Federica Mogherini, ex-cheffe de la diplomatie italienne et européenne, soupçonnée de favoritisme
Dans le portrait de ce vendredi, on revient sur le parcours de Federica MogheriniC’est un nom que vous avez peut-être redécouvert dans l’actualité ces derniers jours. On a connu principalement Federica Mogherini comme la deuxième cheffe de la diplomatie européenne. Elle succède alors à la Britannique Catherine Ashton. Un poste que Federica a quitté en 2019, sans toutefois s’éloigner des affaires européennes. Jusqu’à hier où elle a dû démissionner de ses fonctions pour des soucis judiciaires.C’est en Italie qu’elle débute en politiqueFederica n’a pas de filiation politique : son père, Flavio, est réalisateur, scénariste et costumier. Elle étudie les sciences politiques à Rome. Étude qui se termine avec un Erasmus à Aix-en-Provence durant lequel elle rédige son mémoire en philosophie politique entre la religion et la politique dans l’islam.Elle découvre la politique avant même ses étudesFederica Mogherini n’a que 15 ans quand elle est inscrite à la Fédération de la Jeunesse communiste italienne. Le Parti communiste italien disparait avec la chute du mur de Berlin. Il est remplacé par le Parti démocrate de la gauche, devenus Démocrates de gauche en 1998 et dont elle intègre le conseil national en 2001.Elle est élue députée en 2008 et se spécialise déjà dans la politique étrangère. Un an plus tard, en 2009, elle s’occupe de l’Égalité des chances au sein du Parti démocrate italien, puis aussi de la Politique européenne. L’Europe se rapproche donc…Elle devient ministre en Italie avant de monter à BruxellesFederica Mogherini devient cheffe de la diplomatie italienne le 22 février 2014 au sein du gouvernement de Matteo Renzi. Troisième femme à briguer ce poste. Elle n’y restera que quelques mois, car Matteo Renzi soumet la candidature de Federica Mogherini au président de la Commission de l’époque, Jean-Claude Juncker. Candidature pour le poste de Haute représentante de l’Union pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité.Une nomination avalisée par le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, en août 2014. Son mandat débute le 1er novembre de la même année pour cinq ans.Et ce sera un mandat chargéEntre le partenariat transatlantique entre l’Union européenne et les États-Unis, le Brexit, le retrait américain de l’Accord de Vienne sur le nucléaire iranien… Les grands dossiers n’ont pas manqué.Elle quitte ce poste donc en 2019 et se porte candidate au rectorat du Collège d’Europe. Une institution située à Bruges et qui forme les futurs diplomates européens. On retient sa candidature, elle entre en poste en septembre 2020 sur fond déjà de controverse : non-respect de la procédure de recrutement, manque de compétences pour exercer cette fonction. Elle restera un peu plus de cinq ans, jusqu’à la date d’hier où elle démissionne.Un peu plus tôt cette semaine, elle a été placée en garde à vue dans le cadre d’une enquête qui porte sur des soupçons de favoritisme dans l’attribution au Collège d’Europe d’un programme de formation de neuf mois destiné aux futurs diplomates européens.Et côté vie privée ?Elle a donné naissance à deux filles avec son ex-mari, Matteo Rebesani.Dans le portrait de ce vendredi, on revient sur le parcours de Federica MogheriniC’est un nom que vous avez peut-être redécouvert dans l’actualité ces derniers jours. On a connu principalement Federica Mogherini comme la deuxième cheffe de la diplomatie européenne. Elle succède alors à la Britannique Catherine Ashton. Un poste que Federica a quitté en 2019, sans toutefois s’éloigner des affaires européennes. Jusqu’à hier où elle a dû démissionner de ses fonctions pour des soucis judiciaires.C’est en Italie qu’elle débute en politiqueFederica n’a pas de filiation politique : son père, Flavio, est réalisateur, scénariste et costumier. Elle étudie les sciences politiques à Rome. Étude qui se termine avec un Erasmus à Aix-en-Provence durant lequel elle rédige son mémoire en philosophie politique entre la religion et la politique dans l’islam.Elle découvre la politique avant même ses étudesFederica Mogherini n’a que 15 ans quand elle est inscrite à la Fédération de la Jeunesse communiste italienne. Le Parti communiste italien