Patrick Goraguer : « Je ne peux pas vraiment définir ce qui crée l’état de bonheur »
Avec Antoine de Caunes il y avait dans les années 80 « les enfants du rock ». Patrick Goraguer, enfant de la balle, est lui plutôt un « enfant du jazz »… et de la world music. Il est le fils d’Alain Goraguer (décédé en 2023), grand compositeur et arrangeur dont le nom est associé aux plus grands noms de la variété et du jazz français, de Serge Reggiani à Bobby Lapointe, de Jean Ferrat à Serge Gainsbourg, en passant par Juliette Gréco, Régine, Adamo, France Gall ou encore Georges Moustaki.Mais Patrick s’est depuis longtemps fait un prénom, comme on dit, en tant qu’interprète (percussions et piano) auprès des plus grands noms de la scène française et mondiale du jazz et de la « world music », comme compositeur (chansons, publicités, musiques de films, …) et comme arrangeur. Ses collaborations sont innombrables parmi les chanteuses et chanteurs (Arthur H, Bruno Maman, Maxime Le Forrestier, Graeme Allwright, Axel Bauer, Menelik, Françoise Hardy, Juliette Gréco, Nana Mouskouri, etc.). Il a aussi composé de puissantes musiques de films et pour des séries, collaborant à l’international avec l’auteur de la BO de « Tout sur ma mère » d’Almodovar, de « Deux jours à tuer » de Jean Becker, de « un Monstre à Paris » avec Matthieu Chedid ou encore de « A corps perdu » de Sergio Castellito.Rencontré lors d’un concert à l’ECUJE puis à la SACEM lors d’un hommage au grand Jean-Loup Dabadie, j’ai eu envie de demander à Patrick pour l’épisode 16 de la saison 3, ce que signifiait pour lui être heureux et ce qui faisait le sel de sa vie bien remplie…Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.