dansant Le Cygne de Camille Saint-Saëns aux côtés du violoncelliste Yo-Yo Ma. Le choc est immédiat. Des millions d’internautes découvrent un langage inédit : le dialogue entre danse urbaine et musique classique.À partir de là, la carrière de Lil Buck bascule. Madonna l’invite à rejoindre sa tournée mondiale, Benjamin Millepied l’intègre au L.A. Dance Project, Spike Jonze le filme. La Fondation Cartier, l’Opéra de Paris et la Fondation Vuitton ouvrent leurs portes à son art. Lil Buck devient un pont vivant entre deux univers que tout semblait opposer : la rue et les institutions de la culture légitime.Pourquoi cette histoire est-elle essentielle aujourd’hui ? Parce qu’elle incarne une brèche. Lil Buck a montré qu’une danse née dans les quartiers populaires pouvait trouver sa place dans les temples de la culture classique, sans rien perdre de son authenticité.C’est cette brèche que poursuit aujourd’hui Yann Antonio, danseur français que vous avez découvert dans un autre épisode de Les Sens de la Danse. Lui aussi ose l’improvisation hip-hop face à des orchestres symphoniques, à la Philharmonie de Berlin ou à l’Alte Oper de Francfort. Lui aussi prouve que la danse n’a pas besoin de choisir entre la rue et le classique : elle peut être les deux à la fois.👉 Ce nouvel épisode de la série « Un pas de côté » vous invite à explorer le parcours de Lil Buck pour mieux comprendre les résonances avec celui de Yann Antonio.Car au fond, ce qui relie ces artistes, c’est une conviction simple et puissante : la danse est un langage universel, capable de traverser les frontières sociales, culturelles et artistiques.🎧 Un pas de côté – De Lil Buck à Yann Antonio, quand la rue rencontre le classique est disponible dès maintenant sur toutes les plateformes d’écoute.✨ Si cet épisode vous a plu, abonnez-vous au podcast Les Sens de la Danse pour ne manquer aucune nouvelle rencontre. Et si vous souhaitez soutenir ce travail, le meilleur moyen est de laisser un avis 5 étoiles accompagné d’un mot : c’est ce qui aide vraiment le podcast à être découvert par d’autres passionnés de danse.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    4:21
  • Yann Antonio – Improviser le hip-hop devant un orchestre symphonique
    Et si le hip-hop, né dans la rue, pouvait dialoguer avec Mozart, Beethoven ou Mahler ?Et si l’énergie brute du freestyle pouvait entrer dans les temples de la musique classique, face à un orchestre symphonique entier ?C’est le pari audacieux de Yann Antonio, danseur français d’origine congolaise, qui s’impose aujourd’hui comme une figure singulière de la danse.Sur scène, il improvise son hip-hop devant des orchestres prestigieux – de la Philharmonie de Berlin à l’Alte Oper de Francfort – et ses prestations cumulent déjà plusieurs millions de vues sur les réseaux sociaux.Un succès fulgurant qui intrigue autant qu’il inspire : comment un danseur venu du Val-d’Oise a-t-il réussi à tracer une telle trajectoire ?Dans cet épisode des Sens de la Danse, le podcast que je crée et anime, je pars à sa rencontre.Je m’appelle Myriam Sellam, journaliste et passionnée de danse, et à travers chaque entretien je cherche à comprendre comment le mouvement transforme nos vies.Avec Yann Antonio, nous revenons sur son enfance, marquée par une famille où l’art circule naturellement : une grand-mère danseuse, un grand-père musicien, une mère chanteuse de gospel, et surtout un frère, Loïc Mabanza, danseur professionnel et premier mentor.Il évoque ses années de travail acharné, ses doutes, ses efforts pour dépasser le simple cadre des battles et inventer une voie nouvelle.Et il partage ce détail marquant : dans sa chambre d’adolescent, il avait accroché sur un mur des images de ses rêves – des affiches de salles de concert, des orchestres – qu’il contemplait chaque jour.« J’ai affiché mes rêves sur un mur… et je les ai réalisés. »Ce rituel de visualisation, cette capacité à transformer une vision en réalité, est au cœur de son histoire.Car Yann Antonio n’a jamais cessé de croire qu’un jour, il danserait son hip-hop face à un orchestre.Il a porté ce rêve pendant dix ans, jusqu’à le voir se concrétiser.Aujourd’hui, ses performances bouleversent les spectateurs : il entre dans l’instant, improvise chaque geste, laisse son corps dialoguer avec la musique sans préparation ni partition.C’est une rencontre improbable, mais profondément évidente : un langage né de la rue qui s’élève aux côtés de la musique savante, et qui rappelle que la danse est universelle.Au fil de notre conversation, Yann Antonio parle aussi de la nécessité de s’inspirer, de l’importance des mentors, de la patience et de la persévérance.Son parcours est une leçon d’humilité et de détermination :👉 on peut venir de la rue et entrer dans les grandes salles,👉 on peut douter mais continuer à avancer,👉 on peut transformer un rêve en réalité quand on garde une vision claire et qu’on travaille chaque jour pour l’incarner.Ce que cet épisode met en lumière, c’est le pouvoir de la danse comme art de la rencontre et de la transformation.Le pouvoir d’un corps qui improvise, d’un langage qui traverse les frontières, et d’une conviction : le hip-hop n’a pas de frontières.🎧 Écoutez cet épisode des Sens de la Danse pour découvrir l’histoire inspirante de Yann Antonio et plonger dans une trajectoire qui prouve que la danse peut relier des mondes qu’on croyait séparés.Et si cette écoute vous inspire, n’hésitez pas à vous abonner au podcast et à laisser un avis 5 étoiles : c’est le meilleur moyen de soutenir ce travail et d’aider d’autres auditeurs à découvrir, eux aussi, le pouvoir de la danse.Très belle écouteHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    1:16:41
  • Un pas de côté avec Merce Cunningham, le chorégraphe qui a libéré le mouvement
    Bienvenue dans Un pas de côté, une capsule du podcast Les Sens de la Danse pensée pour éclairer chaque épisode.Pourquoi ce format ? Parce qu’écouter un danseur raconter son parcours, c’est passionnant, mais pour vraiment saisir la richesse de ses propos, il faut parfois replacer un nom, une esthétique, une révolution artistique dans son contexte.👉 Un pas de côté, c’est donc ça : une parenthèse pour donner des repères, comprendre une œuvre ou une idée, et voir la danse autrement. Pas un cours théorique, mais une exploration vivante, simple et accessible.Pour cette première capsule, arrêtons-nous sur une figure qui a bouleversé la danse du XXe siècle : Merce Cunningham (1919-2009).Formé chez Martha Graham, dont il devient l’un des solistes, il décide rapidement de s’émanciper de son héritage. Pour lui, la danse n’a pas besoin de raconter une histoire. Elle peut exister comme un langage autonome, un pur jeu de formes dans l’espace et le temps.Avec le compositeur John Cage, compagnon de vie et de création, Cunningham redéfinit la relation entre danse et musique. Fini la synchronisation : chacun crée séparément, et la rencontre n’a lieu qu’au moment de la première. Le spectateur choisit alors son chemin : écouter ou regarder, sans qu’un sens lui soit imposé.Cunningham introduit aussi le hasard dans la création. Il tire au sort des séquences avec des dés, utilise le pile ou face, puis plus tard des logiciels comme DanceForms. Son but : générer l’inattendu, provoquer l’accident poétique, explorer l’abstraction pure.Mais cette liberté apparente s’accompagne d’une rigueur extrême. Être danseur chez Cunningham exige une précision millimétrée : chaque bras, chaque déplacement, chaque regard est noté et répété. Pas de psychologie, pas de personnage : seulement le corps en action, offert au spectateur.C’est dans ce monde exigeant que s’est formé Cédric Andrieux, qui a dansé près de dix ans dans la compagnie avant de devenir, en 2025, directeur du Ballet de l’Opéra de Lyon. Son témoignage, que vous pouvez retrouver dans Les Sens de la Danse, raconte à quel point cette expérience a transformé sa vision : danser même sans musique, être pleinement présent, laisser le mouvement exister pour lui-même.L’héritage de Cunningham est immense. Ses interprètes – Trisha Brown, Lucinda Childs, Cédric Andrieux et tant d’autres – ont diffusé ses idées à travers le monde. Et même si sa compagnie s’est arrêtée en 2011, selon ses souhaits, ses œuvres continuent de nourrir les chorégraphes d’aujourd’hui.👉 Comprendre Cunningham, c’est comprendre l’une des grandes clés de la danse contemporaine : l’idée que la danse peut être autonome, qu’elle n’a pas besoin de récit pour exister.Avec Un pas de côté, je vous propose d’ouvrir ce regard. Un format pensé comme une respiration, une clé pour mieux entendre ce que vous découvrez chaque dimanche dans les entretiens du podcast.🎧 Bonne écoute, et bienvenue dans ce premier pas de côté avec Merce Cunningham, le chorégraphe qui a libéré le mouvement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    5:01