disparait avec la chute du mur de Berlin. Il est remplacé par le Parti démocrate de la gauche, devenus Démocrates de gauche en 1998 et dont elle intègre le conseil national en 2001.Elle est élue députée en 2008 et se spécialise déjà dans la politique étrangère. Un an plus tard, en 2009, elle s’occupe de l’Égalité des chances au sein du Parti démocrate italien, puis aussi de la Politique européenne. L’Europe se rapproche donc…Elle devient ministre en Italie avant de monter à BruxellesFederica Mogherini devient cheffe de la diplomatie italienne le 22 février 2014 au sein du gouvernement de Matteo Renzi. Troisième femme à briguer ce poste. Elle n’y restera que quelques mois, car Matteo Renzi soumet la candidature de Federica Mogherini au président de la Commission de l’époque, Jean-Claude Juncker. Candidature pour le poste de Haute représentante de l’Union pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité.Une nomination avalisée par le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, en août 2014. Son mandat débute le 1er novembre de la même année pour cinq ans.Et ce sera un mandat chargéEntre le partenariat transatlantique entre l’Union européenne et les États-Unis, le Brexit, le retrait américain de l’Accord de Vienne sur le nucléaire iranien… Les grands dossiers n’ont pas manqué.Elle quitte ce poste donc en 2019 et se porte candidate au rectorat du Collège d’Europe. Une institution située à Bruges et qui forme les futurs diplomates européens. On retient sa candidature, elle entre en poste en septembre 2020 sur fond déjà de controverse : non-respect de la procédure de recrutement, manque de compétences pour exercer cette fonction. Elle restera un peu plus de cinq ans, jusqu’à la date d’hier où elle démissionne.Un peu plus tôt cette semaine, elle a été placée en garde à vue dans le cadre d’une enquête qui porte sur des soupçons de favoritisme dans l’attribution au Collège d’Europe d’un programme de formation de neuf mois destiné aux futurs diplomates européens.Et côté vie privée ?Elle a donné naissance à deux filles avec son ex-mari, Matteo Rebesani.
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La peine de prison du journailste français Christophe Gleizes a été confirmée par Alger
Aujourd’hui, c’est sur le parcours de Christophe Gleizes qu’on s’attardeC’est un nom que vous avez peut-être entendu ou vu passer dans l’actu de ces dernières heures. Christophe Gleizes. C’est un journaliste français. Un journaliste sportif. Sa spécialité, c’est le football, et plus particulièrement le football africain. Il collabore pour ce faire avec deux médias bien connus des amateurs du ballon rond : So Foot et Society.Spécialiste du football africain, car il connait très bien ce continentS’il est né à Agen, ce fils de haut-fonctionnaire va passer une partie de son enfance au Zimbabwe. Nous sommes en 2003, il a alors 14 ans et son beau-père va l’initier à ce magazine qu’est So Foot. C’est de là que vient sa vocation de journaliste sportif. Il décide de réunir cette passion pour le foot, pour l’Afrique et pour le journaliste et il devient journaliste indépendant à la sortie de ces études et il rentre à son tour chez So Foot.Plusieurs de ses reportages seront remarquésQue ce soit sur les footballeurs africains qui rêvent du Vieux Continent, sur un footballeur ivoirien qui se reconvertit dans la politique ou encore sur la CAN, la Coupe d’Afrique des Nations… il ne s’éloigne jamais trop de ses passions. Il ira même jusqu’à co-écrire un livre avec Barthélémy Gaillard : « Magique système : l'esclavage moderne des footballeurs africains ».Mais en 2024, tout bascule…Il se rend en Algérie, à Tizi Ouzou, pour enquêter sur le cas du joueur camerounais Albert Ebossé Bodjongo, mort dix ans auparavant dans des circonstances toujours suspectes alors qu’il évolue au sein du club de la Jeunesse Sportive de Kabylie. Christophe Gleizes réalise plusieurs entretiens puis est arrêté le 28 mai 2024. Placé sous contrôle judiciaire, il a interdiction de quitter l’Algérie.Qu’est-ce que Alger lui reproche ?D’avoir échangé avec Ferhat Mehenni en 2015 et 2017. Ferhat Mehenni, c’est le responsable du club Jeunesse sportive de Kabylie, mais aussi un des responsables du Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie, organisation