INTIMACY

Dans cet épisode, je parle d’une manière différente d’aborder les épreuves. L’idée, c’est de ne pas fixer nos yeux uniquement sur le problème visible, mais d’apprendre à discerner ce qui se cache derrière. Tous les problèmes ne sont pas forcément spirituels, mais nous vivons dans un monde qui est profondément spirituel, puisque notre corps lui-même porte un esprit. Quand on comprend cela, on réalise que certains défis doivent être traités autrement, avec une approche plus profonde.Je prends l’exemple de Jésus face à la mer agitée. Il n’a pas parlé aux vagues qui se déchaînaient, il a parlé au vent, parce que c’était le vent qui provoquait l’agitation de la mer. Très souvent, nous prions pour que les vagues s’apaisent et pour que la tempête s’arrête, mais nous oublions que ces vagues ne sont que la manifestation d’une cause plus profonde. On finit par combattre les symptômes sans jamais s’adresser à la source.Le message est simple, mais essentiel. Ne t’arrête pas à la mer qui bouge. Cherche le vent qui la fait bouger. Quand tu identifies ce qui alimente réellement la tempête, tu peux enfin parler à ce vent et retrouver la paix. Certaines situations ne changent que lorsque l’on décide de regarder au-delà de ce qui est visible.C’est exactement ce que je partage dans cet épisode. Apprendre à discerner, à aller plus loin que l’apparence du problème et à affronter les causes profondes pour voir les tempêtes de la vie s’apaiser véritablement.

Quelle voie choisis tu de prendre ?

Dans cet épisode « La prière d’Anne », nous entrons dans le mystère d’une prière qui ouvre les cieux.Il y a des prières ordinaires, et il y a des prières qui font trembler l’invisible.Il y a des prières qui montent comme un parfum, et il y a des prières qui se plantent comme une épée dans les cieux.Anne n’a pas prié pour parler.Elle n’a pas prié par habitude.Elle n’a pas prié pour paraître spirituelle.Anne a prié parce que sa destinée l’appelait.Moquée par Pénina, brisée dans son cœur, vide dans son ventre, mais vivante dans sa foi, Anne est entrée dans la présence de Dieu comme on entre dans une bataille.Elle a parlé à Dieu comme on parle quand on n’a plus de plan B.Elle a versé son âme, elle a déposé sa douleur, elle a présenté son vœu — et le ciel s’est incliné.Elle a dit :« Si tu me donnes un fils, je te le rendrai. »Ce n’était pas seulement une demande.C’était une alliance.Et lorsque la prière devient alliance, Dieu ne peut pas rester silencieux.Cet épisode est un appel.Un rappel.Un réveil.Tu ne peux plus prier à moitié.Tu ne peux plus frapper timidement.Tu ne peux plus murmurer quand ta destinée exige que tu cries.Il est temps de déchirer le ciel.Il est temps de prier jusqu’à ce que la terre réponde.Il est temps d’entrer dans la prière qui engendre les miracles, les promesses, les enfants spirituels, les ministères et les saisons nouvelles.Ce n’est pas une histoire.C’est une clé.

Dans cet épisode, nous parlons de l’importance de prier le matin, au moment où Dieu renouvelle Ses bontés sur nos vies.À travers Lamentations 3:22-23, nous découvrons que « les bontés du Seigneur ne sont pas épuisées, elles se renouvellent chaque matin ».Chaque journée commence donc avec une grâce fraîche, une faveur nouvelle, une opportunité spirituelle que nous pouvons saisir, ou laisser passer.La prière du matin n’est pas qu’une routine spirituelle. C’est le moment où nous plaçons notre journée entre les mains de Dieu, où nous déverrouillons les bénédictions du jour, où nous déjouons à l’avance les pièges de l’ennemi.Comme Jacob, qui a lutté avec Dieu avant l’aurore et qui, au lever du jour, a reçu sa nouvelle identité, sa mission et sa destinée, nous aussi pouvons rencontrer Dieu au matin et voir notre vie transformée.Ce n’est pas une condamnation pour ceux qui se lèvent difficilement : c’est un appel à reconnaître la puissance spirituelle du matin.Une invitation à commencer la journée dans la présence de Celui qui la tient déjà entre Ses mains.

Dans cet épisode intitulé « Profiter des temps de grâce », nous explorons une réalité souvent négligée dans la marche chrétienne : Dieu nous accorde des saisons de repos.Si la vie de prière est constante, elle n’exclut pas les moments où le Seigneur nous invite à ralentir, à respirer, et à rendre grâce.À travers l’exemple du peuple d’Israël, qui connut 8 années de souffrance avant de bénéficier de 40 années de repos sous le roi Othniel, nous découvrons que le repos n’est pas un luxe, mais une dispensation divine. Même Jésus appelait les apôtres à se retirer un moment, loin de l’agitation du ministère, pour se ressourcer.Ce n’est pas un appel à la paresse ou à l’abandon, mais à la sagesse spirituelle : reconnaître les saisons, discerner la voix de Dieu, et comprendre que se reposer permet de mieux servir.