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  • À Maputo, la capitale du Mozambique, avec Wazimbo, Mingas et Stewart Sukuma
    Le 25 juin 1975, après plus de quatre siècles de colonisation et dix ans de guerre de libération contre le Portugal, le Mozambique accède à l’indépendance. Le Frelimo, le Front de libération du Mozambique, prend le pouvoir. Il ne l’a jamais quitté depuis. À Maputo, la capitale, trois figures de la musique mozambicaine (Wazimbo de l'Orchestra Marrabenta Star, Mingas et Stewart Sukuma) nous racontent les 50 ans dernières années leur pays chéri. Titres diffusés   WAZIMBO - "Fim Mamana Wa Bebe" WAZIMBO x ORCHESTRA MARRABENTA STAR - "Sapateiro", extrait de Nwahulwana (Piranha Womex AG - 2001) MINGAS - "Nzumba", extrait de Vuka Africa (Mingas - 2009) MIRIAM MAKEBA - "A lutta continua", extrait de Welela (Syandisa / Next Music - 1989) MINGAS - "Nweti", extrait de Vhumela (Mingas - 2013) STEWART SUKUMA - "Workers", extrait 40 Anos Cantando Historias (Stewart Sukuma - 2024) STEWART SUKUMA - "Guardians of the light", extrait 40 Anos Cantando Historias (Stewart Sukuma - 2024) Cette émission a été tournée en mai 2025 à Maputo avec le concours de l'Ambassade de France au Mozambique et du Centre Culturel Franco-Mozambicain (CCFM). Journaliste : Hortense Volle Traduction et voix française : Jorge Mbanze Prise de son : Camille Roch Réalisation : Benjamin Sarralié Mixage 3D en Dolby ATMOS pour une écoute immersive au casque : Jérémie Besset Responsable d'unité de production FMM – RFI Labo : Xavier Gibert.  
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  • Avec le trio luso-angolais Throes + Shine depuis l’Atlantic Music Expo (Cap Vert)
    En 2012, l’angolais Mob Dedaldino et les portugais Igor Domingues et Marco Castro ont inventé un son : le « rockuduro » ou le mariage du rock et du kuduro, une niche électronique née dans les années 90, en Angola. Treize ans et six albums plus tard, leur énergie est toujours aussi libératrice et percutante. Rencontre. En 2012, au Portugal, ils ont inventé un son : le « rockuduro » ou le mariage du rock et du kuduro, une niche électronique née dans les 90, en Angola, au sud-ouest de l’Afrique, et qui s’est vite propagée dans les autres pays lusophones et au-delà.Treize ans plus tard,  les prestations scéniques de Throes ans the Shine sont toujours aussi débridées, mais leur musique a évolué : la production électronique est devenue plus marquée, leur univers parfois plus contemplatif et plus pop.Pour comprendre l’évolution de leur vision musicale, j’ai proposé aux membres de Throes + The Shine de remonter le fil de leur discographie, riche de six albums.Le dernier a pour titre Kalunga. En kimbundu, une langue d'Angola, ce mot possède plusieurs significations : il peut être utilisé pour souhaiter du bien à quelqu’un mais aussi pour désigner la mer.C’est précisément au bord de l’océan que nous nous retrouvons, au large de la côte nord-ouest de l’Afrique.À Praia, la capitale de l’archipel du Cap vert, le trio s’apprête à faire le show à la 11ᵉ édition l’Atlantic Music Expo : un évènement qui, pendant trois jours et trois nuits, fait chavirer la capitale à coup de rencontres entre professionnels du monde entier, showcases et soirées de concerts gratuits et en plein air…Pour suivre Throes + ShineYouTube / Instagram/ FacebookTitres diffusésExtraits de l’EP Na Via (Throes + Shine & Ao Sul di Mundo – 2025) : "Sal" feat. Cachupa Psicadelica ; "Chapa" ; "Baza La" ; "Kikongo"Extraits de l’album Kalunga (Throes + Shine – 2024) : "Drena", "Tá Queimar"Extraits de l’album Aqui (Throes + Shine – 2022) : "Banzelo" ; "Aqui" ; "Chibatada" feat ChullageExtraits de l’album Enza (Throes + Shine – 2019) : "Balança" ; "Dikolombolo"Extraits de l’album Wanga (Throes + Shine – 2016) : "Guerreros" feat Los Yegros ; "Skake The Floor"Extraits de l’album Mambos De outros Tipos (Throes + Shine – 2014) : "Dombolo"Extraits de l’album Rockuduro (Throes + Shine – 2012) : "Adrenalina" ; "Batida"Journaliste : Hortense VolleRéalisation : Benjamin SarraliéMixage 3D en Dolby ATMOS pour une écoute immersive au casque : Jérémie BessetResponsable d'unité de production FMM – RFI Labo : Xavier Gibert
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  • Avec la rappeuse sud-africaine Yugen Blakrok depuis le Babel Music XP (Marseille)