classée comme terroriste par les autorités algériennes en 2021. En juin dernier, Christophe Gleizes est condamné à sept ans de prison pour « apologie du terrorisme » et « possession de publications dans un but de propagande nuisant à l’intérêt national ». Il fait appel de sa condamnation, mais celle-ci a été confirmée hier.Beaucoup de monde va se mobiliser très viteQue ce soit dans le monde sportif, la FFF va réclamer sa libération ; Reporters sans frontières ; plusieurs médias et journalistes ; des ministres et personnalités politiques de premier plan vont demander la libération du journaliste. Pour les médias qui l’emploient, ils se disent convaincus que ce n’est qu’un nouvel épisode des tensions toujours grandissantes entre Alger et Paris. On l’a vu encore récemment avec la libération de l’écrivain franco-algérien, Boualem Sansal, obtenue grâce à l’appui de Berlin.Ce matin, Emmanuel Macron a promis d’agir pour sa libération. Le ministre français de l’Intérieur a déclaré sur France 2 que « sa libération allait être un élément majeur des discussions avec l'Algérie ».
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Steve Witkoff : d'avocat à "diplomate amateur", le parcours d'un proche de Trump
C’est un nom qu’on entend régulièrement dans l’actualité ces derniers mois. Aujourd’hui, on s’intéresse à qui est Steve Witkoff.On entend son nom souvent associé aux zones de conflits dans le monde et surtout aux endroits où les États-Unis essaient de peser de tout leur poids pour résoudre ces conflits. C’est ainsi qu’il a été cité lors des négociations sur le plan de paix pour Gaza et qu’il l’est à nouveau pour celui en cours de négociation sur l’Ukraine.Quelle est sa fonction officielle ?Steve Witkoff est avocat et hommes d’affaires. Deux fonctions dans lesquelles l’art de la négociation sont, sans surprise, un plus. C’est pour cette raison que le président américain, Donald Trump, lors de sa seconde entrée en fonction, l’a nommé « envoyé spécial des États-Unis au Moyen-Orient ».Si la négociation il connait fort bien, la diplomatie beaucoup moins. Aucune expérience au compteur lors de sa nomination, il se qualifie lui-même de « diplomate amateur ». Il sera cependant le premier officiel américain à se rendre à Gaza depuis la prise du pouvoir du Hamas dans l’enclave palestinienne il y a un peu moins de 20 ans.De retour de Gaza, il décrit le territoire comme dévasté, puis réussi à convaincre Donald Trump de ce fameux plan qui a tant défrayé la chronique de reconstruire Gaza et d’en faire une sorte de riviera du Moyen-Orient. Une idée saluée par Benjamin Netanyahu également à l’époque. Steve Witkoff est impliqué dans les négociations et les différents échanges d’otages israéliens contre des prisonniers palestiniens. Échanges qui ont eu lieu en janvier et en octobre.Actuellement, il est impliqué dans les négociations sur un projet de plan de paix pour l’Ukraine. Il est en relation avec les autorités russes – il rencontre Vladimir Poutine d’ailleurs aujourd’hui. Même s’il montre une certaine complaisance envers les désidératas de Moscou. C’est lui qui était impliqué dans les négociations sur le programme nucléaire iranien.Et à côté de la politique ?Il est avocat de profession, vous disais-je. Il débute dans le métier en 1983 et un de ses premiers clients n’est autre que Donald Trump, himself. Steve Witkoff quitte toutefois le barreau en 1986 pour l’immobilier. Avec ses associés, ils vont acheter des bâtiments dans plusieurs grandes villes américaines en plus de leur New York natal.C’est un soutien de la première heure de Donald Trump et un de ses plus gros contributeurs à sa campagne présidentielle. D’ailleurs, il arrive aux deux hommes de se retrouver autour d’un club de golf dans le club personnel du président américain à Palm Beach, en Floride. Ils étaient d’ailleurs ensemble lors de la fusillade qui s’y est produit le 15 septembre 2024. Fusillade qui semblait être une tentative d’assassinat à l’encontre du candidat Trump à l’époque.Et côté vie privée ?Il est marié depuis 1987 à Lauren Rappoport. Ensemble, ils ont trois fils. L’un d’eux est décédé en 2011 en pleine cure de d’désintoxication. Son épouse et ses deux fils, Alex et Zach, travaillent dans sa société de gestion immobilière.