Plus de podcasts Arts

À propos de Les Sens de la Danse

Y a-t-il un sens à se mettre en mouvement ? Pour moi, la danse a toujours été bien plus qu’un simple enchaînement de pas. Elle a été un refuge, un langage, une boussole. Elle m’a portée, transformée, révélée. De la rigueur du classique à la liberté du tango, elle a dessiné mon chemin. La danse libère, elle dit ce que les mots taisent. Pour certains, elle est une échappatoire, une explosion d’émotions. Pour d’autres, un mode de vie, un art total qui façonne l’esprit autant que le corps. Qu’il s’agisse du break, du tango, de la danse classique ou des danses traditionnelles, chacune possède son propre univers, ses codes, ses bienfaits et ses secrets. À travers ce podcast, j’ai envie de partir à la rencontre de ceux qui ont fait de la danse leur langage : danseurs, chorégraphes, chercheurs… Des artistes et des passionnés qui, pour un instant ou une vie entière, ont laissé la danse les guider. Le temps d’un épisode, je vous invite à entrer dans une bulle de danseurs. Un espace suspendu où le corps parle autant que les mots. Ensemble, nous ferons quelques pas de deux, à la recherche des clés de cet art insaisissable… et peut-être, apprendrons-nous à en faire notre allié. Car je suis convaincue d’une chose : la danse a un pouvoir immense. Elle nous connecte à nous-mêmes, nous épanouit et, parfois même, nous guérit. Je suis Myriam Sellam, journaliste et danseuse dans l’âme, et je vous donne rendez-vous chaque dimanche pour un voyage au cœur du mouvement. Alors, prêts à entrer dans "les sens de la danse" ? Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Site web du podcast

Écoutez Les Sens de la Danse, Story privée ou d'autres podcasts du monde entier - avec l'app de radio.fr

Obtenez l’app radio.fr
 gratuite

  • Ajout de radios et podcasts en favoris
  • Diffusion via Wi-Fi ou Bluetooth
  • Carplay & Android Auto compatibles
  • Et encore plus de fonctionnalités
Applications
Réseaux sociaux
v7.23.9 | © 2007-2025 radio.de GmbH
Generated: 10/3/2025 - 7:23:21 AM