    Son timbre est mystique, son style dense et lyrique, ses sujets conscients : alors que sort son troisième album, The Illusion of Being, rencontre à domicile avec une emcee qui, à la ville aussi, choisit ses mots avec soin. Et ça fait sacrément du bien ! En 2013, Return of the Astro-Goth, son premier album, lui a valu une reconnaissance nationale (avec trois nominations aux South African Hip Hop Awards), mais aussi d’être adoubée par la old-school internationale (de Public Enemy à Sage Francis). Tout ça, avant un featuring mémorable, en 2018, sur la B.O. de Black Panther aux côtés Vince Staples et Kendrick Lamar.En 2019, après la sortie de son deuxième album, Anima Mysterium, la native de Queenstown, une ville du Cap Oriental, s’installe dans le sud de la France. Depuis, avec son complice le producteur et emcee sud-africain Kanif The Jhatmaster, elle a voyagé dans toute la Méditerranée avec pour point d’ancrage, Marseille.Une ville qui abrite aussi I.O.T Records, le label indépendant « sans genres, ni frontières » sur lequel s’apprête à sortir son troisième album, The Illusion of Being.Et c’est justement dans la cité phocéenne que nous la rencontrons. Car, en ce début printemps, Yugen Blakrok est à l’affiche du Babel Music Xp, le carrefour marseillais des musiques planétaires !Quelques heures avant son concert au Dock des Suds, on revient sur certaines des personnalités qui l’ont façonnées : du rappeur sud-africain Robo the Technician, à l’écrivaine afro-américaine Octavia Butler.Il est question d’énergie, d’empathie, de douceur et de notre manière d’être au monde, le visible comme l’invisible…Pour suivre Yugen BlakrokYouTube / Instagram/ Facebook / BandcampTitres diffusésExtraits de l’album The Illusion of Being (Yugen Blakrok / I.O.T. Records – 2025) : "Osiris Awakens" feat. Mohama Saz ; "Tessellator" feat. Cambatta ; "The Grand Geode" feat. Sa-Roc ; "The Shining"Extraits de l’album Anima Mysterium(Yugen Blakrok / I.O.T. Records – 2019) : "Gorgon Madonna"Extraits de l’album Return of the Astro-Goth (Iapetus – 2013) : "Stereo-lith"; "Beast League" ; "House Of Ravens" ; "Secrets Of The Path" ; "Darkstar" ; "Medusa Complex" ; "Neo Vadar" ; T"etra Tarantula" ; "Left Right Hand" ; "Sista Slash" feat. Likwid Skillz ; "Some People Say" ; "Constellations" feat. Robo, Alka, WithCrAft ; "Vespertine" ; "Swirl Of The Dervish" ; "Mono-lith"Et aussi : "Opps" avec Vincent StapplesJournaliste : Hortense VolleRéalisation : Benjamin SarraliéMixage 3D en Dolby ATMOS pour une écoute immersive au casque : Jérémie BessetTraduction et voix française : Mélody LinhartResponsable d'unité de production FMM – RFI Labo : Xavier Gibert 
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  • Avec l’artiste helvético-marocain Sami Galbi depuis le Babel Music XP (Marseille)
    Son sourire radieux est serti d’un strass en forme de cœur, « galbi » en arabe ». Sur Yallah Bye Bye, son premier album, il chante l’amour, mais aussi le cycle perpétuel de séparations et de retrouvailles qui façonne la vie de ceux qui ont plusieurs foyers. Ensemble, on va jouer à un jeu des 7 familles revisité ! Ce n’est pas à Lausanne où il est né, ni à Casablanca où il a vécu, que nous rencontrons Sami Galbi, mais dans une autre ville portuaire qu’il affectionne tout particulièrement (et nous aussi) : Marseille !Marseille qui, chaque année, au début du printemps, devient l’épicentre économique et culturel des musiques planétaires grâce au Babel Music XP. Un salon dédié aux professionnels de la filière musicale du monde entier, mais également un festival ouvert au grand public où le trentenaire va présenter son premier album.Raï, chaâbi, trap, dub, hip-hop, bass music, il y a tout ça dans cet album de musiques à danser qui oscille entre hymnes taillés pour les dancefloors et morceaux plus oniriques teintés d’acid pop.Ce premier album a pour titre Yallah Bye Bye, une expression courante au Moyen-Orient et en Afrique du Nord qui signifie « On y va » ou « à plus ».Une allusion à l’élan du départ qui a conduit Sami Galbi à embarquer son studio dans son van pour rouler de Lausanne à Casablanca. Et donc des rives suisses du lac Léman, à la côte atlantique du Maroc où, en 2023, il a posé les premières bases de cet album.En darija, l'arabe dialectal marocain, un darija 2.0, entendez de la diaspora, Sami Galbi chante l’amour, mais aussi le cycle perpétuel de séparations et de retrouvailles qui façonne la vie de ceux qui ont plusieurs foyers.De foyer, de famille, de communauté, ce qui nous lie, nous définit, c’est de ça dont on va converser en toute intimité avec un artiste généreux, à la ville comme à la scène.Son sourire, radieux, est serti d’un strass en forme de cœur, « galbi » en arabe ». Son doux regard, est souligné d’un léger trait de crayon noir. Sa coupe, undercut, est presque punk.Tout vêtu de blanc, Sami Galbi est attablé à mes côtés dans les bureaux du Dock des Suds : un ancien hangar portuaire, devenu un lieu mythique de la vie nocturne et musical marseillais où, dans quelques heures, il fera chavirer nos cœurs….Pour suivre Sami GalbiYouTube / Instagram/ FacebookTitres diffusésExtraits de l’album Yallah Bye Bye (Bongo Joe Records – 2025) : "L'mjmr" ; "Transit"; "Win"; "Kiss"; "Dakchi Hani"; "L'Azri"; "Rruina";"Patience" (feat. INES)Journaliste : Hortense VolleRéalisation : Benjamin SarraliéMixage 3D en Dolby ATMOS pour une écoute immersive au casque : Jérémie BessetResponsable d'unité de production FMM – RFI Labo : Xavier Gibert.   