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Wout Van Aert a présenté son programme hivernal
C’est sur le parcours d’un de nos grands sportifs que l’on va revenir ce lundiC’est de Wout Van Aert dont on va parler ce lundi et pour cause : il a annoncé il y a quelques heures seulement son programme hivernal. Un programme qui va débuter le 20 décembre prochain, à la Coupe du monde de cyclo-cross à Anvers. Et durant ce parcours hivernal, il va croiser un certain Mathieu van der Poel pas moins de cinq fois.Wout Van Aert fait partie des grands noms noir-jaune-rouge de la disciplineSi on fait un rapide tour à son palmarès, on voit vite qu’il est bien garni : triple champion du monde en cyclo-cross, triple champion de Belgique contre-la-montre, champion de Belgique sur route, dix étapes du Tour de France, des victoires aussi sur les Strade Bianche, Milan-Sanremo, Amstel Gold Race ou encore Gand-Wevelgem. Il a également décroché deux médailles olympiques.Beau palmarès pour le jeune de 31 ansIl débute en cyclo-cross avec à 17 ans une première médaille d’argent aux mondiaux de cyclo-cross juniors. Car ça reste une de ses spécialités, à côté du contre-la-montre, et des sprints. Il décroche ses premiers succès internationaux en 2019, à 25 ans après un départ compliqué de sa précédente équipe.On est en septembre 2018, il quitte l’équipe Vérandas Willems-Crelan au sein de laquelle il avait évolué pendant plus d’un an. Il rejoint les équipes Cibel-Cebon, puis Jumbo-Visma. Mais le fait de quitter l’équipe Willems-Crelan va déclencher une saga judiciaire. Une saga qui a pris fin en début d’année, après son pourvoi en cassation, il a été condamné à payer 662 000 € à son ancien employeur.Comme on le disait en intro, Wout van Aert est indissociable de Mathieu van der PoelTous les deux sont nés en Belgique, tous les deux roulent sur route et en cyclo-cross, tous les deux sont parmi les meilleurs de la discipline. C’est donc « normal » que l’on peut voir une certaine rivalité naitre entre les deux coureurs. Dès 2015 et jusqu’en 2020, chacun des deux remportent trois titres mondiaux.Cette rivalité va se poursuivre dans les différentes courses dans lesquelles Wout et Mathieu se retrouvent. Une rivalité qui va même parfois atteindre le public. En avril dernier, Le Parisien se demandait notamment pourquoi van der Poel était si souvent agressé par des spectateurs durant les courses. L’hiver cycliste qui arrive ne risque pas de calmer les choses…Et côté vie privée ?Il est marié à Sarah De Bie depuis sept ans. Elle est autrice et animatrice de podcast. Ensemble, ils ont deux fils : Georges et Jérôme. Le couple est fan de l’Italie, apprend-on dans un article de Sudinfo en mai dernier. Wout et Sarah ont investi également dans une marque de bougies de luxe, Mon Dada, lancée en 2019 par une Belge expatriée à New York, Pauline D’Haenens. Comme quoi, on peut aimer l’adrénaline du deux roues, mais aussi les moments de détente…
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Patti Smith : une icône punk célébrée entre cinquantième anniversaire et mémoires
Patti Smith est à l’honneur en cette fin d’année. À 78 ans, la chanteuse et poétesse célèbre les cinquante ans de Horses, l’album qui a bouleversé la scène new-yorkaise en 1975, tout en publiant ses mémoires, Bread of Angels. Un double événement à l’image d’une artiste insaisissable, que l’on surnomme depuis longtemps « la chamane du punk ».Née dans une famille modeste du New Jersey, Patti Smith se rêve d’abord institutrice. Mais l’environnement strict et religieux dans lequel elle grandit étouffe son besoin de liberté. Tout bascule lorsqu’elle tombe enceinte à 18 ans : elle confie son enfant à l’adoption et part pour New York, où l’attendent des années de galère, de petits boulots et de création fauchée. Ses peintures et ses poèmes ne