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  • Avec le trio parisien Roseaux, dans l’atelier de fabrication de leur 3ème album : le minimal Studio
    Alors que sort Roseaux III, avec notamment la collaboration du crooner californien Aloe Blacc et du rappeur ghanéen Ghetto Boy, on tente de percer les secrets d’une petite fraternité de talents aussi hétéroclites que complémentaires. Trois artisans du son, toujours en quête de belles chansons. Le collectif de songwrittig Roseaux, c’est trois passionnés de musique, capables d’intervertir leurs rôles en matière d’écriture, d’arrangements ou de production :Emile Omar, ex-programmateur de Radio Nova et chantre de la musique antillaise sur les dancefloors ; Clément Petit, violoncelliste, compositeur et réalisateur navigant entre musique improvisée et chanson et Alex Finkin, multi-instrumentiste et producteur, aussi à l’aise dans les musiques électroniques, la soul, que la chanson française.Au centre de leurs affinités : beaucoup de musiques noires américaines et un fort attachement au format chanson. En 2012, il s’est concrétisé en par un premier album de reprises portées par la voix unique du chanteur américain Aloe Blacc.En 2019, le second volet de leurs aventures intimistes, en prolonge la dominante soul, l’épure acoustique et le trait gracieux, mais avec des compos maison et un attelage aux allures de collectif composé, en plus d’Aloe Blacc, de Melissa Laveaux, Blick Bassy ou encore Ben l’Once Soul.Dans la foulée, l’auteur et interprète franco-rwandais Gaël Faye s’écrie : « Roseaux est l’un des plus grands groupe français actuel. Il parvient à marier tant d’influences avec un naturel qui me déconcerte. Ses deux albums sont des chefs-d'œuvre et chacune de leur collaboration un événement. »Le mot « chef-d'œuvre » est lâché, il n’est ici pas galvaudé. Chacun des albums de Roseaux est touché par la grâce : on sait immédiatement qu'il va nous accompagner longtemps, sans jamais lasser.Pour tenter de percer les secrets de ces faiseurs de chef-d'œuvre, on s’est invité dans l’atelier parisien où ils ont façonné leur 3ᵉ album, le minimal Studio.Pour suivre RoseauxYouTube / Instagram/ FacebookTitres diffusésExtraits de l’album Roseaux (Fanon Records – 2012) : "Strange Things" feat Aloe Blacc ; "Walking on the Moon" feat Aloe Blacc ; "Clarao Da Lua" feat Aloe Blacc ; "More than Material" feat Aloe Blacc ; "Try Me" feat Aloe Blacc ; "We all Must Live Together" feat Aloe BlaccExtraits de l’album Roseaux II (Fanon Records – 2019) : "Kaät" et "Libäk" feat Blick Bassy ; "Daily Bread" feat Aloe Blacc Extrait de l’album Roseaux III (Fanon Records – 2025) : "My People" feat Ghetto Boy ; "Why Should I Smile" feat Melissa Laveaux ; "Loving you is all I want to do" feat Aloe Blacc ; "Solitude" feat Isabel Sörling ; "Again" feat Ana Majidson ;Et aussi :"Red black & green" et "Everbody loves the sunshine" de Roy Ayers"The Waiting Room" de Emanom"Life Is Cool" de Mamba Sounds x Ghetto Boy"Strange Things" de John HoltJournaliste : Hortense VolleRéalisation : Benjamin SarraliéMixage 3D en Dolby ATMOS pour une écoute immersive au casque : Jérémie BessetResponsable d'unité de production FMM – RFI Labo : Xavier Gibert  
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À propos de BPM - La Rencontre

BPM – La Rencontre (ex SessionLab), c’est une conversation en toute intimité au cœur des musiques et de leurs créateurs. Hortense Volle s’invite chez un artiste ou sur les itinéraires familiers qui sont ceux de son inspiration, le temps d’une rencontre qui mêle sa vie à son œuvre. Podcast original en audio 3D. Réalisation : B. Sarralié. Mixage en Dolby Atmos pour une écoute immersive au casque : J. Besset. Responsable d'unité de production RFI Labo : X. Gibert. Diffusion le dimanche à 14h10 TU.
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Generated: 7/3/2025 - 4:10:52 AM