lui rapportent rien, mais sa plume lui ouvre les portes du Rolling Stone. Elle y croise Janis Joplin, Jimi Hendrix, toute une génération en ébullition.Peu à peu, elle passe de la scène littéraire à la scène tout court, chantant ses textes dans des églises. Repérée, elle fonde le « Patti Smith Group » et sort Horses, un album qui mélange rock, poésie et urgence. Influencée par l’explosion punk venue d’Angleterre, elle met plus de temps à convaincre le grand public : il faudra attendre Easter en 1978, co-écrit avec Bruce Springsteen, pour que le succès s’installe.La suite sera faite de retraits et de retours, marqués par sa volonté de consacrer du temps à ses enfants. Mais Patti Smith n’a jamais cessé d’incarner une conscience artistique et politique. Militante anti-guerre, défenseuse de l’environnement et des droits des femmes, elle n’a cessé de faire entendre sa voix. Une voix qui résonne encore aujourd’hui, indomptable et nécessaire.
Artistes, sportifs, hommes et femmes politiques, auteurs, actrices,... "Le portrait", vous dévoile les vies et carrières des figures les plus influentes de notre époque. Parmi les personnalités abordées récemment, retrouvez : Roland Dumas : Ancien ministre des Affaires étrangères sous François Mitterrand, Roland Dumas a marqué la politique française par son influence et ses nombreuses contributions internationales. Décédé récemment à l'âge de 101 ans, son portrait revient sur une carrière riche et tumultueuse. Dorothée : Icône de la télévision française, Dorothée a bercé des générations d'enfants avec ses émissions cultes. Son impact sur la culture populaire et son parcours professionnel sont explorés en détail. Pierre Niney : Acteur talentueux et étoile montante du cinéma français, Pierre Niney est reconnu pour ses performances captivantes et son engagement artistique. Découvrez son parcours et ses réalisations marquantes. Jean-Pierre Descombes : Animateur emblématique, Jean-Pierre Descombes a su captiver le public français avec son charisme et sa passion pour la télévision. Son portrait revient sur une carrière riche en moments mémorables. Kaja Kallas : Première ministre de l'Estonie, Kaja Kallas est une figure politique influente en Europe. Son engagement pour la démocratie et les réformes sociales est au coeur de cet épisode. Redécouvrez également le portrait de personnalités telles que : Jean-Paul Belmondo : L'icône du cinéma français, récemment décédé, a laissé un héritage cinématographique inégalé. Son portrait revient sur ses rôles emblématiques et son influence sur le cinéma. Catherine Deneuve : Actrice légendaire, Catherine Deneuve continue de briller par son talent et sa présence sur grand écran. Découvrez sa carrière et ses contributions à l'industrie du cinéma. David Bowie : Artiste avant-gardiste, David Bowie a révolutionné la musique et la mode. Son influence perdure à travers ses oeuvres et ses innovations. Stephen Hawking : Le célèbre astrophysicien, connu pour ses travaux sur les trous noirs et la cosmologie, a inspiré le monde avec sa détermination face à la maladie. Simone Veil : Figure politique et féministe, Simone Veil a marqué l'histoire avec ses réformes et son combat pour les droits des femmes. Freddie Mercury : Le charismatique leader du groupe Queen, Freddie Mercury, est célébré pour sa voix exceptionnelle et son impact sur la musique rock. Aretha Franklin : La reine de la soul, Aretha Franklin, a enchanté des générations avec sa voix puissante et ses chansons emblématiques. Marie Curie : Pionnière de la science, Marie Curie a été la première femme à recevoir le prix Nobel, pour ses travaux sur la radioactivité. Nelson Mandela : Symbole de la lutte contre l'apartheid, Nelson Mandela a oeuvré pour la justice et l'égalité en Afrique du Sud et dans le monde. Le Portait est présenté par Ann-Laurence Dehont.